Philippe RAI
2018-02-08 14:22:43 UTC
Les migrants sous la neige à Paris ? Bien fait, z'avaient qu'à rester
chez eux.
Christine Tasin
http://resistancerepublicaine.eu/2018/02/08/les-migrants-sous-la-neige-a-paris-bien-fait-zavaient-qua-rester-chez-eux/
Ce n'est pas du cynisme, c'est du bon sens.
Ces gens quittent l'Afrique – continent au sous-sol plus que riche,
continent qui, grâce à son climat, permet dans nombre de pays des
récoltes pratiquement toute l'année – pour venir, sans y être invités,
en trichant, en cachant leur nom, en mentant sur leur âge, en laissant
leur famille dans des pays où eux, prétendument, souffriraient. Et ils
campent sous la neige ? Bien fait pour leur gueule. Ils n'en bavent pas
assez encore.
Qu'ils retournent chez eux, qu'ils envoient des SMS avec leurs Iphone
dernier cri pour dire que la France n'est pas l'Eldorado promis. Qu'on
cesse de les aider, qu'ils se prennent par la main pour changer les
choses chez eux, pour chasser les politiques corrompus, pour faire des
puits, irriguer le désert s'il le faut… Les Israéliens l'ont bien fait.
Les Français qui ont fait de la Mitidja un jardin d'Eden l'ont bien
fait, eux. La Mitidja en 1850 ci-dessous :
C'est que dès 1830 les Français avaient eu à coeur de planter, lutter
contre le désert, ils pensaient même attacher les Arabes à leur pays,
attacher les Nomades à une terre, comme le Général Bugeaud, qui, en
1841, disait à son Ministre de la guerre : « Tâchons de donner aux
Arabes le goût de la culture des arbres, parce que rien ne rend
sédentaire et n'attache à la réalité comme cela ». Les Français ont
travaillé comme des fous, planté, reboisé…
Qu'attendent-ils pour faire pareil, les Algériens de 2018, les
Somaliens, Erythréens et autres « migrants » ?
Même Oumma.com le reconnaît, à sa manière, c'est dire :
L'Algérie n'est jamais parvenue à atteindre l'autosuffisance alimentaire
en raison de choix économiques catastrophiques au lendemain de
l'indépendance, qui ont sacrifié son agriculture, au profit d'une
politique du développement des hydrocarbures. Ces mauvais choix ont
contraint ce pays à tout importer, y compris des fruits et légumes,
pour une facture alimentaire totale, évaluée à plus de 10 milliards de
dollars.
L'Algérie avait pourtant à la fin des années 40 une agriculture
florissante, comme le démontre le reportage ci-dessous de la télévision
française.
La voix-off de ce reportage rappelle avec enthousiasme que "L'Algérie
récolte à profusion pommes de terre, carottes, artichauts, pois,
haricots verts, tomates lorsqu'en France les vergers fleurissent à
peine. Les courriers d'Algérie transportent des cerises, des abricots
que le soleil a fait mûrir en avance et qui sont en Europe les
annonciateurs du printemps. Et quand le verglas et la neige recouvrent
les campagnes européennes, les clémentines, les citrons, les oranges,
dates au goût de miel mettent sur les tables par leur couleur un rayon
de soleil.
Citons quelques chiffre: au cours de l'automne et de l'hiver 47 et 48,
l'Algérie a exporté 900 000 quintaux d'agrumes, 200 000 quintaux de
dattes, 350 000 quintaux de figues sèches. Au cours de l'année tout
entière plus de deux millions de quintaux de fruits et de légumes frais,
pendant le seul printemps de 1948, 700 000 quintaux de pommes de terre
nouvelles ont été importées d'Algérie".
https://oumma.com/quand-lalgerie-etait-une-grande-puissance-agricole-exportatrice-video/
A comparer avec cet article :
http://www.reussir.fr/fruits-legumes/fruits-legumes/un-premier-bateau-francais-pour-l-algerie
Personne ne choisit ses parents, sa couleur de peau, le pays qui l'a vu
naître, ses points forts et handicaps. Cela fait partie des hasards de
la vie. La grandeur de l'homme c'est de faire avec, de tirer parti de ce
qu'il est ou a, de ce qu'il n'a pas ou n'est pas, pour vivre la
meilleure vie possible, pour apporter à la terre qui l'a vu naître ses
talents, ses efforts, son amour… et transmettre à ses descendants un
pays meilleur.
On a accueilli, dans les années 90, nombre d'Algériens qui risquaient
effectivement leur vie avec le FIS et on a bien fait. Chacun sait – même
les politiques le reconnaissent – qu'il y a très peu de migrants qui
risquent vraiment leur vie dans leur pays et qu'ils sont essentiellement
des « réfugiés économiques », traduisez des gens qui ont envie de
changer d'air, de vivre en Occident. Et d'y apporter leurs coutumes et
mode de vie qu'ils nous imposent, tant qu'à faire.
On fuit le pays mais on veut transformer l'Eldorado en un double de ce
pays….
Alors, les migrants sous la neige ? Rien à faire. Aucune pitié. Même
pour les très rares enfants qui pourraient se trouver avec eux ( mais
j'en doute eu égard à l'efficacité des associations que nous engraissons
), ils servent trop souvent à éviter aux illégaux d'être renvoyés chez
eux.
Et puis, ces enfants, demain, sont ceux qui remplaceront les nôtres,
pousseront les nôtres vers l'étranger ou la tombe car il y a,
statistiquement, forcément, de futurs djihadistes parmi ces gens qui
sont sous les tentes. Même si l'immense majorité de ceux-ci sont
paisibles et ne demandent qu'à vivre une autre vie, même s'il n'y a
qu'un assassin potentiel parmi 10 000 d'entre eux, c'est un de trop. Le
principe de précaution doit amener à les renvoyer tous, sans exception,
d'où ils viennent. C'est eux ou nous, et c'est de plus en plus clair
pour le monde entier :
http://resistancerepublicaine.eu/2018/02/08/le-djihad-silencieux-annonce-la-guerre-civile-et-montre-comment-le-halal-finance-le-terrorisme/
Si j'étais croyante, je prierais pour qu'il y ait encore plus
d'inondations, plus de neige, qu'ils se caillent de plus en plus… et
qu'ils dégagent. Ils sont chez nous et n'ont même pas eu la politesse de
faire ce que nous faisons tous : frapper avant d'entrer, demander la
permission d'entrer quand on va chez les autres. Dehors !
chez eux.
Christine Tasin
http://resistancerepublicaine.eu/2018/02/08/les-migrants-sous-la-neige-a-paris-bien-fait-zavaient-qua-rester-chez-eux/
Ce n'est pas du cynisme, c'est du bon sens.
Ces gens quittent l'Afrique – continent au sous-sol plus que riche,
continent qui, grâce à son climat, permet dans nombre de pays des
récoltes pratiquement toute l'année – pour venir, sans y être invités,
en trichant, en cachant leur nom, en mentant sur leur âge, en laissant
leur famille dans des pays où eux, prétendument, souffriraient. Et ils
campent sous la neige ? Bien fait pour leur gueule. Ils n'en bavent pas
assez encore.
Qu'ils retournent chez eux, qu'ils envoient des SMS avec leurs Iphone
dernier cri pour dire que la France n'est pas l'Eldorado promis. Qu'on
cesse de les aider, qu'ils se prennent par la main pour changer les
choses chez eux, pour chasser les politiques corrompus, pour faire des
puits, irriguer le désert s'il le faut… Les Israéliens l'ont bien fait.
Les Français qui ont fait de la Mitidja un jardin d'Eden l'ont bien
fait, eux. La Mitidja en 1850 ci-dessous :
C'est que dès 1830 les Français avaient eu à coeur de planter, lutter
contre le désert, ils pensaient même attacher les Arabes à leur pays,
attacher les Nomades à une terre, comme le Général Bugeaud, qui, en
1841, disait à son Ministre de la guerre : « Tâchons de donner aux
Arabes le goût de la culture des arbres, parce que rien ne rend
sédentaire et n'attache à la réalité comme cela ». Les Français ont
travaillé comme des fous, planté, reboisé…
Qu'attendent-ils pour faire pareil, les Algériens de 2018, les
Somaliens, Erythréens et autres « migrants » ?
Même Oumma.com le reconnaît, à sa manière, c'est dire :
L'Algérie n'est jamais parvenue à atteindre l'autosuffisance alimentaire
en raison de choix économiques catastrophiques au lendemain de
l'indépendance, qui ont sacrifié son agriculture, au profit d'une
politique du développement des hydrocarbures. Ces mauvais choix ont
contraint ce pays à tout importer, y compris des fruits et légumes,
pour une facture alimentaire totale, évaluée à plus de 10 milliards de
dollars.
L'Algérie avait pourtant à la fin des années 40 une agriculture
florissante, comme le démontre le reportage ci-dessous de la télévision
française.
La voix-off de ce reportage rappelle avec enthousiasme que "L'Algérie
récolte à profusion pommes de terre, carottes, artichauts, pois,
haricots verts, tomates lorsqu'en France les vergers fleurissent à
peine. Les courriers d'Algérie transportent des cerises, des abricots
que le soleil a fait mûrir en avance et qui sont en Europe les
annonciateurs du printemps. Et quand le verglas et la neige recouvrent
les campagnes européennes, les clémentines, les citrons, les oranges,
dates au goût de miel mettent sur les tables par leur couleur un rayon
de soleil.
Citons quelques chiffre: au cours de l'automne et de l'hiver 47 et 48,
l'Algérie a exporté 900 000 quintaux d'agrumes, 200 000 quintaux de
dattes, 350 000 quintaux de figues sèches. Au cours de l'année tout
entière plus de deux millions de quintaux de fruits et de légumes frais,
pendant le seul printemps de 1948, 700 000 quintaux de pommes de terre
nouvelles ont été importées d'Algérie".
https://oumma.com/quand-lalgerie-etait-une-grande-puissance-agricole-exportatrice-video/
A comparer avec cet article :
http://www.reussir.fr/fruits-legumes/fruits-legumes/un-premier-bateau-francais-pour-l-algerie
Personne ne choisit ses parents, sa couleur de peau, le pays qui l'a vu
naître, ses points forts et handicaps. Cela fait partie des hasards de
la vie. La grandeur de l'homme c'est de faire avec, de tirer parti de ce
qu'il est ou a, de ce qu'il n'a pas ou n'est pas, pour vivre la
meilleure vie possible, pour apporter à la terre qui l'a vu naître ses
talents, ses efforts, son amour… et transmettre à ses descendants un
pays meilleur.
On a accueilli, dans les années 90, nombre d'Algériens qui risquaient
effectivement leur vie avec le FIS et on a bien fait. Chacun sait – même
les politiques le reconnaissent – qu'il y a très peu de migrants qui
risquent vraiment leur vie dans leur pays et qu'ils sont essentiellement
des « réfugiés économiques », traduisez des gens qui ont envie de
changer d'air, de vivre en Occident. Et d'y apporter leurs coutumes et
mode de vie qu'ils nous imposent, tant qu'à faire.
On fuit le pays mais on veut transformer l'Eldorado en un double de ce
pays….
Alors, les migrants sous la neige ? Rien à faire. Aucune pitié. Même
pour les très rares enfants qui pourraient se trouver avec eux ( mais
j'en doute eu égard à l'efficacité des associations que nous engraissons
), ils servent trop souvent à éviter aux illégaux d'être renvoyés chez
eux.
Et puis, ces enfants, demain, sont ceux qui remplaceront les nôtres,
pousseront les nôtres vers l'étranger ou la tombe car il y a,
statistiquement, forcément, de futurs djihadistes parmi ces gens qui
sont sous les tentes. Même si l'immense majorité de ceux-ci sont
paisibles et ne demandent qu'à vivre une autre vie, même s'il n'y a
qu'un assassin potentiel parmi 10 000 d'entre eux, c'est un de trop. Le
principe de précaution doit amener à les renvoyer tous, sans exception,
d'où ils viennent. C'est eux ou nous, et c'est de plus en plus clair
pour le monde entier :
http://resistancerepublicaine.eu/2018/02/08/le-djihad-silencieux-annonce-la-guerre-civile-et-montre-comment-le-halal-finance-le-terrorisme/
Si j'étais croyante, je prierais pour qu'il y ait encore plus
d'inondations, plus de neige, qu'ils se caillent de plus en plus… et
qu'ils dégagent. Ils sont chez nous et n'ont même pas eu la politesse de
faire ce que nous faisons tous : frapper avant d'entrer, demander la
permission d'entrer quand on va chez les autres. Dehors !