Bip
2017-05-27 23:07:02 UTC
http://secher.bernard.free.fr/blog/index.php?post/2015/08/27/Structure-g%C3%A9n%C3%A9tique-%C3%A0-petite-%C3%A9chelle-de-la-population-Fran%C3%A7aise
Dans l'avant-dernière image (esquisse de France en pointillés) la
couleur des points indique le particularisme flagrant du Grand Est :
identification évidente avec les invasions germanioques.
Sur la côte méditerranéenne une autre couleur indique une population
différente : clairement la première colonisation romaine.
Et par déduction le reste de la carte indique une population aux
racines majoritairement gauloises. On y inclut les gascons tardivement
conquis par les gaulois et donc à la génétique indiquée d'une autre
couleur.
C'est donc un fait : les masses démographiques présentent une inertie
appréciable, visible même après 2000 ans.Les historiens classiques le
pressentaient :
Selon Jacques Dupâquier, ce processus démographique des invasions
concernerait une population de moins de 10% sur l'ensemble de la Gaule,
mais peut-être 12 à 21 % en Gaule du nord.
Ce pour les 5 ou 6 millions de gaulois voici 1800 ans, donc il en est
resté beaucoup, sauf dans le Grand Est ravagé et repeuplé.
Les minables qui parlent d'un brassage total ne savent pas compter.
Aucun français de 1914 n'est 100% gaulois mais pratiquement aucun n'est
0% gaulois
Dans les Pays de Loire et L'Auvergne, s'il était permis d"enquêter
davantage on trouverait probablement que leurs habitants en 1914
avaient entre 50% et 70% d'ancêtres gaulois.
(et peut-être même encore aujourd'hui dans certains départements)
Dans l'avant-dernière image (esquisse de France en pointillés) la
couleur des points indique le particularisme flagrant du Grand Est :
identification évidente avec les invasions germanioques.
Sur la côte méditerranéenne une autre couleur indique une population
différente : clairement la première colonisation romaine.
Et par déduction le reste de la carte indique une population aux
racines majoritairement gauloises. On y inclut les gascons tardivement
conquis par les gaulois et donc à la génétique indiquée d'une autre
couleur.
C'est donc un fait : les masses démographiques présentent une inertie
appréciable, visible même après 2000 ans.Les historiens classiques le
pressentaient :
Selon Jacques Dupâquier, ce processus démographique des invasions
concernerait une population de moins de 10% sur l'ensemble de la Gaule,
mais peut-être 12 à 21 % en Gaule du nord.
Ce pour les 5 ou 6 millions de gaulois voici 1800 ans, donc il en est
resté beaucoup, sauf dans le Grand Est ravagé et repeuplé.
Les minables qui parlent d'un brassage total ne savent pas compter.
Aucun français de 1914 n'est 100% gaulois mais pratiquement aucun n'est
0% gaulois
Dans les Pays de Loire et L'Auvergne, s'il était permis d"enquêter
davantage on trouverait probablement que leurs habitants en 1914
avaient entre 50% et 70% d'ancêtres gaulois.
(et peut-être même encore aujourd'hui dans certains départements)