On 22 août, 09:43, geo cherchetout
| à l'origine le courant de ligne traversait le transfo
| 600 ohms et je trouvais ca pas ca terrible, vu que son
| noyau devait supporter un flux constant ajouté à celui
| de la BF, et sans se saturer. J'ai utilisé un géné de
| courant constant à NPN en parallèle du transfo qui,
| lui, ne recevait que la BF via une capa.
Post by geo cherchetoutcomment ton courant constant pouvait-il
s'établir à la valeur exacte voulue ?
Justement grâce au géné de courant constant
(zener + NPN + résistance) en aval d'un pont
de 4 diodes pour être sûr de la polarité d'alim.
Avec une simple résistance le courant aurait dépendu
de la tension de ligne, ce qui est justement à éviter.
Post by geo cherchetoutC'est le modem qui imposait l'intensité du courant en ligne ?
Non, c'est le géné de courant constant :op
Le modem était un chip en aval du transfo 600 Ohms.
Personnellement je me serais même passé du transfo
mais je crois que c'était requis pour l'isolation
galvanique entre la ligne et le reste du circuit.
| Un autre truc sympa était la nécéssité en réception de
| séparer des signaux émis et recus (pour le full duplex)
| avec un soustracteur à AOP ... bien équilibré.
Post by geo cherchetoutÇa doit toujours fonctionner sur ce principe dans
les terminaux analogiques actuels mais je n'en admire
pas moins le génie de tes prédécesseurs qui faisaient
la même chose avec un transformateur différentiel.
Coûteux à fabriquer mais tellement plus fiable.
Oui, et plus simple aussi de par son principe.
Cela me rappelle un historique raconté par un ancien
prof du CNAM où il était question de planches en bois
dans lesquelles étaient plantés des clous de vitrier,
sur lesquels étaient soudés les composants :o)
D'après lui on utilisait presque exclusivement des
selfs et condensateurs (parce-que contrairement aux
résistances ils ne dissipent pas l'énergie électrique)
Déja que les filaments pompaient sur les batteries ...