ici içi-git
2017-05-18 22:08:35 UTC
Ça y est. Il y a quelques jours, la vague de la mort a atteint l'océan
Atlantique, terminant de tuer tout sur son passage et achevant,
inéluctablement, la mort du Rio Doce, cinquième plus grand fleuve du
Brésil.
Assassiné dans son lit, le "fleuve doux" — c'est son nom, en français —
abritait une multitude d'espèces animales, de poissons, d'insectes, de
reptiles et d'amphibiens en tous genres. Il apportait aussi la vie à un
bon nombre de foyers situés tout le long de ses berges, pêcheurs,
agriculteurs entre autres.
Le 5 novembre, un barrage de déchets de minerais de fer, appartenant à
la compagnie minière Samarco, cède dans l'État Brésilien du Minas
Gerais. La rupture du barrage entraîne une gigantesque coulée de boues
toxiques qui a littéralement submergé le village de Bento Rodrigues
situé en aval, faisant au moins 13 morts.
Puis, la coulée a continué à se répandre, sans que l'on puisse
l'arrêter, descendant le long du fleuve jusqu'à l'océan (650
kilomètres) , répandant la mort sur son passage.
https://www.trespopulai.re/wp-post/3104-le-desastre-sans-precedent-sur.html?utm_source=V&utm_medium=redirect&utm_campaign=fr
Atlantique, terminant de tuer tout sur son passage et achevant,
inéluctablement, la mort du Rio Doce, cinquième plus grand fleuve du
Brésil.
Assassiné dans son lit, le "fleuve doux" — c'est son nom, en français —
abritait une multitude d'espèces animales, de poissons, d'insectes, de
reptiles et d'amphibiens en tous genres. Il apportait aussi la vie à un
bon nombre de foyers situés tout le long de ses berges, pêcheurs,
agriculteurs entre autres.
Le 5 novembre, un barrage de déchets de minerais de fer, appartenant à
la compagnie minière Samarco, cède dans l'État Brésilien du Minas
Gerais. La rupture du barrage entraîne une gigantesque coulée de boues
toxiques qui a littéralement submergé le village de Bento Rodrigues
situé en aval, faisant au moins 13 morts.
Puis, la coulée a continué à se répandre, sans que l'on puisse
l'arrêter, descendant le long du fleuve jusqu'à l'océan (650
kilomètres) , répandant la mort sur son passage.
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