There are 3 messages in this issue.
Topics in this digest:
1. CPJ, RSF, FREEDOM HOUSE ÉTUDIENT LES TENDANCES DE LA LIBERTÉ DE LA PRESSE DANS LE MONDE
From: "PL" <***@pandora.be>
2. Fundación Knight apoya revista cubana
From: "PL" <***@pandora.be>
3. Crackdown on the independent press in Cuba.
From: "PL" <***@pandora.be>
________________________________________________________________________
________________________________________________________________________
Message: 1
Date: Fri, 10 Jun 2005 12:37:13 +0200
From: "PL" <***@pandora.be>
Subject: CPJ, RSF, FREEDOM HOUSE ÉTUDIENT LES TENDANCES DE LA LIBERTÉ DE LA PRESSE DANS LE MONDE
CPJ, RSF, FREEDOM HOUSE ÉTUDIENT LES TENDANCES DE LA LIBERTÉ DE LA PRESSE
DANS LE MONDE
Tandis que partout dans le monde les journalistes et les groupes de défense
de la libre expression célébraient la Journée mondiale de la liberté de la
presse, trois membres de l'IFEX ont insisté sur les difficultés auxquelles
se heurte la liberté de la presse à l'échelle mondiale, sur les risques
accrus pour la sécurité des médias dans les zones de conflit et
l'affaiblissement des démocraties, entre autres.
Le Comité pour la protection des journalistes (CPJ) a inscrit l'Irak au
sommet de sa liste des pires endroits du monde où être journaliste, et cite
25 journalistes tués depuis le début de la guerre menée par les États-Unis.
Ces dernières semaines, les insurgés ont ciblé systématiquement les
étrangers, y compris les journalistes, et les Irakiens qui travaillent pour
eux, a fait remarquer le CPJ.
Au moins six travailleurs irakiens des médias ont été assassinés, et
plusieurs autres ont reçu des menaces. Des groupes armés ont enlevé huit
journalistes en 2004, mais les ont tous relâchés. Depuis janvier 2004, 12
journalistes ont perdu la vie.
Les forces américaines présentent aussi une menace pour les journalistes
dans leur travail, dit le CPJ. Neuf d'entre eux ont été tués par balles par
les troupes américaines, alors que d'autres ont été détenus et ont subi de
mauvais traitements.
La liste du CPJ comprend neuf autres pays où la liberté de la presse est des
plus menacée. Ce sont Cuba, le Zimbabwe, le Bélarus, le Bangladesh, le
Turkménistan, la Chine, l'Érythrée, Haïti, la Russie et la Cisjordanie et la
bande de Gaza. (Voir la liste à :
http://www.cpj.org/enemies/worst_places_04/worst_places_04.html)
Reporters sans frontières (RSF) a également produit sa propre liste de
points chauds de la liberté de presse ? des destinations touristiques sous
la férule de régimes autocratiques. Pour RSF, qui les désigne comme des «
dictatures paradisiaques », la Birmanie, Cuba, les Maldives, les Seychelles,
la Tunisie et le Vietnam sont des endroits où « les journalistes
indépendants, considérés comme des ennemis publics, sont harcelés sans
relâche par les autorités ».
En Birmanie, la junte militaire maintient une censure totale sur
l'information, dit RSF. Onze journalistes sont emprisonnés et leurs
conditions de détention se dégradent. Cuba est la plus grande prison du
monde pour les journalistes, et en compte 29 en prison. La plupart ont été
condamnés à des peines variant de 14 à 27 ans de prison.
Aux Maldives, le plus ancien chef d'État d'Asie en exercice, le président
Maumoon Abdul Gayoom, ne tolère aucune critique, dit RSF. Deux dissidents
sur Internet purgent une peine de prison à perpétuité pour leurs critiques
du gouvernement. Aux Seychelles, les autorités harcèlent le seul journal
d'opposition, « Regar », au moyen de poursuites qui pourraient le forcer à
fermer ses portes.
En Tunisie, le président Ben Ali continue de contrôler la presse écrite et
le journaliste qui ose critiquer sa politique est sans cesse harcelé,
poursuit RSF. Et au Vietnam, les autorités accentuent leur répression contre
les dissidents qui partagent leurs opinions critiques sur Internet. (Voir:
http://www.rsf.org/article.php3?id_article=10257)
Pour sa part, Freedom House constate un déclin substantiel de la liberté de
la presse dans le monde au cours de la dernière année. Dans son rapport «
Freedom of the Press 2004: A Global Survey of Media Independence » [Liberté
de presse 2004 : Étude mondiale de l'indépendance des médias], le groupe
affirme que le harcèlement judiciaire, les pressions politiques et la
violence contre les journalistes par des personnages de l'État et d'autres
qui ne relèvent pas de l'État ont mené à la dégradation des conditions dans
de nombreux pays.
L'étude se penche sur la situation dans 193 pays et les classe selon le
degré de liberté de la presse écrite et électronique et sur Internet en
2003.
Certains des reculs les plus graves se sont produits dans des pays où la
démocratie « dérive », dit Freedom House. Il s'agit de l'Italie, de la
Bolivie et de la Russie. L'Italie en particulier est prise à partie comme
pays où la concentration accrue de la propriété des médias a permis au
premier ministre Silvio Berlusconi d'exercer une « influence indue sur le
radiodiffuseur public RAI ». Le holding des médias de Berlusconi comprend
trois des plus importantes stations de télévision privées d'Italie.
Sur le plan régional, le Moyen-Orient et l'Afrique du Nord sont considérés
comme les moins libres, puis viennent ensuite l'Afrique subsaharienne,
l'Europe centrale et de l'Est et l'ex-Union soviétique.
Lire le rapport de Freedom House :
http://www.freedomhouse.org/research/pressurvey.htm
http://www.ifex.org/es/content/view/full/58730/
________________________________________________________________________
________________________________________________________________________
Message: 2
Date: Fri, 10 Jun 2005 12:39:03 +0200
From: "PL" <***@pandora.be>
Subject: Fundación Knight apoya revista cubana
Fundación Knight apoya revista cubana
La fundación John S. y James L. Knight otorgó una subvención de USD 188,000
a CubaNet News para "mejorar el flujo de noticias hacia y desde Cuba", donde
docenas de periodistas fueron sentenciados en marzo a largas penas de cárcel
como parte de una amplia ofensiva contra la libre expresión.
Fundada en 1994, CubaNet News (http://www.cubanet.org/desdcuba.html) es una
organización sin fines de lucro con sede en Estados Unidos que promueve el
periodismo independiente en Cuba.
El Fundación Knight apoyará a los corresponsales de CubaNet en Cuba que
enviarán notas diarias para la revista en línea de la organización,
CubaNet.org. Los fondos también se destinarán a la publicación de una
revista bimensual que se distribuirá en Cuba y un informe especial (en
inglés y español) sobre la reciente ofensiva contra la libre expresión. El
informe se publicará en forma de libro y se distribuirá a las 200
bibliotecas independientes de la isla y se pondrá en circulación general.
Se publicarán otros libros que contendrán las obras completas de 12
corresponsales de CubaNet que están ahora en prisión.
Desde la ofensiva, el número de corresponsales de CubaNet ha descendido de
40 a 28.
Para obtener más información, visite:
http://www.knightfdn.org/default.asp?story=news_at_knight/releases/2003/2003_07_16_cubanet.html
Lea el nuevo informe sobre Cuba del CPJ:
http://www.cpj.org/Briefings/2003/cubacrackdown/introduction.html#intro_sp
http://www.ifex.org/es/content/view/full/52603/
________________________________________________________________________
________________________________________________________________________
Message: 3
Date: Fri, 10 Jun 2005 12:42:40 +0200
From: "PL" <***@pandora.be>
Subject: Crackdown on the independent press in Cuba.
Crackdown on the independent press in Cuba.
Special Report Introduction
While the world's attention was focused on the U.S.-led war against Iraq, in
late March and early April, 2003, the Cuban government launched a massive
crackdown on the independent press and the opposition. In all, 29
journalists were arrested, convicted, and given prison sentences ranging
from 14 and 27 years.
The detentions of journalists and political dissidents, who are often
accused of being "counterrevolutionaries" at the service of the United
States, began on March 18 and continued for three days. Police raided and
searched the journalists' homes, confiscating books, typewriters, research
materials, cameras, computers, printers, and fax machines.
At the home of Ricardo González Alfonso, who is the director of the
journalists' association Sociedad de Periodistas Manuel Márquez Sterling,
police confiscated a fax machine, a printer, and a laptop computer that had
been used to publish the association's bimonthly magazine, De Cuba.
The journalists were taken to headquarters of the State Security Department
(DSE)-the political police. A few days later, in early April, prosecutors
requested life imprisonment for three journalists and prison terms ranging
from 15 to 30 years for the rest.
The journalists' one-day summary trials were held on April 3 and 4 behind
closed doors. According to a communiqué issued by several well-known
dissidents, in several cases, defense lawyers could not access their clients
or only had a few hours to prepare their cases.
On April 7, courts across the island announced prison sentences for the 29
journalists, ranging from 14 to 27 years. González Alfonso and prominent
journalist and poet Raúl Rivero were each sentenced to 20 years in prison.
According to the prosecutor's petition, the two journalists were accused of,
among other charges, creating the journalists' organization Sociedad de
Periodistas Manuel Márquez Sterling and its "subversive" magazine, De Cuba.
Rivero and González Alfonso were tried under Article 91 of the Penal Code,
which imposes lengthy prison sentences or death for those who act against
"the independence or the territorial integrity of the State." Other
journalists were also prosecuted for violating Law 88 for the Protection of
Cuba's National Independence and Economy, which imposes up to 20 years in
prison for anyone who commits "acts that in agreement with imperialist
interests are aimed at subverting the internal order of the Nation and
destroy its political, economic, and social system."
The journalists remained imprisoned in several jails administered by the
State Security Department until April 24, 2003, when most were sent to jails
located hundreds of miles from their homes.
In June 2004, imprisoned journalist Carmelo Díaz Fernández was granted a
medical parole but was warned that he would be sent back to prison if he
recovered from his illnesses or did not maintain "good behavior." Manuel
Vázquez Portal, one of CPJ's 2003 International Press Freedom Award winners,
was released without explanation that same month. Upon his release, two
state security officers suggested that Vázquez Portal leave the country. In
October 2004, he was given a document indicating he had been granted a
medical parole.
Rivero, Oscar Espinosa Chepe, Edel José García, and Jorge Olivera Castillo
were all released on medical paroles in late November and early December
2004. During the same period, the other 23 journalists were transferred to
prison hospitals in Havana, ostensibly for medical checkups. The transfers
came as Cuba resumed formal diplomatic contacts with Spain in a possible
precursor to normalizing relations with the European Union. The
circumstances fueled speculation that additional releases were imminent, but
all 23 were returned to their prisons.
As of January 2005, most of the journalists remained in prisons far from
their homes, adding to heavy burden on their families.
Below are the letters and alerts that CPJ has published since March 2003 to
denounce the crackdown on the independent press in Cuba. This section will
be updated periodically as we learn more about the status of the imprisoned
journalists. For more information, please contact CPJ's Americas program
coordinator Carlos Lauría at (212) 465-1004 x112 or via e-mail at
***@cpj.org
{Introducción a la sección especial}
Mientras la atención del mundo se concentraba en la guerra contra Iraq
liderada por Estados Unidos, a fines de marzo y comienzos de abril el
gobierno cubano lanzó una ofensiva en gran escala contra la prensa
independiente y la disidencia. En total, 29 periodistas fueron arrestados,
condenados y sentenciados a penas de prisión de entre 14 y 27 años.
Las detenciones de periodistas y disidentes políticos, quienes a menudo son
acusados de ser «contrarrevolucionarios» al servicio de Estados Unidos,
comenzaron el 18 de marzo y continuaron por tres días. Agentes de la policía
allanaron y registraron los hogares de los periodistas y les incautaron
libros, máquinas de escribir, materiales de archivo, cámaras, computadoras,
impresoras y aparatos de fax.
En la casa de Ricardo González Alfonso, director de la Sociedad de
Periodistas Manuel Márquez Sterling, la policía confiscó el fax, una
impresora y una computadora portátil que habían sido utilizados para
publicar la revista bimensual de la organización, De Cuba.
Los periodistas fueron trasladados a las sedes del Departamento de Seguridad
del Estado (DSE), la policía política. Unos pocos días después, a comienzos
de abril, fiscales solicitaron cadena perpetua para tres periodistas y penas
de prisión de entre 15 y 30 años para el resto.
Los juicios sumarios de los periodistas, que duraron un día, se realizaron
el 3 y el 4 de abril a puerta cerrada. Según un comunicado difundido por
conocidos disidentes, en varios casos los abogados de la defensa no tuvieron
acceso a los defendidos o sólo tuvieron unas horas para preparar la defensa.
El 7 de abril, tribunales a lo largo de toda la isla dictaron penas de
cárcel para los 29 periodistas, que oscilan entre 14 y 27 años. González
Alfonso y el destacado periodista y poeta Raúl Rivero fueron sentenciados a
20 años de cárcel. De acuerdo con la petición fiscal, los dos periodistas
fueron acusados de, entre otras cosas, crear la organización Sociedad de
Periodistas Manuel Márquez Sterling y su «subversiva» revista, De Cuba.
Rivero y González Alfonso fueron procesados de conformidad con el Artículo
91 del Código Penal, que prevé largas sanciones de privación de libertad o
muerte para todo el que actúe contra «la independencia o la integridad
territorial del Estado». Otros periodistas fueron enjuiciados por violar la
Ley 88 de Protección de la Independencia Nacional y la Economía de Cuba, que
dispone sanciones de privación de libertad de hasta 20 años para toda
persona que cometa «acciones que en concordancia con los intereses
imperialistas persiguen subvertir el orden interno de la Nación y destruir
su sistema político, económico y social».
Los periodistas permanecieron encarcelados en celdas del Departamento de
Seguridad del Estado hasta el 24 de abril del 2003, cuando la mayoría de
ellos fueron trasladados a cárceles ubicadas a cientos de kilómetros de sus
hogares.
En junio del 2004, el periodista preso Carmelo Díaz Fernández recibió una
licencia extrapenal por motivos de salud, pero le advirtieron que si se
ponía bien de salud o no tenía una "buena conducta", sería remitido de nuevo
a la prisión. Manuel Vázquez Portal, uno de los periodistas galardonados con
el Premio Internacional a la Libertad de Prensa del CPJ en el 2003, fue
liberado sin explicación alguna ese mismo mes. Luego de su liberación, dos
agentes de la seguridad del Estado le sugirieron que abandonara el país. En
octubre del 2004, le entregaron un documento donde constaba que había
recibido una licencia extrapenal por motivos de salud.
Rivero, Oscar Espinosa Chepe, Edel José García y Jorge Olivera Castillo
recibieron licencias extrapenales por motivos de salud y fueron liberados a
finales de noviembre y principios de diciembre del 2004. En el mismo
período, las autoridades trasladaron a los demás 23 periodistas presos a
hospitales penitenciarios en La Habana, con la aparente finalidad de
someterlos a un chequeo médico. Los traslados se efectuaron después de que
el gobierno cubano reanudara contactos diplomáticos formales con España como
un paso previo a la normalización de las relaciones entre Cuba y la Unión
Europea. Las circunstancias hicieron pensar a muchos que más liberaciones
eran inminentes, pero los 23 periodistas fueron enviados de regreso a las
prisiones de origen.
Para enero del 2005, la mayoría de los periodistas permanecían encerrados en
prisiones ubicadas lejos de sus hogares, lo que significa una carga más para
sus familias.
A continuación aparecen las cartas y alertas que el CPJ ha publicado desde
marzo del 2003 para denunciar la ofensiva contra la prensa independiente
cubana. Esta sección será actualizada periódicamente a medida que recibamos
más noticias sobre el estado de los periodistas presos. Para más
información, por favor comunicarse con Carlos Lauría, coordinador del
programa de las Américas del CPJ, llamando al (212) 465-1004 ext. 120 o
enviando un correo electrónico a la dirección ***@cpj.org.
{News Alerts - 2003-2005}
2004
CUBA: A journalist is freed as more than 20 remain jailed
POSTED December 7, 2004
CUBA: Rivero released on medical parole
POSTED November 30, 2004
CUBA: Imprisoned journalist released on medical parole
POSTED November 29, 2004
Versión en español
Versão em português
CUBA: CPJ condemns treatment of imprisoned journalists
Versión en español
Versão em português
POSTED September 2, 2004
CUBA: CPJ concerned about deteriorating health of imprisoned journalists
Versión en español
Versão em português
POSTED July 28, 2004
CUBA: Two imprisoned journalists granted medical parole
Versión en español
Versão em português
POSTED June 24, 2004
CUBA: Another imprisoned journalist starts hunger strike
Versión en español
Versão em português
POSTED May 21, 2004
CUBA: Imprisoned journalist on hunger strike
Versión en español
Versão em português
POSTED May 7, 2004
CUBA: One year later, CPJ renews call for release of journalists
Versión en español
Versão em português
POSTED April 7, 2004
CUBA: Prominent U.S. and Latin American journalists call for release of
imprisoned Cuban journalists
Versión en español>>
Versão em português>>
POSTED March 16, 2004
2003
CUBA: Journalist released after six years in prison
Versión en español
Versão em português
POSTED November 18, 2003
CUBA: CPJ concerned about imprisoned journalists' welfare
Versión en español
Versão em português
POSTED November 12, 2003
CUBA: Imprisoned journalists continue hunger strike
Versión en español
Versão em português POSTED October 29, 2003
CUBA: CPJ concerned about journalists on hunger strike
Versión en español
Versâo em português
POSTED September 3, 2003
CUBA: CPJ alarmed by deteriorating health of Cuban journalist
Versión en español
Versâo em português
POSTED August 11, 2003
CUBA: CPJ mission confirms dire situation for imprisoned journalists and
their families
Versión en español
Versão em portugês
POSTED July 18, 2003
CUBA: CPJ concerned about health of imprisoned journalist
Versión en español
Versão em português
POSTED April 23, 2003
CUBA: CPJ condemns convictions of independent Cuban journalists
Versión en español
POSTED April 9, 2003
CUBA: CPJ condemns trials of independent journalists
Versión en español
POSTED April 4, 2003
CUBA: CPJ protests vicious crackdown on independent press
Versión en español
POSTED April 2, 2003
CUBA: CPJ learns of prominent journalist's arrest
POSTED March 25, 2003
CUBA: Nine more journalists detained bringing the total to 19
POSTED March 20, 2003
CUBA: Ten journalists detained
Versión en español
POSTED March 19, 2003
CUBA: Argentine professor detained for interviewing independent journalists
Versión en español
POSTED February 14, 2003
http://www.cpj.org/Briefings/2003/cubacrackdown/introduction.html
---------------------------------------------------------------------
Yahoo! Groups Links
<*> To visit your group on the web, go to:
http://groups.yahoo.com/group/CubaVerdad/
<*> To unsubscribe from this group, send an email to:
CubaVerdad-***@yahoogroups.com
<*> Your use of Yahoo! Groups is subject to:
http://docs.yahoo.com/info/terms/
--------------------------------------------------------------------------
"If ye love wealth greater than liberty,
the tranquility of servitude
better than the animating contest for freedom,
go home and leave us in peace.
We seek not your council nor your arms.
Crouch down and lick the hand that feeds you,
and may posterity forget that ye were our countrymen."
--Samuel Adams