Post by ZuluPost by "René GroumalPost by Cardinal de HèreCe mécanisme a joué en faveur des juifs les plus riches et les plus
intelligents, les transformant progressivement en dieux vivants à qui
tout était permis tandis que les juifs moins fortunés payaient les
pots cassés. Et je pense que ce mécanisme est encore à l’œuvre
aujourd'hui, non plus uniquement au sein de la Chrétienté mais du
monde entier. Car si certains juifs veulent devenir non seulement les
maîtres du monde mais aussi être acceptés comme intermédiaires entre
leur dieu, Satan, et les Goyim alors pour accéder à cette proximité
universelle avec le dieu du monde ils devront faire exterminer par
les Goyim la plupart des leurs. Ces juifs messianiques ne sont pas
seulement dangereux pour les Goyim, ils le sont aussi et je dirai
même surtout pour les juifs eux-mêmes.
Le type même du blablabla pseudo-philosophique servant à justifier au
moyen d'une construction laborieuse un antisémitisme qui n'est
finalement qu'un antisémitisme classique dans lequel comme d'habitude
les juifs, adorateurs de Satan; veulent devenir les maîtres du monde
(et on pense irrésistiblement au célèbre faux de la police tsariste,
les Protocoles des Sages de Sion).
Sans intérêt .
Rôle pour les moins louche des organisations sionistes par rapport à la
masse des juifs de base.
Tout ce que voulaient les sionistes, c'était occuper la Palestine. Les
juifs qui n'étaient pas bons pour ça (c-a-d jeunes et valides), ils s'en
foutaient.
"Une vache en Palestine vaut mieux que tous les juifs en Pologne"
"One Cow in Palestine is worth more than all the Jews in Poland"
Izaak Greenbaum
Chef du Comité de l'Agence Juive de Sauvetage (Jewish Agency Rescue
Committee)
"If I am asked, "Could you give from the UJA moneys to rescue Jews,
'I say, NO! and I say again NO!"
Izaak Greenbaum -- head of Jewish Agency Rescue Committee, February 18,
1943. Addressed to the Zionist Executive Council.
http://www.realnews247.com/brutal_zionist_role_in_holocaust.htm
Ça c'est à la base. Au sommet ils avaient besoin de martyrs pour la
cause, pour justifier la création d'Israël et la transformation des
juifs en vaches sacrées à qui tout est permis.
Le forum est composé principalement de positivistes cabochards. Je passe
sur le fait que le positivisme est un système erroné et facile à
réfuter, qu'il a été totalement abandonné par les intellectuels de haut
vol et que seuls les idéologues abrutis comme le malGrou le ressassent
sans cesse. Je parle ici la négation de la réalité, propre aux
idéologues confrontés à ce qui les perturbe. Car quand je décris le
rituel de la royauté sacrée, je n'invente pas, c'est là un rituel connu
de tous les anthropologues. Les positivistes bornés et fiers de l'être,
bardés de leur ignorance sans faille, s'imaginent que ce qu'ils ignorent
n'existe pas. C'est une posture très répandue parmi le peuple, c'est sa
grosse roublardise de crétin fier de l'être ! Mais aux yeux des
personnes cultivées c'est tout simplement grotesque. Nous constituons
donc un forum bas de gamme où l'on pouffe de ce que l'on ne connaît pas
et l'on se moque quand on est dans l'erreur. Bien, et alors ? La
connerie n'a jamais changé le monde, au contraire, les cons subissent
sans rien comprendre !
Voici donc pour les imbéciles la description fort brève de ce rite très
connu que constitue le sacrifice du roi sacré :
<https://books.google.com.ua/books?id=Mn22AgAAQBAJ&pg=PA198&lpg=PA198&dq=royauté+sacrée+rameau+d%27or+afrique&source=bl&ots=wu-hbGpv6L&sig=qXwk_FWs5MrQAoO_Xgs2GUgPEcc&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwjk4te0mY3bAhUysKQKHYh0D5IQ6AEIKzAB#v=onepage&q=royauté%20sacrée%20rameau%20d'or%20afrique&f=false>
Et ici une mention assez longue et peu intéressante à ce rituel qui
existe non seulement en Afrique mais un peu partout dans le monde :
<http://cedifr.blogs.usj.edu.lb/2014/02/11/du-rituel-comme-institution-fondamentale-retour-sur-frazer-mauss-et-hubert-hocart/>
Frazer est évidemment célèbre pour son œuvre majeure, Le rameau d’or,
publié dans des éditions successives augmentées, de 1898 de jusqu’en
1935. Il appartient à l’école britannique d’anthropologie, souvent
qualifiée d’intellectualiste du fait de sa focalisation sur les aspects
psychologiques de la vie humaine, en particulier la magie, la religion
et la science. Ce qualificatif est certainement justifié pour Edward B.
Tylor, théoricien de l’animisme comme forme primitive de religion, et en
partie pour Frazer lorsqu’il définit la magie comme régie par des lois
de la pensée, par des associations d’idées sur la base de la similitude
et la contiguïté, ou la religion comme conciliation de puissances
supérieures à l’homme.
En revanche, la théorie frazérienne du sacrifice du roi divin ne peut se
réduire à cette approche psychologique. Le rite fondamental de toute
société humaine est le meurtre rituel du roi et son remplacement. On
connaît l’exemple privilégié par Frazer, équivalent précoce du mythe de
référence dans les Mythologiques de Lévi-Strauss, soit le sacrifice du
roi du bois de Némi dans les monts Albains en Italie. A cet endroit ce
trouvait dans l’antiquité romaine, un sanctuaire de Diane, déesse des
bois, des bêtes sauvages, et plus largement de la fécondité de la nature
et des hommes. Dans le bois sacré, se trouvait un arbre gardé jour et
nuit par le roi de Némi ; selon Frazer (p. 19), ce personnage était à la
fois prêtre et meurtrier, car il avait tué son prédécesseur pour prendre
sa place. Toujours un esclave fugitif, le prétendant devait d’abord
casser un rameau de l’arbre sacré, ce qui lui donnait le droit
d’attaquer le roi en exercice, et de lui succéder s’il était victorieux.
Cette branche représentait le rameau d’or cueilli par Enée avant de
descendre aux enfers (Virgile, Enéide, vi, 156-235). Le roi du bois
devient l’époux de Diane, incarnation de Janus, dont les deux têtes
figurent le roi mort et son successeur.
Cette coutume successorale par duel se serait poursuivie jusqu’à la
période impériale, puisque l’on sait que Caligula aurait envoyé un
sicaire assassiner un roi de Némi qui lui déplaisait (Suétone, Caligula,
35).
A partir de ce rite de référence, Frazer se propose d’en examiner les
variantes dans l’histoire de l’humanité et dans toutes les
civilisations. Si une grande partie des exemples analysés sont issus de
l’histoire ancienne de la Méditerranée et de l’Europe, d’autres
proviennent de l’ethnographie des peuples extra européens, africains en
particulier (Yoruba, Ashanti, Evé ). Il est exact que l’ensemble du
Rameau d’or semble parfois singulièrement désordonné, mais l’on trouvera
aussi ce défaut chez Mauss et Hocart. Frazer a une ambition large, et il
procède souvent par comparaison illégitime, par amalgame rapide visant à
minorer la spécificité d’une situation culturelle au profit la
démonstration de l’existence d’un rite royal et sacrificiel universel.
Mais l’essentiel n’est pas là : le projet encyclopédique évolutionniste
est daté, certes, mais comme l’ont remarqué Michel Izard (1981) et Luc
de Heusch (1986), l’immense mérite de Frazer a été d’avoir posé la
question de la relation entre le pouvoir, la nature et le rite. Dans un
grand nombre de sociétés, cette relation est de nature sacrificielle :
le roi ou le dieu est mis à mort. Pourquoi ? Dans les sociétés
primitives, des hommes passent pour avoir des pouvoirs sur le cours de
la nature et sur leurs congénères. On considère ces individus comme des
magiciens capables de toutes sortes de prouesse. Selon Frazer (1981,
Tome 1, p. 718), ils peuvent exercer un pouvoir temporel sur leurs
fidèles, ou bien ne posséder qu’un pouvoir spirituel et surnaturel : ils
sont rois et dieux, ou dieux seulement. L’essentiel est que leur
existence est le gage du cours normal de l’environnement naturel dont
dépendent les hommes. Par leurs pouvoirs, ces individus charismatiques
évitent famines, sécheresses, inondations, bref, tous les aléas naturels
incontrôlables par le commun.
La collectivité qui entoure l’un de ses individus exceptionnels attend
donc de celui-ci qu’il la protège, qu’il garantisse sa survie. Or, nul,
même le roi dieu n’est immortel. Sa mort implique donc un grand risque,
celui du désordre naturel auquel il remédiait. Avant même son décès, le
roi dieu vieillit, il est sujet à la maladie, à la déchéance physique,
peut-être à la folie, qui l’entrave dans son rôle de régulateur de la
nature. Le roi dieu antique est donc l’objet d’une attention collective
de tous les instants. Cette vigilance conduit à éliminer le roi dieu
lorsqu’il manifeste des signes de faiblesse irrémédiable. Il faut soit
le déposer, soit le sacrifier pour qu’un autre lui succède dans toute sa
vigueur. Le roi dieu est donc le lieu de convergence de la nature, de la
surnature et de la souveraineté. Le dieu roi est donc un opérateur
symbolique entre ces trois ordres.
Développons une interprétation un peu hétérodoxe de Frazer. Si le roi
est sacrifié, c’est certes pour conserver la maîtrise de la collectivité
sur la nature par la médiation d’un nouvel individu charismatique. Mais,
formulé dans des termes moins utilitaristes, c’est pour maintenir le
nexus entre la nature, la surnature et la société que l’on tue le roi,
car il est à l’interface de ces trois ordres de réalité. Il symbolise à
la fois le contrôle social, l’accès au monde des esprits et au monde
naturel. La maladie et la mort qui affectent le roi menacent de défaire
le nœud qui lie les hommes aux esprits, aux animaux et aux végétaux. Il
vaut mieux trancher et reconstituer le lien immédiatement, plutôt que de
tolérer son relâchement. Le sacrifice du roi dieu s’accompagne donc
toujours d’un rite d’institution d’un successeur. L’exemple du bois de
Némi le manifeste de façon parfaite : celui qui sacrifie devient ipso
facto le Roi du Bois, sans transition et sans médiation. L’inter-règne,
dans ce cas, n’existe pas. Ajoutons que l’identité à la fois servile et
rebelle de l’assassin fait de lui l’opérateur symbolique par excellence
: le nouveau roi dieu est un individu marginal, en rupture de ban, à la
frange de la société. Il épouse la déesse et devient roi de la
végétation et des animaux. Il est bien à la convergence de l’humanité,
de l’animalité et de la divinité.