Post by joyePost by HarpC'est vous qui avez choisi un exemple. Si vous savez pas de quoi vous
parlez, je ne vais pas vous aider.
Je sais de quoi je parle, je n'ai pas besoin de votre aide.
Vous au contraire, je crains que si.
Allez, je vous aide.
1) Cherchez le mot "revivre" dans un dictionnaire.
2) Lisez ce qui y est écrit.
3) Décidez alors s'il est possible de faire revivre quelqu'un qui n'est
pas mort.
L'autre jour, je me suis retrouvé à l'Ouest. Peuchère de moi, ils
avaient de ces mots compliqués, les autochtones de là-bas : poche,
chocolatine, ate... Heureusement, j'avais ma bouteille de Québec. Une
gorgée, et je me suis senti revivre.
Post by joyeAllez va, vous êtes francophone natif. Vous savez mieux que tout autre
si c'est possible ou non. Vous l'avez eu dans le lait maternel (comme
disait l'autre).
Il était frelaté, son lait maternel, il venait de Lactalis...
Post by joyeUn peu de courage, bonhomme ! Ce n'est pas sorcier.
Je vous attendrai.
Laisse tomber son retour, Cousino, dégun n'en veut.
Post by joyeJe veux bien, mais en cycle, il y a un commencement et une fin et quand
l'action *re*prend, c'est bien un *re*commencement.
Dites-vous que le *re* de *re*commencement est pléonastique ?
Du temps du GATT, il y avait des cycles de négociation. Ces cycles
étaient différents quant à leurs contenus et leurs durées. Des
recommencements, chaque fois ? J'en doute. Ce qui signifie que dans
"cycle", il n'y a pas d'idée de recommencement. Dans ce cadre-là, on
pourrait parler de "réunions" ou de "forum" ("réunions / forum de
Marrakech" au lieu de "cycle de Marrakech").
Post by joyePost by HarpPost by joyeN'avez-vous jamais étudié la littérature à l'école ? Vous semblez
ignorer ce que c'est que le langage métaphorique.
Assumez votre première question, vous pourrez alors poser la seconde.
Je sais déjà la réponse, je peux voir votre carnet de notes d'ici.
Joyeux samedi, Harp.
Il est en forme, Cousino, rends-toi compte : dix sauts périlleux sur la
terre ferme !