Post by sts99C'est aussi pour ça que les syndicats et le PC, ils sont en train de
disparaître avec la gauche, tous des immigrationistes traitres forcénés,
Assurés d'une grande adhésion populaire dans les années 50 ils en
arrivent à des miettes, il serait temps de chercher ou et comment leurs
directions se sont trompées.
Ils ne se sont pas trompés. L'URSS est une expérience de l'oligarchie
anglo-saxonne qui a mal tourné. La révolution bolchévique a été financée
par les Allemands mais aussi par Wall Street, comme le montre Sutton.
L'URSS a été financée, aidée, organisée par des Américains comme le
montre le même Sutton :
<https://www.voltairenet.org/IMG/pdf/Sutton_Wall_Street_and_the_bolshevik_revolution-5.pdf>
L'URSS a été l'équivalent de la Chine aujourd'hui : un pays dont le
décollage économique et industriel s'est fait grâce à l'oligarchie
anglo-américaine au détriment de tout l'Occident d'ailleurs d'où Trump
et le Brexit. Mais comment une telle chose est-elle possible ? Les
Anglo-saxons c'est le capitalisme et le libéralisme, voyons ! Oui mais
pas au niveau de l'oligarchie qui au contraire recherche la fusion entre
le capitalisme et le communisme (voir le lien ci-dessous).
Dès que Wall Street et la City ont décidé de l'extinction de
l'expérience soviétique au début des années 80 l'URSS a commencé à aller
très mal avant de s'effondrer dix ans plus tard. Et immédiatement les
élites Anglo-américaines ont lancé le nouveau paradigme économique qui
allait permettre le décollage de la Chine communiste. Ce nouveau
paradigme a été mis en place sous Clinton aux USA et John Major pour le
RU. Il a été négocié par Mickey Kantor, fonctionnaire juif américain,
pour Wall Street et par Leon Brittan, juif britannique, ex ministre de
Thatcher, commissaire européen et accessoirement pédophile notoire, pour
la City.
https://www.voltairenet.org/article164176.html
La société fabienne (Fabian society) [34]
La société fabienne [35] est un institut qui a vu le jour à Londres en
1884 sous l’impulsion de politique anglais comme Sydney Webb (1859-1947)
et de son épouse, Béatrice Webb, ou encore de l’écrivain irlandais
George Bernard Shaw (1856-1950). L’avant-garde de cette société se fit
sous l’influence de promoteur du socialisme comme Robert Owen
(1771-1858) [36] qui transmit ses idées à John Ruskin (1819-1900,
professeur à l’université d’Oxford [37] et qui influença Cecil Rhodes)
[38]. D’autres personnes imprégnées d’un idéal socialiste chrétien comme
Frederik Derrison Maurice (1805-1872) ont posé les jalons au cours du
XIXè siècle ouvrant la voie à la fondation de la société fabienne. Le
choix de « fabien » (fabian) s’explique puisqu’il se réfère au général
romain de l’époque des guerres puniques (vers – 200 av - JC), Fabius
Cunctator (c’est-à-dire le « temporisateur »). Face au général
carthaginois Hannibal, le militaire romain pratiquait la politique de
guérilla qui consistait à ne pas brusquer les choses afin d’atteindre
son but. C’est cette méthode de changement en douceur mais implacable
qui est la marque de fabrique de la société fabienne. Celle-ci défend le
principe d’une société sans classe devant conduire à la synthèse du
socialisme (l’Etat providence) et du capitalisme (les lois du marché),
le tout devant aboutir à la mise en forme d’une économie monopolistique
dans un cadre étatique mondial. Afin de répondre aux ambitions de cette
société, ses dirigeants estiment qu’il faut y aller pas à pas ou, selon
leur expression, par « graduation ». L’influence de cette société est
immense car de nombreux politiques anglais ont été membres de la société
fabienne [39]. Cependant, cette influence a été d’autant plus importante
que cette société a été à l’origine de la création de la London School
of Economics (LES) en 1895 sous l’impulsion de Sydney Webb. Cette
prestigieuse école de formation économique qui s’est diversifiée par la
suite a formé, dans un esprit fabien, des générations de dirigeants
anglais, mais aussi de nombreux étudiants de part et d’autre de la
planète. Ceux-ci sont souvent devenus par la suite des acteurs majeurs
de la vie politique et économique de leurs pays. Ainsi, l’ancien
président de la Commission européenne, Romano Prodi ; le président John
Kennedy ; la reine du Danemark Margarethe II ; Pierre Trudeau (Premier
ministre canadien) ; le lobbyiste et membre de plusieurs think tanks
Richard Perle (« le prince des ténèbres ») ; le financier George Soros
(fondateur des instituts Open Society) ; l’ancien conseiller de François
Mitterrand, Erik Orsenna et même le chanteur des Rolling stones, Mike
Jagger (il n’a fait qu’un an ! [40]), ont fréquenté les bancs de cette
école. Cette dernière grâce à l’action de la société fabienne a
contribué au formatage de nombreux esprits de part le monde. Cependant,
l’influence de cette société a été variée, entre autres grâce à l’action
d’un de ses membres, l’écrivain Herbert George Wells (1866-1946).
H.G. Wells (1866-1946)
Imprégné de l’idéal fabien, H.G Wells a su développer ses vues dans de
nombreux livres. Auteur à succès comme L’Homme invisible, La Machine à
remonter le temps ou encore La Guerre des mondes, cet écrivain anglais a
su répandre ses convictions dans un ouvrage paru en 1928, Open
conspiracy (« conspiration ouverte ») [41] , prônant un Etat mondial
sans classe, contrôlant tout (« une nouvelle communauté humaine » selon
son expression), encourageant la réduction drastique de la population
mondiale et la pratique de l’eugénisme. En fait, dès le début, H.G Wells
a présenté ses théories dans un ouvrage méconnu et dont le titre
correspond exactement à la formule maçonnique Ordo ab chao : La
Destruction libératrice. Paru en 1914, cet ouvrage raconte l’histoire
d’une guerre généralisée aboutissant à la création d’un Etat mondial
constitué en 10 blocs (« 10 circonscriptions » selon la formule de
l’auteur [42]). C’est dans ce livre – rappelons-le paru en 1914 – que
l’on retrouve l’expression « Nouvel ordre mondial » [43]. Par la suite,
H.G Wells a récidivé en publiant un livre en 1940 au titre sans
équivoque : Le Nouvel ordre mondial [44].
Tous ses représentants fabiens fréquentaient et collaboraient de près ou
de loin avec l’équipe de Cecil Rhodes puis de Lord Milner. Un véritable
esprit de corps en faveur d’un but commun, un Etat mondial, animait ces
différentes personnes. Ces élites anglo-saxonnes, qui ne sont que la
suite logique de ces aristocraties commerciales du Moyen-Âge, ont
continué à rassembler leurs forces au sein d’autres clubs comme la
Pilgrim Society en 1902 à Londres et à New York [45]. La vitesse
supérieure fut atteinte, en 1910, avec la création de la Round Table.
fin de citation