abourick
2010-11-02 03:02:44 UTC
La politique papale de conciliation envers le nazislam montre ses
limites. Le récent Synode pour le Proche-Orient qui s'est tenu au
Vatican s'était pourtant conclu par cet acte d'allégeance rituel et de
dhimmitude qui consiste à accuser Israël d'injustice et d'iniquité quand
elle se défend contre l'agression nazislamiste. Mais rien n'y a fait,
les chrétiens vivant au sein de pays musulmans continuent de servir de
cible aux attaques djihadistes. Cinquante-huit d'entre eux viennent
encore d'être massacrés lors d'une prise d'otage dans une église
irakienne. A quoi ont servi les grandes bêleries contre Georges Bush,
les appels enflammés au dialogue ou à la conciliation avec l'islam et
cette politique de soumission aujourd'hui incarnée par Obama et
pratiquée par son administration ? A rien. Plus que jamais la vie des
chrétiens proche-orientaux est menacée et rien ne semble mettre un terme
au calvaire qu'ils vivent.
Il est temps de s'interroger sur les raisons de cet échec patent.
La première de ces raisons est sans conteste l'incompréhension de ce
qu'est l'islam. Le pape et la majorité des cardinaux croient fermement
que l'islam est une religion abrahamique avec laquelle le christianisme
partage une base commune qui permet de rendre possible la vie ensemble
dans la paix et le respect mutuel. Hélas l'islam n'est pas une religion
monothéiste mais un dualisme guerrier dont la foi obscurantiste a pour
vocation de conquérir le monde et de le convertir à la pointe du
cimeterre. Les chrétiens ont été tolérés temporairement dans une
position subordonnée mais cette situation ne saurait être durable. Tôt
ou tard se posera le problème de leur conversion ou de leur disparition.
Le Vatican est incapable de comprendre que l'islam est au moins aussi
dangereux que le furent le communisme et le nazisme. Il vit encore avec
des idées révolues datant de la guerre froide.
La seconde de ces raisons tient à l'attachement viscéral pour une terre
qui fut le berceau historique du christianisme. Après tous les reculs de
la foi catholique au cours du XXe siècle sa disparition totale du
Proche-orient serait vécu comme une faillite absolue par la tête de
l'Église. Et les générations de papes et de cardinaux qui se sont
succédées dans la seconde moitié du XXe siècle seraient alors dans la
position de celui à qui l'on aurait remis 100 talents au milieu du XXe
siècle et qui n'en rendrait que 10 en ce début du XXIe siècle. On
comprend que les hiérarques qui ont tant oeuvré à l'actuelle décrépitude
de l'Église rechignent à l'idée de voir leurs turpitudes et leurs
erreurs aussi durement sanctionnées.
Que faire ?
Il convient bien sûr de changer radicalement de politique. Tout d'abord
en prenant acte de la vraie nature de l'islam et du danger mortel qu'il
représente pour toute la chrétienté. En conséquence il faut à la fois
exiger le rapatriement en Europe ou en Amérique du Nord de tous les
chrétiens vivant en terre musulmane et demander avec la plus grande
fermeté le départ de tous les musulmans, y compris des autochtones
convertis à l'islam, vivant sur les terres chrétiennes.
Il faut ensuite inciter l'Occident à s'engager sur tout le fronts de
lutte contre le nazislam avec l'idée ferme de décoloniser l'Afrique du
Nord, l'Afrique Noire et le Proche Orient afin de rendre ces terres à
leurs vrais propriétaires chrétiens ou animistes. Israël bien entendu
doit être fermement soutenue et encouragée à se débarrasser avec
détermination et impétuosité de ses colons musulmans.
Bien entendu une telle révolution intellectuelle et politique est
inconcevable et des chrétiens proche-orientaux continueront d'être
intimidés, violés, torturés et assassinés pendant que le Vatican
entonnera le grand chant d'amour pour l'islam en vouant Israël aux
gémonies. Qu'on se le dise, la vatic"a"nnerie n'a pas de limite et pour
séduire l'islam les évêques se mettront à la danse du ventre et les
cardinaux au vati cancan !
limites. Le récent Synode pour le Proche-Orient qui s'est tenu au
Vatican s'était pourtant conclu par cet acte d'allégeance rituel et de
dhimmitude qui consiste à accuser Israël d'injustice et d'iniquité quand
elle se défend contre l'agression nazislamiste. Mais rien n'y a fait,
les chrétiens vivant au sein de pays musulmans continuent de servir de
cible aux attaques djihadistes. Cinquante-huit d'entre eux viennent
encore d'être massacrés lors d'une prise d'otage dans une église
irakienne. A quoi ont servi les grandes bêleries contre Georges Bush,
les appels enflammés au dialogue ou à la conciliation avec l'islam et
cette politique de soumission aujourd'hui incarnée par Obama et
pratiquée par son administration ? A rien. Plus que jamais la vie des
chrétiens proche-orientaux est menacée et rien ne semble mettre un terme
au calvaire qu'ils vivent.
Il est temps de s'interroger sur les raisons de cet échec patent.
La première de ces raisons est sans conteste l'incompréhension de ce
qu'est l'islam. Le pape et la majorité des cardinaux croient fermement
que l'islam est une religion abrahamique avec laquelle le christianisme
partage une base commune qui permet de rendre possible la vie ensemble
dans la paix et le respect mutuel. Hélas l'islam n'est pas une religion
monothéiste mais un dualisme guerrier dont la foi obscurantiste a pour
vocation de conquérir le monde et de le convertir à la pointe du
cimeterre. Les chrétiens ont été tolérés temporairement dans une
position subordonnée mais cette situation ne saurait être durable. Tôt
ou tard se posera le problème de leur conversion ou de leur disparition.
Le Vatican est incapable de comprendre que l'islam est au moins aussi
dangereux que le furent le communisme et le nazisme. Il vit encore avec
des idées révolues datant de la guerre froide.
La seconde de ces raisons tient à l'attachement viscéral pour une terre
qui fut le berceau historique du christianisme. Après tous les reculs de
la foi catholique au cours du XXe siècle sa disparition totale du
Proche-orient serait vécu comme une faillite absolue par la tête de
l'Église. Et les générations de papes et de cardinaux qui se sont
succédées dans la seconde moitié du XXe siècle seraient alors dans la
position de celui à qui l'on aurait remis 100 talents au milieu du XXe
siècle et qui n'en rendrait que 10 en ce début du XXIe siècle. On
comprend que les hiérarques qui ont tant oeuvré à l'actuelle décrépitude
de l'Église rechignent à l'idée de voir leurs turpitudes et leurs
erreurs aussi durement sanctionnées.
Que faire ?
Il convient bien sûr de changer radicalement de politique. Tout d'abord
en prenant acte de la vraie nature de l'islam et du danger mortel qu'il
représente pour toute la chrétienté. En conséquence il faut à la fois
exiger le rapatriement en Europe ou en Amérique du Nord de tous les
chrétiens vivant en terre musulmane et demander avec la plus grande
fermeté le départ de tous les musulmans, y compris des autochtones
convertis à l'islam, vivant sur les terres chrétiennes.
Il faut ensuite inciter l'Occident à s'engager sur tout le fronts de
lutte contre le nazislam avec l'idée ferme de décoloniser l'Afrique du
Nord, l'Afrique Noire et le Proche Orient afin de rendre ces terres à
leurs vrais propriétaires chrétiens ou animistes. Israël bien entendu
doit être fermement soutenue et encouragée à se débarrasser avec
détermination et impétuosité de ses colons musulmans.
Bien entendu une telle révolution intellectuelle et politique est
inconcevable et des chrétiens proche-orientaux continueront d'être
intimidés, violés, torturés et assassinés pendant que le Vatican
entonnera le grand chant d'amour pour l'islam en vouant Israël aux
gémonies. Qu'on se le dise, la vatic"a"nnerie n'a pas de limite et pour
séduire l'islam les évêques se mettront à la danse du ventre et les
cardinaux au vati cancan !