Post by u***@gmail.comPost by K.Post by Y en a marrePost by K.Post by Mr H.ÂMaurice Audin militant communiste et anticolonialiste que l'armée
française a arrêté le 11 juin 1957 par l'armée française n'a jamais été
revu vivant. Son corps n'a jamais été retrouvé.
Le crime va enfin être reconnu par un gouvernement français,
reconnaissance qui a été réclamée par sa veuve et sa fille depuis 61 ans
sans succès jusqu'à maintenant.
https://www.francetvinfo.fr/france/video-les-aveux-posthumes-du-gener
al-aussaresses-on-a-tue-audin_500432.html
Un communiste anti-français, où est le problème ?
Même s'il représentait un danger, ce n'était pas une raison pour
l'assassiner. Il suffisait de le mettre en prison.
Pourquoi devrait-on rendre justice à Maurice Audin ? Parce que membre du
Parti Communiste Algérien il a collaboré activement avec l'ennemi de la
France ?
l'inacceptable au pire est toujours en cours.
Post by u***@gmail.commérite-t-il pas douze balles dans la peau ?
S'il avait été exécuté on ne trouverait rien à redire, cela aurait été
logique, oui, mais voilà, on ne sait pas exactement comment il est mort !
Que l'on recherche la façon dont il a trouvé la mort, cela va de soi, mais
qu'on lui rende hommage officiellement, est une honte pour la France. Et
c'est pourtant ce qui a été fait, notamment à Paris, où le maire de
l'époque, Bertrand Delanoë, avait inauguré une « Place Maurice Audin »
dans le Vème arrondissement, ainsi qu'un Parc à Argenteuil.
La journaliste, Nathalie Funès, modératrice de la conférence «
Maghreb-Orient des livres 2018 » suppose que les archives ne révèleront
pas grand-chose, nous le supposons également. Elle souhaite donc un moyen
de « libérer la parole » au niveau de l'armée, afin que les derniers
acteurs, encore vivants, apportent leurs témoignages.
Ces « acteurs encore vivants » ont tous dépassés les quatre-vingts ans
et, s'il en reste, ils n'ont pas tous « torturés » au CTT des
parachutistes d'El Biar.
Elle souhaite démontrer quoi ? Que la torture était appliquée durant la
guerre d'Algérie ? Mais bien évidemment, comme dans toutes les guerres et
le FLN et l'ALN ne s'en sont pas privés. Justement, parmi ces 3000 à 3200
« disparus » fellaghas, combien ont été supprimés par ces deux
organisations terroristes ?
Tous les Français qui ont collaboré avec les ennemis de la France
méritaient la peine capitale. Tous ne l'ont pas subi, hélas ! Et nombreux
sont revenus terminer leur vie en toute sérénité, en France.
N'est-ce pas le souhait de tous ces djihadistes encore en Syrie, en Irak,
ou ailleurs ?