\\Fulminator/
2015-06-24 11:02:20 UTC
"Vous habitez à Saint-Martin ou à Sainte-Marie ? Attendez-vous à ce que
votre village soit débaptisé ! Au nom du « vivre ensemble », un rapport
officiel préconise de supprimer toute référence chrétienne dans les noms de
communes ! Le premier acte de la lutte contre l'« apartheid territorial » et
une folie pour complaire aux musulmans...
Baptisé - si l'on ose dire - « Revoir la toponymie de la France à la lumière
du vivre ensemble », ce rapport, dont nous avons pu prendre connaissance, a
été principalement établi par deux parlementaires, le député PS du Cher,
Yann Galut, leader du collectif La Gauche forte, et le sénateur EELV du
Val-de-Marne, Esther Benbassa (on voit le truc, NDLR), fondatrice du
microscopique parti Pari(s) du Vivre-Ensemble...
Il faut en arriver à la page 27 de ce rapport (qui en compte 52) pour que le
mot musulman soit enfin cité ... la population d'origine musulmane, y
lit-on, est heurtée par des appellations toponymiques qui sont autant de
manifestations d'une époque archaïque où l'identité de la France, loin de s'assumer
comme plurielle, se définissait exclusivement sous le signe d'une chrétienté
triomphante et totalitaire...
La principale mesure suggérée : débaptiser tous les noms de communes
comprenant « saint » dans leur intitulé, afin de « relaïciser profondément
la République » en supprimant un « affichage discriminant » ! Toute
consultation de la population est par avance proscrite, au motif, lit-on
encore, que "des référendums locaux... seraient ici inopportuns et même
néfastes car ils libéreraient une parole réactionnaire"...
[On voit que, si un référendum risque de "libérer" une parole qui ne
correspond pas à l'idéologie dominante, il sera refusé (NDLR)...]
"Cette idée démente n'est pas une première. Sous la Révolution française, la
Convention mena une chasse sans merci aux dénominations qui n'étaient pas
« révolutionnairement correctes ». Un décret du 25 Vendémiaire an II (16
octobre 1793) invitait les communes qui souhaitaient se défaire de leur nom
qui pouvait « rappeler les souvenirs de la royauté, de la féodalité ou de
la superstition, de s'en occuper incessamment ». Trois mille communes
furent ainsi renommées, certaines de force, jusqu'à ce que la Première
Restauration, en 1814, n'annule toutes les modifications.
Pendant une vingtaine d'années, Saint-Quentin, dans l'Aisne, était devenu
Egalité-sur-Somme, Saint-Caprais (Allier) avait laissé la place à
Thémistocle ou Saint-Michel-de-Rivière (Dordogne) s'était mué en
Esprit-des-Lois. Le Mont-Saint-Michel lui-même était devenu Mont-Libre. La
France vit fleurir durant ces années des L'Unité-Nationale, des
Sans-Culottes de la Manche (sic), des Mont-Marat, des L'Ami-de-la-Vertu ou
des Jean-Jacques Rousseau (à place de Saint-Esprit, près de Bayonne)... Le
coût direct et indirect de l'opération serait de 3,4 milliards d'euros !"
(Extraits de l'article de Marc Bertric, dans Minute)
_______________________________________________________________________
Sans parler de Grenoble (qui fut un temps renommé "Grelibre"... (NDLR)
Infâme grotesque !...
Faudra aussi penser à débaptiser "Villejuif", pas très politiquement
correct, ainsi que "La négresse" (Pyrénées atlantiques), et d'autres,
que je vous invite à trouver...
Avec Manolo Valls ("El Blancos"), cet hypocrite qui bouffe à tous les
râteliers
ethniques, les collabos lèche-culs du nazislamisme ici présents ont de
beaux jours devant eux.
votre village soit débaptisé ! Au nom du « vivre ensemble », un rapport
officiel préconise de supprimer toute référence chrétienne dans les noms de
communes ! Le premier acte de la lutte contre l'« apartheid territorial » et
une folie pour complaire aux musulmans...
Baptisé - si l'on ose dire - « Revoir la toponymie de la France à la lumière
du vivre ensemble », ce rapport, dont nous avons pu prendre connaissance, a
été principalement établi par deux parlementaires, le député PS du Cher,
Yann Galut, leader du collectif La Gauche forte, et le sénateur EELV du
Val-de-Marne, Esther Benbassa (on voit le truc, NDLR), fondatrice du
microscopique parti Pari(s) du Vivre-Ensemble...
Il faut en arriver à la page 27 de ce rapport (qui en compte 52) pour que le
mot musulman soit enfin cité ... la population d'origine musulmane, y
lit-on, est heurtée par des appellations toponymiques qui sont autant de
manifestations d'une époque archaïque où l'identité de la France, loin de s'assumer
comme plurielle, se définissait exclusivement sous le signe d'une chrétienté
triomphante et totalitaire...
La principale mesure suggérée : débaptiser tous les noms de communes
comprenant « saint » dans leur intitulé, afin de « relaïciser profondément
la République » en supprimant un « affichage discriminant » ! Toute
consultation de la population est par avance proscrite, au motif, lit-on
encore, que "des référendums locaux... seraient ici inopportuns et même
néfastes car ils libéreraient une parole réactionnaire"...
[On voit que, si un référendum risque de "libérer" une parole qui ne
correspond pas à l'idéologie dominante, il sera refusé (NDLR)...]
"Cette idée démente n'est pas une première. Sous la Révolution française, la
Convention mena une chasse sans merci aux dénominations qui n'étaient pas
« révolutionnairement correctes ». Un décret du 25 Vendémiaire an II (16
octobre 1793) invitait les communes qui souhaitaient se défaire de leur nom
qui pouvait « rappeler les souvenirs de la royauté, de la féodalité ou de
la superstition, de s'en occuper incessamment ». Trois mille communes
furent ainsi renommées, certaines de force, jusqu'à ce que la Première
Restauration, en 1814, n'annule toutes les modifications.
Pendant une vingtaine d'années, Saint-Quentin, dans l'Aisne, était devenu
Egalité-sur-Somme, Saint-Caprais (Allier) avait laissé la place à
Thémistocle ou Saint-Michel-de-Rivière (Dordogne) s'était mué en
Esprit-des-Lois. Le Mont-Saint-Michel lui-même était devenu Mont-Libre. La
France vit fleurir durant ces années des L'Unité-Nationale, des
Sans-Culottes de la Manche (sic), des Mont-Marat, des L'Ami-de-la-Vertu ou
des Jean-Jacques Rousseau (à place de Saint-Esprit, près de Bayonne)... Le
coût direct et indirect de l'opération serait de 3,4 milliards d'euros !"
(Extraits de l'article de Marc Bertric, dans Minute)
_______________________________________________________________________
Sans parler de Grenoble (qui fut un temps renommé "Grelibre"... (NDLR)
Infâme grotesque !...
Faudra aussi penser à débaptiser "Villejuif", pas très politiquement
correct, ainsi que "La négresse" (Pyrénées atlantiques), et d'autres,
que je vous invite à trouver...
Avec Manolo Valls ("El Blancos"), cet hypocrite qui bouffe à tous les
râteliers
ethniques, les collabos lèche-culs du nazislamisme ici présents ont de
beaux jours devant eux.