Post by ***@lp@tinePost by abourickTiens ! Tiens ! Pâle patine relaie les campagnes de Al-Jazira !
Quelle surprise que de n'être pas surpris !
DUCON ! Il s'agit de travaux universitaires à l'origine !
Toujours heureux de te fourrer le nez dans ta merde.
Post by ***@lp@tineDu même genre que celui sur les " demi -juifs " ayant servi le grand
Reich !
Les nazis étaient des gens pragmatiques quand il s'agissait de réaliser ce
que leur délire racial leur dictait. L'un des buts des nazis étaient de
réaliser l'unité de la race aryenne et de la nation germanique purifiées par
l'élimination de ceux qu'ils considéraient comme "tarés" (les fous, les
porteurs d'anomalies génétiques), socialement et racialement pervertis (les
Tziganes) ou intrinsèquement mauvais (les juifs). Quand ces objectifs de
"purification de la race aryenne" divisaient les Allemands ils préféraient y
renoncer plutôt que d'attiser des foyers de mécontentement. Et c'est ainsi
que devant les protestations véhémentes d'Allemands de "race pure" ils ont
cessé de déporter et d'exterminer les malades mentaux, les porteurs
d'anomalies génétiques, les demi-juifs (uniquement de sang demi-allemand) et
même des juifs quand leur conjoint "aryen" soutenu par l'ensemble de la
famille "aryenne" s'y opposaient. Bien évidement ce n'était là que partie
remise et l'on peut penser qu'une fois la guerre achevée ils auraient fourni
la prochaine "fournée" pour les camps de la mort. Bien entendu les
demi-juifs et les juifs temporairement graciés n'avaient guère d'autre choix
que de collaborer avec les nazis ou de mourir. Leur courage n'a finalement
pas été plus grand que celui de la majorité des Allemands puisque en dehors
de la Rose Blanche, bénie soit-elle, qui parmi les Allemands a préféré la
mort à l'anti-nazisme. Que celui qui est prêt à donner sa vie contre la
barbarie leurs jettent la première pierre.
Peut-on en tirer comme conclusion que ces juifs étaient des partisans des
nazis ? Dans l'immense majorité des cas certainement pas et les quelques
demi-juifs qui ont été de fervents nazis ne changent rien au fait les juifs
ont été les principales victimes des nazis.
Peut-on dire que les quelques musulmans qui ont été déportés en camp de
concentration et non pas en camp d'extermination font des musulmans des
ennemis abhorrés des nazis ? Voyons ce qu'en disent les nazis eux-mêmes :
http://www.voxnr.com/cc/d_allemagne/EpZEuVkZAVHSMhdcea.shtml
Le nazisme et l'islam
Claudio Mutti Histoire :: Allemagne
Claudio Mutti, est connu des lecteurs des chroniques judiciaires pour avoir
été plusieurs fois arrêté, la dernière fois sous l'accusation d'être
«favorable à l'islamisme » et d'avoir établis des contacts avec « des
organisations terroristes iraniennes ».
Se consacrant depuis de nombreuses années à la philologie finno-ougrienne
(il fut assistant à l'Université de Bologne, dont il a été «
démocratiquement » épuré), il est l'auteur d'une trentaine d'articles et
d'essais sur le folklore magyar et sur la littérature hongroise; brillant
connaisseur de la langue et de la culture roumaine (il fut titulaire d'un
poste de professeur à l'Institut culturel italien de Bucarest, dont il a été
révoqué à la suite d'une enquête parlementaire), il a traduit et présenté de
nombreux documents de la Garde de fer ; intéressé par les questions
musulmanes, il collabore à la revue Jihad et il traduit des textes
concernant l'Islam.
Il dirige les Edizioni all'insegna del Veltro, chez lesquelles il a publié
quelques études sur le symbolisme traditionnel et traduit des commentaires
de textes grecs.
Le nazisme et l'islam
Nous n'avons pas pour but de nous occuper des orientations spirituelles
d'Hitler et de sa position vis à vis de la religion ; nous nous limiterons
seulement à dire avec Léon Degrelle, que « contrairement à tout ce qu'on a
pu raconter, Hitler n'était pas du tout un païen » et nous renverrons le
lecteur aux nombreuses pages de Bormmann-Vermerke dans lesquelles le Führer
manifestait à un cercle restreint d'intime sa conception du divin.
Nous noterons ici, citant encore le général Degrelle, que «Hitler avait
indiscutablement un faible pour la religion islamique. Lui qui était
d'origine catholique et comme enfant avait chanté dans le chour de la
paroisse, montrait un grand intérêt pour l'Islam et sa civilisation».
En effet, si on lit les « propos de table » d'Adolf Hitler, nous ne pouvons
qu'être frappés par ses appréciations enthousiastes relatives à l'Islam.
Dans la conversation du 5 juin 1942, par exemple, le Führer affirme
l'infériorité du christianisme par rapport aux autres religions, parmi
lesquelles l'Islam : « Et cette fois nous éprouvons une violente sensation
de colère à la pensée que des Allemands ont pu s'enliser dans des doctrines
théologiques privées d'une quelconque profondeur quand sur la vaste terre il
y en a d'autres, comme celle de Confucius, de Bouddha et de Mahomet, qui à
l'inquiétude religieuse offrent un aliment d'une bien autre valeur. »
On retrouve la comparaison entre l'Islam et le christianisme, à l'avantage
du premier, dans une autre conversation, le 1 août 1942 : « Nous ne
comprenons pas que les prêtres s'imaginent Dieu à la ressemblance d'un
homme. De ce point de vue, les disciples de Mahomet sont, de loin,
supérieurs aux prêtres, parce qu'ils n'éprouvent pas le besoin de se figurer
Allah physiquement ! ». Dédaigné et repoussé par les aspects
anthropomorphiques du christianisme, Hitler admirait la manière purement
intellectuelle avec laquelle les Musulmans pensaient à Dieu : « il le
fascinait donc, lui aussi, cet Allah jamais vu, jamais représenté par
personne, un mystère constant ».
Dans les mêmes circonstances, Hitler exalta la civilisation musulmane de
l'Espagne et vit dans la Reconquista catholique l'empreinte du sectarisme et
de la barbarie : « L'époque arabe fut l'âge d'or de l'Espagne la plus
civilisée. Puis vint l'époque des persécutions toujours recommencées ». Le
sujet fut repris le 18 août 1942 : « La civilisation a été un des éléments
constitutifs de la puissance de l'Empire romain. La même chose se produisit
en Espagne sous la domination des arabes. La civilisation y atteint un
niveau rarement atteint. Une époque, indiscutablement, d'humanisme intégral,
dans laquelle régna le plus pur esprit chevaleresque. L'intrusion du
christianisme y a apporté le triomphe de la barbarie. L'esprit chevaleresque
des Castillans est en effet un héritage des Arabes ».
Et, nous rencontrons alors, chez Adolf Hitler, la plus fervente expression
de sympathies pour l'Islam qu'un Européen non musulman puisse prononcer :
« Si à Poitiers Charles Martel avait été battu, le monde aurait changé de
face. Puisque le monde était déjà condamné à l'influence judaïque (et son
sous-produit le christianisme est une chose si insipide !), il aurait mieux
valu que l'Islam triomphe. Cette religion récompense l'héroïsme, promet au
guerrier les joies du septième ciel. Animé d'un esprit semblable, les
Germains auraient conquis le monde. Ils en ont été empêchés par le
christianisme.».
Hitler aurait voulu reprendre, au XXème siècle, la politique de Frédéric II
avec monde musulman; parmi les obstacles qui empêchèrent la réalisation d'un
tel dessein, il y eut l'alliance avec l'Italie, laquelle était, malgré tout,
une puissance coloniale asservissant des populations musulmanes. A ce
propos, cherchant à comprendre les motifs de son échec, Hitler affirmait en
février 1945 : « L'allié italien nous a mis des bâtons dans les roues
presque partout. Par exemple il nous a empêché de conduire une politique
révolutionnaire en Afrique du Nord, parce que nos amis musulmans soudain ont
vu en nous les complices, volontaires ou involontaires, de leurs
oppresseurs. Les souvenirs de la répression barbares à l'égard des Senoussis
était toujours dans leur mémoire. Comme si ça ne suffisait pas, la
prétention ridicule du Duce, d'être considéré comme « l'épée de l'Islam »,
était objet de moquerie. Ce titre, qui est dû à Mahomet et à un grand
conquérant comme Omar, Mussolini se l'est fait attribuer par certaines
tristes figures soudoyées ou terrorisées par lui. Nous avions la possibilité
de faire une politique de longue haleine à l'égard de l'Islam ; elle a été
gâchée, comme du reste beaucoup de chose, que nous avons dû abandonner en
raison de notre fidélité à notre alliance avec l'Italie. ».
Grand admirateur de l'Islam et ami sincère des musulmans, informé du fait
que l'ummah musulmane l'appelait hajji et priait pour la victoire des armées
du Reich , Hitler conserve toujours la conscience des justes limites
individuelles et de la juste position à l'égard de l'islam, pour lequel non
seulement il ne prétendit jamais à aucun titre du genre de celui que se fit
attribuer Mussolini, mais il ne voulut pas non plus favoriser un certain
enthousiasme messianique : « Il y a des enthousiastes qui éprouvent le
besoin de me déifier - de faire de moi un prophète, un nouveau Mahomet, un
second messie. Eh bien, cela ne me convient pas du tout. Je n'ai l'âme ni
d'un prophète ni d'un messie ».
Il est un geste emblématique, dans lequel se reflète l'attitude d'Hitler à
l'égard de l'islam. Degrelle témoigne que le Führer envoya en cadeau « à
chacun des soixante milles volontaires musulmans de la Waffen SS une petite
chaîne en or à laquelle était attachée un minuscule Coran ».
A la position philoislamique de Hitler correspond, dans les milieux
nationaux-socialistes, une sympathie diffuse pour l'islam, qui donna lieu
dans les années 30, à de nombreuses conversions d'Allemands. En novembre
1938, le journal L'Univers, se référent à un article parut dans Der
Arbeitsmann, écrivait : « L'essentiel de l'article consiste à faire l'éloge
du concept islamique de fatum, comme conception exemplaire de l'idée du
destin, et dans l'opposition d'une telle conception au christianisme
craintif et efféminé ». C'est pourquoi se référant à l'hebdomadaire
berlinois Fridericus, la revue française écrivait que « le nombre de
conversion à l'islam ne cesse d'augmenter en Allemagne ». Aussi Fridéricus
attribuait le succès de l'islam dans le Troisième Reich au fait que l'islam
« proclame des principes vitaux d'une éthique assez élevée, à laquelle il
est très possible de se conformer ». Harmonisant les idées de justice et de
miséricorde, écrivait Fridericus, l'islam s'impose comme une religion
active, supérieure au christianisme et à sa « charité », raison pour
laquelle c'«est surtout l'homme nordique qui se sent attiré vers cette foi
libératrice et vers cette idée". L'Univers concluait donc : « Les
Autrichiens rendus au Reich doivent apprendre que dans leur nouvelle
capitale, les sphères dirigeantes préfèrent la religion de Mahomet au
christianisme et que cette religion voit croître le nombre de ses adhérents
dans les registres officiels, tandis que la propagande en faveur de
l'abandon des églises chrétiennes s'étend toujours plus ».
Parmi les témoignages relatifs à la sympathie et à la confiance que le monde
musulman accorda à l'Allemagne nationale-socialiste et à sa lutte, il est
nécessaire de citer, en résumant l'essentiel, l'essai d'une femme écrivain
musulmane de l'Inde, Saïda Savitri, sorti à Paris sous le titre L'Islam
devant le national-socialisme. L'auteur pense pouvoir reconnaître dans
l'Allemagne une structure dont Dieu se sert pour abattre la civilisation
matérialiste et exhorter les musulmans à ne pas laisser l'occasion
s'échapper : « Ce n'est pas seulement sur leurs ceinturons que les soldats
du grand mystique Hitler portent la devise Gott mit uns. Il est gravé dans
leur âme de héros. Ils avancent, avancent toujours, pour abattre les
superstitions et le matérialisme. Ces victoires répétées ne peuvent pas se
produire sans la permission de Dieu. (.) Grâce à l'Allemagne, nos pires
ennemis sont réduits à l'impuissance. Bientôt ils ne seront plus en état de
faire obstacle. Si nous laissons passer ce moment, unique dans l'histoire
mondiale moderne, nous commettrons un acte d'authentique félonie à l'égard
de Dieu, qui nous a confié une mission d'équilibre et de civilisation ».
L'Allemagne national-socialiste est, pour Saida Savitri, l'unique nation
occidentale avec laquelle le monde musulman peut entretenir des relations
sans crainte de subir des corruptions et des contaminations : « l'Allemagne
hitlérienne est la seule nation occidentale dont le contact ne risque pas de
nous déformer. Elle est notre sour par son fanatisme (j'use ce terme à bon
escient, car nous en sommes gratifiés tous les deux). Quant à moi, je
donnerais à cette disposition spirituelle le nom d'idéalisme».
Le national-socialisme présente d'autre part, pour elle, une série de point
en commun avec l'islam : « A première vue sans entrer dans les détails, nous
trouvons, à treize siècles de distance, devant deux révolutions sociales
quasi identiques ». Voulant montrer des aspects semblables des deux
doctrines, l'auteur cite un large choix de passages des écrits d'Hitler,
faisant ressortir comment le Führer exprime souvent des notions et des
conceptions bien connues de l'islam : « On pourrait croire entendre parler
nos premiers califes ».
L'Allemagne national-socialiste, affirme entre autres l'auteur indienne, a
compris la menace représentée par l'usurocratie juive et cela la place
résolument au côté des musulmans : « L'Islam depuis toujours, l'Allemagne
aujourd'hui, ont compris ce danger. C'est pour ceci que j'estime urgent une
alliance étroite entre ces deux mentalités, dans le but de lutter contre un
danger commun que nous ne devons pas sous-estimer ».
Les mêmes idées que celles exprimées par Saida Savitri inspirèrent la
conférence tenue par le professeur Abû's-Su'ûd le 6 juillet 1942 à
l'Académie des sciences de Berlin. Abû's-Su'ûd affirme que les principes de
l'islam n'admettent pas la démocratie, parce qu'un tel régime consiste dans
la suprématie d'une oligarchie capitaliste laquelle, au moyen du mensonge et
de la tromperie, tend à asservir les êtres humains, à en assujettir l'âme et
à exploiter leur travail et leurs richesses. L'organisation islamique,
soutenait Abû's-Su'ûd, ressemble au contraire au système
national-socialiste, parce que la responsabilité du gouvernement est donnée
à un chef qui nomme ses propres conseillers et fonctionnaires. En fait dans
l'islam la consultation n'oblige pas le gouvernement : celui-ci peut
consulter qui il veut et agir selon le conseil qu'on lui donne ou selon son
propre avis ; c'est lui le responsable et c'est sa voix qui prévaut. D'autre
part, le droit du chef de choisir ses propres conseillers libère la nation
de l'escroquerie électorale, dans laquelle ce n'est jamais le meilleur qui
gagne, mais le plus rusé, le plus habile dans l'art de la tromperie. Cela
était précisément le critère au temps de Mahomet et des quatre premiers
califes. Le choix de ceux-ci d'autre part, eut lieu au moyen de systèmes
divers, parmi lesquels prévalut celui de la désignation du successeur
(istikhlâf) : le chef d'Etat désignant par nomination celui qui devait lui
succéder.
Mais la personnalité de l'Islam qui mieux que toute autre représenta
activement la convergence de vue et la solidarité entre le Troisième Reich
et le monde musulman fut le Grand Mufti de Jérusalem al-Hâj Muhammad Amîn
al-Hussaynî.
Né en 1897, à Jérusalem, d'une noble famille descendant du prophète qui se
vantait d'avoir occupé durant les deux derniers siècles la charge de Mufti
dans la Ville sainte, Muhammad Amîn fit ses premières études en Palestine ;
puis à l'âge de dix-sept ans, il entra à l'université islamique al-Azhar, au
Caire. En Egypte, le jeune al-Hussaynî fréquenta le mouvement
anti-britannique dont il devint un des animateurs et des organisateurs.
Après la première guerre mondiale, il devint l'inspirateur de la lutte des
Palestiniens contre les prédateurs sionistes et contre les troupes
d'occupation anglaises. Il échappa à la police militaire britannique et il
se réfugia en Transjordanie où - condamné à dix années de prisons par
contumace - il continua son action en approvisionnant les Palestiniens en
armes. Devenu Grand Mufti de Jérusalem et président du Conseil suprême
musulman, al-Hussaynî intensifia son activité en organisant les soulèvements
de 1929 et de 1936, qui virent les Palestiniens s'insurger contre les
occupants anglo-sionistes. Par la suite il continua son action dans la Syrie
occupée par les Français ; puis, en 1939, il passa en Irak.
Le peuple de ce pays, ne supportant pas les positions anglophiles du
gouvernement réserva au Grand Mufti et à ses gens un accueil triomphal. En
Irak, la sympathie pour l'Allemagne était vive, des groupes étaient actifs
comme al-Futuwwab, qui l'année précédente avait envoyé à Nuremberg une
délégation de dix-sept militants, tandis que le chef de l'organisation,
Mahmûd Fadhil al-Janabî, avait été reçu par Hitler. La présence du Grand
Mufti en Irak renforça donc les positions anti-britanniques, au point que le
21 mars 1940 un nouveau gouvernement, présidé par Rashîd Alî al-Gailânî,
s'installa à Bagdad. Il proclama vouloir maintenir la neutralité du pays
dans le conflit qui venait d'éclater en Europe. Londres réagit en sommant le
gouvernement irakien de rompre les relations diplomatiques avec l'Allemagne
et l'Italie, mais al-Gailânî, bénéficiant de l'appui du Grand Mufti, refusa.
En janvier 1941, dans un long message, al-Hussaynî avait écrit à Hitler :
« Les chaleureuses sympathies que les Arabes nourrissent à l'égard de l'Axe
et de l'Allemagne sont et seront déterminantes ». Le Führer lui répondra :
« L'Allemagne national-socialiste reconnaît la totale indépendance des
nations arabes et pour celles qui ne l'ont pas encore obtenu, reconnaît le
plein droit à l'obtenir. Les Allemands et les Arabes ont comme ennemis
communs les Anglais et les Juifs ».
En avril et mai 1941, eut lieu l'agression britannique contre l'Irak. Il y
eut une mobilisation générale dans le pays : les membres des organisations
initiatiques Naqshbandiyya et Qâdiriyya donnèrent l'exemple en s'enrôlant
comme volontaires, immédiatement imités par de vastes couches de la
population, y compris de nombreuses femmes. Le Grand Mufti appela à la lutte
au côté des frères irakiens des milliers de volontaires syriens,
transjordaniens, et palestiniens ; mais ni le combat des Arabes, ni
l'intervention des aviations allemandes et italiennes, ne réussirent à
empêcher que la supériorité matérielle des envahisseurs leur permette de
rétablir la situation à leur avantage.
Le Grand Mufti, Rashid al-Gailânî et les ministres du gouvernement irakiens
durent se réfugier en Iran ; mais à la fin d'août il y eut une intervention
militaire anglo-soviétique, qui plaça sur le « trône du Paon » Muhammad Rezâ
Shâh. Le Grand Mufti et al-Gaîlâni jugèrent alors plus opportun de chercher
un refuge en Europe.
Après un voyage rocambolesque à travers le Proche-Orient et les Balkans,
al-Hussaynî se retrouva en Italie. A Radio Rome il lança un appel aux
peuples musulmans les exhortant de soutenir le combat de l'Axe. Il rejoignit
ensuite l'Allemagne et rencontra Adolf Hitler, dont al-Gailâni avait déjà
fait la connaissance en mars 1941. Hitler fut fasciné par la personnalité de
al-Hussaynî et par la « supériorité de son intelligence » et accorda au haut
dignitaire de l'islam un privilège jamais accordé à personne précédemment en
Allemagne : il le logea dans le Palais impérial de Berlin et il donna des
instructions afin que, sur cet édifice, le drapeau de la Palestine flotte
plus haut que celui du Reich.
Aux micros de la Deutscher Rundfunk, qui émettait en langue arabe, le Mufti
déclara que la victoire de l'Allemagne signifierait non seulement la
libération de la Palestine, mais de tout le monde arabe, jusqu'au Maroc. De
la sorte, une intervention rectificative sur la politique étrangère
allemande, orientée jusqu'alors par rapport à la présence coloniale
française en Afrique, prend forme. Voici un passage significatif du discours
que tint al-Hussayni à la radio allemande à l'occasion de la Fête des
sacrifices ('Id al-Adhâ) : « Aujourd'hui le monde musulman se trouve
davantage devant le problème de la lutte pour l'indépendance. Seulement un
effort inconditionné et un sacrifice généreux justifient la liberté de
l'existence. Aux ennemis qui ont fait tout pour humilier les Arabes et
assujettir l'islam, il faut opposer le maximum de résistance. Parmi les
éternels ennemis de l'islam et des Arabes il y a, en premier lieu, les Juifs
; ceux-ci s'opposent à l'islam depuis ses débuts et afin de réaliser leur
dessein d'hégémonie mondiale, ils ont déchaîné contre les peuples une guerre
qui décidera de leur existence même. Les Juifs veulent, en outre,
contraindre le peuple arabe à affronter cette lutte pour son existence,
tentant, avec tous les moyens suggérés chez eux par la haine de notre
peuple, d'expulser et d'exterminer la population arabe de Palestine, qui est
aussi la Terre Sainte pour l'islam. Déjà, jadis, le chef sioniste Chaim
Weismann a déclaré qu'un jour l'Afrique du Nord serait un pont entre les
deux principaux centres juifs : New York et Jérusalem. Les Etats-Unis et la
Grande-Bretagne appuient de toute façon les desseins juifs, étouffant par la
terreur, par le sang et le feu, toutes les protestations des Arabes et des
musulmans. D'un bout à l'autre du monde islamique quatre cents millions de
musulmans subissent la domination des puissances alliées, auxquelles s'unit
d'ailleurs le bolchevisme athée et destructeur, lequel opprime cruellement
quarante millions de musulmans. Lieux de prière et mosquées ont été
détruites, des personnalités ont été sauvagement assassinées. Ainsi, la
politique anglo-saxonne a moissonné de nombreuses victimes parmi les
musulmans : hommes, femme, enfants. Tous ces frères, éliminés dans l'intérêt
du capitalisme judaïque en Palestine, en Hadramout, en Irak, en Egypte et
dans l'Union soviétique, ne seront jamais oubliés, ni par les Arabes, ni par
les musulmans. La guerre actuelle déchaînée par les juifs est l'occasion qui
se présente aux musulmans pour se libérer de la persécution et de la terreur
qui plane continuellement sur la terre de leurs ancêtres. Que la Fête des
sacrifices rappelle à chacun de vous qu'il faut combattre dans cette lutte
pour la liberté avec un esprit de sacrifice toujours en accroissement ».
Au cours du conflit mondial l'activité du Grand Mufti fut incessante. Il
renouvela continuellement ses appels aux peuples arabes afin qu'ils
soutiennent de toutes leurs forces la guerre de l'Axe contre l'ennemi commun
; il exhorta les musulmans du sous-continent indien à s'opposer résolument à
l'impérialisme britannique ; il suggéra à Subhas Chandra Bose l'idée
d'organiser une Légion indienne qui combattit aux côtés de l'Axe ; il
réussit à obtenir la libération de nombreux Arabes fait prisonniers sous
l'uniforme
de l'armée anglo-française et les exhorta à s'engager dans la Légion arabe
libre, qui combattait sur le front oriental ; il participa à la conférence
de Wannsee, dans le cours de laquelle fut élaboré la « solution finale » du
problème juif, qui consistait dans le transfert des Juifs à l'est.
En avril 1943 le Grand Mufti se rendit personnellement en Croatie pour
inviter les musulmans de cette région à mener le jihâd dans les rangs de la
Kroatische SS-Freiwilligen-Division, créée en février de cette même année.
La division, forte de vingt mille Bosniaques et de quelques centaines
d'Albanais, fut transférée au Puy, à soixante kilomètre au Sud-Ouest de
Saint Etienne pour recevoir son entraînement.
Le 6 août, Hitler promulgua les dispositions suivantes : « On doit garantir
à tous les membres musulmans des Waffen-SS et de la police le droit
indiscutable, prévu par leur religion, à ne pas manger de la viande de porc
et à ne pas boire de boissons alcooliques. Il faudra leur garantir des menus
équivalents. (.) Je ne veux pas que, par la stupidité et l'étroitesse
d'esprit de quelques individus isolés, un seul de ces héroïques volontaires
eut à ressentir une gêne et à se croire privé des droits qui leurs ont été
assurés. (.) J'ordonne que chaque infraction à ces dispositions soit punie
sans la moindre hésitation et qu'on m'en rende compte ».
Au Puy, la division des musulmans croates s'entraîna sous les ordres du SS
Obersturmbannführer Husein-Beg Biscevic ; en novembre 1943, elle fut
transférée en Silésie, en décembre nous la trouvons en Autriche. En février
1944, la division musulmane se trouve en Bosnie septentrionale ; le nombre
de volontaire qui accoururent pour s'enrôler dans ses rangs est si élevé,
qu'il devient nécessaire de constituer une seconde division croate. A côté
de la division entraînée au Puy, qui le 15 mai 1944 reçut la dénomination
définitive de 13. Waffen-Gebirgs-Division der SS « Handshar » (kroatische
Nr. 1), naît ainsi la 23. Waffen-Gebirgs-Division der SS (kroatische Nr.2)
qui sera ensuite appelée « Kama » ; en septembre, les deux divisions croates
sont réunies dans le IX. Waffen-Gebirgs-Korps der SS, tandis que les
éléments albanais sont embrigadés dans une nouvelle division: la 21.
Waffen-Gebirgs-Division der SS « Skanderbeg » (albanische Nr. 1).
Vers le milieu d'octobre 1944 fut formé un régiment (Rgt, Gr. 13.
SS-Gebirgs-Division « Handschar ») qui combattit contre les troupes
soviétiques. Quand, à la fin de mars 1945, la Margarethe-Stellung entre la
Drave et le Balaton dût être abandonnée suite à l'effondrement de la
frontière au Nord du Balaton, les restes de la Handschar continuèrent à se
battre en Autriche jusqu'au 7 mai 1945. Capturés par les Anglais, ils furent
livrés aux partisans de Tito et ensuite massacré par ces derniers à Maribor,
sur la Drave, au sud de la frontière autrichienne.
En Albanie, les motifs qui poussèrent les musulmans à se ranger du côté de
l'Axe, après l'annexion du pays par l'Italie en avril 1939, furent
multiples. Avant tout les autorités fascistes avaient dû renoncer à la
politique de latinisation, concédant aux Albanais une autonomie culturelle
et administrative toujours plus large ; puis, avec la campagne de
Yougoslavie, le Kosovo avait été annexé à l'Albanie, qui le revendiquait
comme territoire irrédent ; enfin, la guerre prenait toujours plus l'aspect
d'un conflit de civilisation et le monde patriarcal albanais ne pouvait
assurément pas adhérer au front plouto-marxiste. Ce fut ainsi, qu'après la
chute du fascisme et après l'armistice du 8 septembre 1943, les forces
nationales albanaises proclamèrent l'indépendance de pays et se rangèrent au
côté du Reich. Aux troupes régulières se joignirent les volontaires du
Kosovo, de nombreux nationalistes du Balli Kombetar, des monarchistes de
l'organisation Legaliteti, divers groupes de guérilleros, des bataillons de
fascistes albanais, les sept mille Waffen-SS de la Skanderbeg commandé par
Mustafa Bey Frashëri. Au total, près de quarante mille hommes, dont
vraisemblablement les deux tiers de musulmans.
Dans les pays du Moyen-Orient, les sympathies des musulmans pour le combat
de l'Axe n'étaient pas moins vives : on l'a vu en parlant de l'insurrection
irakienne de 1941.
Au Liban, le PNSS était entré en scène en 1937. Il préconisait la naissance
d'une « Grande Syrie » du Taurus à Suez et de la Méditerranée au désert ; un
tel organisme, qui avait aussi adopté les signes extérieurs du nazisme,
prônait cependant la séparation entre l'Etat et la religion, cela même si
ses militants étaient en grande partie musulmans - à la différence du
fondateur Antûn Sa'âdah, qui était de foi orthodoxe. Quand les alliés
envahirent la Syrie, en juin 1941, les forces du gouvernement de Vichy
engagées dans la défense du pays comprenaient outre des troupes françaises,
huit bataillons syriens et trois libanais.
En Iran, l'hostilité populaire à l'égard des Anglais facilita, après 1933,
les relations avec l'Allemagne et l'influence allemande dans le pays. Suite
à l'agression anglo-soviétique de 1941 et à la décision de Rîza Shâh de se
soumettre à la volonté des envahisseurs, un bon nombre d'officiers se
prononcèrent pour la continuation de la lutte au côté de l'Axe. Ainsi, après
l'abdication de Rîzâ Shâh, une partie de la population continua à combattre
contre les occupants, un groupe d'agents allemands fut parachuté en Iran
avec la tâche de maintenir la liaison entre les rebelles et l'Allemagne.
En Egypte aussi, on rencontrait de grandes sympathies pour l'Allemagne. Un
témoignage tangible en était l'existence d'un fort Parti nationaliste arabe,
qui constituait un front anti-britannique avec les Frères musulmans et une
grande partie des cadres de l'armée. Ce fut ainsi que, confiante dans la
victoire de l'Axe en Afrique du Nord, l'armée égyptienne resta l'arme au
pied lors de l'avance des troupes italo-allemandes, tandis que dans tout le
pays avaient lieu des manifestations populaires en faveur de Rommel. Les
Anglais réagirent en imposant au Roi Farouk, un premier ministre
pro-britannique et en incarcérant comme agents de l'Axe six mille Egytiens.
Cela n'empêcha pas que pendant toute la durée du conflit les Chemises vertes
opérent activement en faveur du Reich. En 1945, encore, les Frères musulmans
éliminèrent une haute personnalité égyptienne qui s'était déclarée favorable
à l'entrée en guerre de l'Egypte contre l'Allemagne.
Quant à l'Afrique du Nord colonisée par les Français, il faut mentionner les
Deutsche-Arabische Truppen (trois mille volontaires tunisiens enrôlés à la
fin de 1942), la Phalange africaine (trois cent musulmans et colons
français, embrigadés dans la 334a division d'infanterie de la Wermacht) et
un nombre non précisé de volontaires agrégé à la MVSN italienne. Parmi les
Algériens et les cinq à six cent volontaires, regroupés dans une Légion
nord-africaine qui opéra contre les partisans. D'autres volontaires
nord-africains, diversement encadrés, combattirent sur le front de l'Est ;
d'autres encore menèrent à terme des missions de sabotage dans l'Algérie
occupée par les Français (parmi ces derniers citons Muhammad Sa'îd, qui fut
ensuite un chef militaire du FLN et un ministre de l'Algérie indépendante).
La contribution des populations musulmanes de l'URSS ne manqua pas aux
Waffen-SS : Tartares de Crimée, Caucasien, Kirghizes, Ouzbeks et autres
groupes ethniques turco-orientaux donnèrent environ cinquante mille
combattants, incorporés dans diverses unités militaires : la Hârûn
ar-Rashid, la Turkestan, etc. Les détachements qui, durant l'été de 1944,
opérèrent à côté des Allemands au sud du Pô contre les partisans de l'Emilie
étaient précisément constitués d'éléments turcs orientaux, aussi on les
appelait communément les « Mongols ».
Nous avons déjà évoqué la Légion indienne, fondée par Chandra Bose en accord
avec al-Husseynî. La Indische Legion, créée en Allemagne le 23 septembre
1943, regroupait cinq mille hommes, hindous, musulmans et sikhs. Elle fut le
premier noyau de l'Armée nationale indienne, qui accueillit dans ses rangs,
en Asie, trente mille volontaires. La Légion fut intégrée plus tard dans la
Waffen-SS avec le nom de Freies Indien. D'autres Indiens (hindous et
musulmans) combattirent dans la 18. SS Freiwilligen Panzer Grenadierdivision
« Horst Wessel ». Des groupes de guérilleros musulmans, enfin, soutinrent la
bataille de l'Axe en opérant contre les Anglais en territoire indien.
De même, dans le reste de l'Asie musulmane, l'Axe jouissait d'une vaste
sympathie populaire, d'autant plus que l'Allié extrême-oriental de
l'Allemagne, professait un grand respect pour l'islam que ce soit en
Malaisie ou en Indonésie, où courrait la rumeur que le Tennô serait devenu
musulman et aurait restauré le Califat ; de nombreux Japonais avaient
d'ailleurs étudiés l'arabe et s'étaient initiés à l'islam. Les Indonésiens
n'opposèrent donc presque aucune résistance aux Japonais, lesquels furent au
contraire accueillis comme des libérateurs. Les chefs du Sarek Islam et des
mouvements nationalistes incarcérés par les Hollandais, furent libérés par
les Japonais et collaborèrent avec ces derniers dans la perspective de la
« Grande Asie Orientale ». Rassemblés dans la ligue Masjumi, dont dépendait
l'organisation paramilitaire Hizbullâh, les musulmans constituèrent à Java,
à Sumatra et à Bornéo, une armée volontaire qui aurait dû affronter, à côté
des Japonais, l'invasion alliée que l'on craignait. Après l'écroulement du
Japon, ces forces armées musulmanes rendirent possible l'indépendance de
leur pays.
Une démonstration emblématique de l'influence que l'islam exerça sur des
représentants de premier plan de la culture et de la politique
national-socialiste est fournie par la conversion de Ludwig Ferdinand Clauss
(1891-1974), chercheur en linguistique indo-européenne et en philologie
germanique. Dans le domaine des études raciales, il élabora une théorie «
psicanthropologique » qui s'impose comme une alternative à la conception
biologique. Clauss vécu longtemps chez les musulmans du Moyen-Orient et
publia une série de livres qui firent connaître au public allemand la vie et
les coutumes de ces populations : Als Beduine unter Beduinen (1931), Semiten
der Wüste unter sich (1937), Araber des Ostens (1943).
Des cas de ce genre se multiplièrent dans les années qui suivirent la fin du
second conflit mondial, quand de nombreux militants nationaux-socialistes
embrassèrent l'islam et exercèrent des fonctions de différents genres dans
certains pays musulmans, comme l'Irak, la Syrie et surtout l'Egypte.
Le cas de Johann von Leers est exemplaire à ce sujet. Membre dirigeant de la
NSDAP à la fin de 1929, colonel SS, rédacteur de Der Angriff, auteur de
différentes études d'anthropologie, le professeur d'université von Leers fut
l'intime collaborateur de Goebels, lequel lui confia la direction du
Nordische Welt, organe de la Société pour la préhistoire et la protohistoire
germanique. Après dix-huit mois d'internement dans un Lager anglo-américain,
Von Leers réussit à fuir en Argentine, où il dirigea un journal en langue
allemande. A la chute de Péron, il se mit à l'abri en Egypte ; ici il entra
en islam avec le nom de Omar Amin. Von Leers organisa au Caire l'Institut de
recherche sur le sionisme, dirigea des émissions radiophoniques écoutées
dans tout le monde arabe, se chargea d'une importante collection de textes
islamiques destinés au public allemand et donna vie à diverse initiatives
éditoriales et de propagande.
Des centaines de nationaux-socialistes rejoignirent l'Egypte entre 1948 et
1951. Parmi ceux qui devinrent musulmans et qui exercèrent des fonctions
d'un certain niveau dans l'Etat égyptien, citons : Joachim Daeumling,
ex-chef de la Gestapo de Düsseldorf, qui réorganisa les forces de police en
Egypte ; William Boeckler (Abd el-Karîm), ex-capitaine de la Gestapo, qui
assuma une charge au service d'information; l'ex-SS Wilhem Berner qui
entraîna les fedayin palestiniens ; l'ex-SS-Gruppenführer A Moser (Hasan
Suleymâm), qui occupa un poste d'instructeur militaire; l'ex-commandant de
la garde du corps de Hitler Léopold Gleim (an-Nâsir), qui alla former les
cadres des services de sécurité ; Louis Heiden (al-Hâj), ex-membre de
l'Office central de sécurité du Reich, qui traduisit Mein Kampf en arabe ;
Heinrich Sellman (Muhammad Sulaymân), ex-fonctionnaire de la Gestapo à Ulm ;
Heinrich Willermann (Na'îm Fahum), ex-officier SS ; Erich Altern (Alî
Bella), ex-commissaire de la Gestapo ; l'ex-officier SS Balmann ('Alî Ben
Khader), Ludwig Zind (Muhammad Sâleh) ; Gerd von Ninzek ( Ben 'Alî), Achim
Dieter Pelschnik (al-Sa'îd), Ulrik Klaus (Mohammad Akbar), etc.
Tous ceux-ci trouvèrent dans l'islam et dans le potentiel humain représenté
par l'ummah musulmane la seule force spirituelle et politique en mesure de
contrecarrer l'usurocratie mondiale sortie victorieuse du conflit contre
l'Axe.
fin du copié-collé
Il est évident à la lecture de ce texte que le nazisme s'est trouvé de
grandes affinités avec l'islam. J'ai expliqué ce phénomène d'attraction et
même de fusion partielle entre les religions dualistes tant de fois que
j'épargnerai à l'improbable lecteur une nième publication de mon texte sur
le dualisme.