A***@laposte.net
2007-07-30 17:57:38 UTC
Emeutes des banlieues françaises en Novembre 2005 provoquées par le
Mossad
Les services de renseignement allemands s’inquiètent de l’évolution de
leurs homologues français
Dans son édition datée du 14 juillet 2007, l’influente lettre
confidentielle bavaroise DeutschlandBrief assure que les émeutes qui
ont secoué les banlieues des grandes villes françaises en novembre
2005 ont été provoquées en sous-main par les services secrets
israéliens. Selon le journal, des téléphones cryptés auraient même été
distribués aux émeutiers de manière à les organiser sans possibilité
d’interception par les Renseignements généraux.
Le 3 novembre 2005 une émeute avait éclaté à Clichy-sous-Bois après
que les forces de l’ordre aient provoqué accidentellement la mort de
deux adolescents, puis qu’une grenade lacrymogène appartenant ou ayant
appartenu aux forces de l’ordre ait été lancée dans une mosquée en
pleine prière du ramadan. Les troubles s’étaient progressivement
étendus dans le département, puis dans tout le pays durant 3 semaines.
Au 5e jour, le président Jacques Chirac avait suspendu diverses
libertés fondamentales en faisant décréter l’état d’urgence par le
Conseil des ministre. En définitive, les troubles avaient fait de
nombreux blessés (dont 56 parmi les forces de l’ordre) et plus de 9
000 voitures avaient été incendiées. Étrangement, ces événements,
nourris par des problèmes sociaux bien connus et jamais résolus,
n’avaient donné lieu à aucune revendication précise, ni suscité aucune
structuration politique.
À cette époque, le Réseau Voltaire avait eu confirmation, de source
syndicale policière, que les principaux incidents avaient été
délibérément provoqués, et que des agitateurs avaient distribué des
bidons d’essence et des cocktails molotov. C’est d’ailleurs sur la
base de ces mêmes informations que le président Chirac avait pris la
décision de l’état d’urgence.
DeutschlandBrief est édité par le Dr. Bruno Bandulet (ancien directeur
de la rédaction du Welt et de Quick) et est très lu dans les milieux
financiers et politiques allemands. Il est réputé proche du Service
fédéral de renseignement (BundesNachrichtenDienst — BND). Selon le
journal, Israël entendait sanctionner la « politique arabe » du
président Chirac, mais aurait été dépassé par la réussite de son
opération.
En désignant la main du Mossad dans la provocation et l’amplification
de ces émeutes, DeutschlandBrief engage sa crédibilité auprès de son
lectorat et traduit l’inquiétude des milieux allemands du
renseignement face aux nominations auxquelles le président Nicolas
Sarkozy vient de procéder dans les services français.
اورشليم Ûrshalîm
Mossad
Les services de renseignement allemands s’inquiètent de l’évolution de
leurs homologues français
Dans son édition datée du 14 juillet 2007, l’influente lettre
confidentielle bavaroise DeutschlandBrief assure que les émeutes qui
ont secoué les banlieues des grandes villes françaises en novembre
2005 ont été provoquées en sous-main par les services secrets
israéliens. Selon le journal, des téléphones cryptés auraient même été
distribués aux émeutiers de manière à les organiser sans possibilité
d’interception par les Renseignements généraux.
Le 3 novembre 2005 une émeute avait éclaté à Clichy-sous-Bois après
que les forces de l’ordre aient provoqué accidentellement la mort de
deux adolescents, puis qu’une grenade lacrymogène appartenant ou ayant
appartenu aux forces de l’ordre ait été lancée dans une mosquée en
pleine prière du ramadan. Les troubles s’étaient progressivement
étendus dans le département, puis dans tout le pays durant 3 semaines.
Au 5e jour, le président Jacques Chirac avait suspendu diverses
libertés fondamentales en faisant décréter l’état d’urgence par le
Conseil des ministre. En définitive, les troubles avaient fait de
nombreux blessés (dont 56 parmi les forces de l’ordre) et plus de 9
000 voitures avaient été incendiées. Étrangement, ces événements,
nourris par des problèmes sociaux bien connus et jamais résolus,
n’avaient donné lieu à aucune revendication précise, ni suscité aucune
structuration politique.
À cette époque, le Réseau Voltaire avait eu confirmation, de source
syndicale policière, que les principaux incidents avaient été
délibérément provoqués, et que des agitateurs avaient distribué des
bidons d’essence et des cocktails molotov. C’est d’ailleurs sur la
base de ces mêmes informations que le président Chirac avait pris la
décision de l’état d’urgence.
DeutschlandBrief est édité par le Dr. Bruno Bandulet (ancien directeur
de la rédaction du Welt et de Quick) et est très lu dans les milieux
financiers et politiques allemands. Il est réputé proche du Service
fédéral de renseignement (BundesNachrichtenDienst — BND). Selon le
journal, Israël entendait sanctionner la « politique arabe » du
président Chirac, mais aurait été dépassé par la réussite de son
opération.
En désignant la main du Mossad dans la provocation et l’amplification
de ces émeutes, DeutschlandBrief engage sa crédibilité auprès de son
lectorat et traduit l’inquiétude des milieux allemands du
renseignement face aux nominations auxquelles le président Nicolas
Sarkozy vient de procéder dans les services français.
اورشليم Ûrshalîm