K.
2019-04-30 07:48:55 UTC
Aujourd'hui, on a l'interdiction de contredire la vérité
officielle dictée par le tribunal de Nuremberg.
Qu'est-ce que vous voudriez contredire ?officielle dictée par le tribunal de Nuremberg.
On n'interdit pas les livres, on interdit la recherhce historique.
Vous connaissez des historiens qui se plaignent de ne pas pouvoirfaire de recherches ?
contestation des crimes contre l'humanité.
contredire tout ou partie de la vérité officielle dictée par le tribunal
de Nuremberg, il n'aurait as le droit de la publier.
sans contestation possible, que des crimes contre l'humanité ont été
commis par le régime nazi.
Aucun des accusés de Nuremberg n'a contesté la réalité de ces crimes, la
plupart ont simplement cherché à minimiser leur responsabilité ("Je n'ai
fait qu'obéir aux ordres...")
Aucun négationniste parmi les nazis. Les preuves étaient trop accablantes.
Le négationnisme n'est *pas* une démarche historique. Il est une étape
dans la tentative de réhabilitation de l'idéologie nationale-socialiste.
C'est clair, par exemple, chez Reynouard qui se réclame ouvertement du
national-socialisme, ça l'était aussi chez Faurisson même si ce dernier
prenait davantage de précautions pour masquer ses intentions derrière
une soi-disant recherche de vérité.
Il est significatif qu'aucun négationniste n'a une formation d'historien.
Par conséquent, combattre le négationnisme, ce n'est pas censurer le
travail des historiens, c'est la continuation du combat contre le
nazisme dans le cadre légal de la démocratie.
Interdire la contestation, c'est faire de ces évènements l'égal de table
de la loi, c'est de fait fonder une vérité dont toute contestation est
un blasphème.
Les blasphémateurs sont excommuniés. Ils l'ont été autrefois, ils le
sont aujourd'hui.
Comme dit un proverbe chinois « La force de la vérité, c'est qu'elle
dure ».
La vérité n'a nul besoin de loi pour être vraie, elle est vraie.
Pourquoi faire loi dans ce cas ?
La question peut effectivement se poser, d'autant plus qu'à l'époquede la loi, c'est de fait fonder une vérité dont toute contestation est
un blasphème.
Les blasphémateurs sont excommuniés. Ils l'ont été autrefois, ils le
sont aujourd'hui.
Comme dit un proverbe chinois « La force de la vérité, c'est qu'elle
dure ».
La vérité n'a nul besoin de loi pour être vraie, elle est vraie.
Pourquoi faire loi dans ce cas ?
d'internet, cette loi n'est guère efficace pour empêcher l'accès aux
thèses négationnistes.
Personnellement, j'y vois surtout un moyen de protéger les personnes -
ou leurs proches - qui ont été victimes des crimes nazis et qui
subissent une "double peine" quand ils sont confrontés à des gens qui
nient la réalité de ces crimes et la réalité de leur souffrance.
La négation du crime s'ajoute au crime et cause un préjudice inutile
dont le législateur peut protéger les victimes par ce moyen légal.
Même si les effets de cette loi peuvent paraître dérisoires, cela évite
au moins que les grands médias soient investis par de pseudo-historiens
qui rêvent d'avoir une tribune pour diffuser leur propagande.
Je pense aussi que cette loi deviendra inutile avec le temps.
Celui qui, aujourd'hui, nierait la réalité des guerres napoléoniennes
passerait pour un hurluberlu mais ne causerait directement de préjudice
à personne et ne serait donc pas censuré.
Quand le temps aura apaisé les souffrances, je pense qu'il en sera de
même pour les événements de la Seconde guerre mondiale.