Cardinal de Hère
2021-10-08 15:53:51 UTC
Mâle posture à comparer aux roucoulades pédérastiques de la gauche et du
centre ou aux glouglous avinés de la dinde Loupen !
<https://fr.sputniknews.com/20211008/rendre-au-droit-francais-sa-primaute-zemmour-appelle-a-refuser-la-suprematie-juridique-de-lue-1052050905.html>
"Rendre au droit français sa primauté": Zemmour appelle à refuser la
suprématie juridique de l’UE
13:40 08.10.2021 (Mis à jour: 15:41 08.10.2021)
"Il est temps de rendre au droit français sa primauté sur le droit
européen", a lancé Éric Zemmour après que la Pologne a jugé certains
articles de traités de l'UE comme étant anticonstitutionnels. En
dénonçant "la menace et le chantage" envers les États membres, il a
appelé la France à les rejoindre "dans leur combat pour la liberté".
En réagissant au rejet polonais de la suprématie absolue du droit
communautaire européen au profit de celui national, Éric Zemmour,
potentiel candidat à la présidentielle qualifié pour le second tour dans
un sondage, a appelé la France à emboîter le pas à la Pologne.
"Il est temps de rendre au droit français sa primauté sur le droit
européen", a martelé le polémiste dans un communiqué relayé sur son
compte Twitter.
Selon lui, "la France doit refuser que les juridictions étrangères lui
imposent leur politique et leur idéologie".
Ceci survient alors que Paris a évoqué le risque de mise en place de
sanctions contre le plan de relance de Varsovie, qui a entrepris "une
attaque contre l’Union européenne", d’après les propos de Clément
Beaune, secrétaire d'État aux Affaires européennes.
Faisant part de son soutien, Éric Zemmour a proposé aux Français de
"tirer toutes les conséquences de ce coup d’État fédéraliste tenté par
la Commission de Bruxelles avec le soutien tacite de l’actuel
gouvernement français".
Le polémiste a également dénoncé "la menace et le chantage" auxquels la
Commission européenne fait recours "pour faire plier les États membres"
jugés "idéologiquement déviants".
"La Commission européenne mène un violent assaut juridique contre les
peuples qui refusent sa ligne idéologique. Il est urgent que la France
rejoigne ces nations dans leur combat pour la liberté", conclut-il.
La volte-face de la Pologne
Le 7 octobre, le tribunal constitutionnel polonais a déclaré que
certains traités européens étaient incompatibles avec la Constitution du
pays et sapaient sa souveraineté. "Des organes européens agissent
au-delà de leurs compétences", a estimé la présidente de la plus haute
juridiction polonaise, Julia Przylebska.
Selon divers experts, cette décision laisse planer le doute sur le
"Polexit". Cependant, le Premier ministre Mateusz Morawiecki a assuré
sur son compte Facebook que son pays maintiendrait sa place "dans la
famille européenne des nations".
Une demande pour vérifier la suprématie du droit européen sur celui
polonais a été déposée en mars 2021 au Conseil constitutionnel par le
chef du gouvernement polonais.
Réaction de Bruxelles
La Cour de justice de l’UE a indiqué qu’une nouvelle réforme du système
judiciaire polonais pourrait violer la législation européenne.
L’instance a décidé qu’en cas de confirmation du non-respect de la
suprématie absolue du droit communautaire, la justice nationale devra
être obligée de ne pas respecter ces amendements entérinés par le pays.
Le ministre allemand des Affaires étrangères, Heiko Maas, a appelé ce 8
octobre la Pologne à respecter "pleinement" les règles communes de l'UE.
"Quand un pays décide politiquement de faire partie de l'UE, il doit
également veiller à ce que les règles convenues soient pleinement
appliquées", a-t-il déclaré.
Le même jour, la Commission européenne a annoncé son intention
d’analyser la décision rendue par la justice polonaise, qui a considéré
certains articles de traités de l'Union européenne comme
anticonstitutionnels. Bruxelles a également réaffirmé la prééminence des
lois européennes sur les lois nationales.
Qu’en dit la loi?
Le droit européen l’emporte sur toute disposition contraire du droit
national, en conformité du principe de primauté affirmé par la Cour de
justice des communautés européennes dans l’arrêt Costa contre ENEL du 15
juillet 1964.
La déclaration n°17 relative à la primauté, qui fait partie de l’annexe
du traité de Lisbonne, stipule que "les traités et le droit adoptés par
l’Union sur la base des traités priment sur le droit des États membres".
centre ou aux glouglous avinés de la dinde Loupen !
<https://fr.sputniknews.com/20211008/rendre-au-droit-francais-sa-primaute-zemmour-appelle-a-refuser-la-suprematie-juridique-de-lue-1052050905.html>
"Rendre au droit français sa primauté": Zemmour appelle à refuser la
suprématie juridique de l’UE
13:40 08.10.2021 (Mis à jour: 15:41 08.10.2021)
"Il est temps de rendre au droit français sa primauté sur le droit
européen", a lancé Éric Zemmour après que la Pologne a jugé certains
articles de traités de l'UE comme étant anticonstitutionnels. En
dénonçant "la menace et le chantage" envers les États membres, il a
appelé la France à les rejoindre "dans leur combat pour la liberté".
En réagissant au rejet polonais de la suprématie absolue du droit
communautaire européen au profit de celui national, Éric Zemmour,
potentiel candidat à la présidentielle qualifié pour le second tour dans
un sondage, a appelé la France à emboîter le pas à la Pologne.
"Il est temps de rendre au droit français sa primauté sur le droit
européen", a martelé le polémiste dans un communiqué relayé sur son
compte Twitter.
Selon lui, "la France doit refuser que les juridictions étrangères lui
imposent leur politique et leur idéologie".
Ceci survient alors que Paris a évoqué le risque de mise en place de
sanctions contre le plan de relance de Varsovie, qui a entrepris "une
attaque contre l’Union européenne", d’après les propos de Clément
Beaune, secrétaire d'État aux Affaires européennes.
Faisant part de son soutien, Éric Zemmour a proposé aux Français de
"tirer toutes les conséquences de ce coup d’État fédéraliste tenté par
la Commission de Bruxelles avec le soutien tacite de l’actuel
gouvernement français".
Le polémiste a également dénoncé "la menace et le chantage" auxquels la
Commission européenne fait recours "pour faire plier les États membres"
jugés "idéologiquement déviants".
"La Commission européenne mène un violent assaut juridique contre les
peuples qui refusent sa ligne idéologique. Il est urgent que la France
rejoigne ces nations dans leur combat pour la liberté", conclut-il.
La volte-face de la Pologne
Le 7 octobre, le tribunal constitutionnel polonais a déclaré que
certains traités européens étaient incompatibles avec la Constitution du
pays et sapaient sa souveraineté. "Des organes européens agissent
au-delà de leurs compétences", a estimé la présidente de la plus haute
juridiction polonaise, Julia Przylebska.
Selon divers experts, cette décision laisse planer le doute sur le
"Polexit". Cependant, le Premier ministre Mateusz Morawiecki a assuré
sur son compte Facebook que son pays maintiendrait sa place "dans la
famille européenne des nations".
Une demande pour vérifier la suprématie du droit européen sur celui
polonais a été déposée en mars 2021 au Conseil constitutionnel par le
chef du gouvernement polonais.
Réaction de Bruxelles
La Cour de justice de l’UE a indiqué qu’une nouvelle réforme du système
judiciaire polonais pourrait violer la législation européenne.
L’instance a décidé qu’en cas de confirmation du non-respect de la
suprématie absolue du droit communautaire, la justice nationale devra
être obligée de ne pas respecter ces amendements entérinés par le pays.
Le ministre allemand des Affaires étrangères, Heiko Maas, a appelé ce 8
octobre la Pologne à respecter "pleinement" les règles communes de l'UE.
"Quand un pays décide politiquement de faire partie de l'UE, il doit
également veiller à ce que les règles convenues soient pleinement
appliquées", a-t-il déclaré.
Le même jour, la Commission européenne a annoncé son intention
d’analyser la décision rendue par la justice polonaise, qui a considéré
certains articles de traités de l'Union européenne comme
anticonstitutionnels. Bruxelles a également réaffirmé la prééminence des
lois européennes sur les lois nationales.
Qu’en dit la loi?
Le droit européen l’emporte sur toute disposition contraire du droit
national, en conformité du principe de primauté affirmé par la Cour de
justice des communautés européennes dans l’arrêt Costa contre ENEL du 15
juillet 1964.
La déclaration n°17 relative à la primauté, qui fait partie de l’annexe
du traité de Lisbonne, stipule que "les traités et le droit adoptés par
l’Union sur la base des traités priment sur le droit des États membres".