Post by fanseventieshttp://www.lepoint.fr/actualites-monde/2010-04-16/justice-l-eveque-wi...
http://www.phdn.org/negation/definition.html
Pour savoir ce que les révisionnistes avancent il faut aller
directement à la source, c'est plus prudent.
Notamment # 5
Que soutiennent les révisionnistes de l'Holocauste ?
Etant donné l'image fausse que se fait le public de ceux-ci en général
il est préférable de dire d'abord ce que le révisionnisme ne soutient
pas :
* Il n'affirme pas que les juifs n'ont pas été persécutés;
* Il n'affirme pas que les juifs n'ont pas été dépossédés de leurs
droits civils;
* Il n'affirme pas que les déportations n'ont pas eu lieu;
* Il ne nie pas la réclusion des juifs dans des ghettos;
* Il n'affirme pas que les camps de concentration n'ont pas
existé;
* Il n'affirme pas que ces camps n'étaient pas équipés de fours
crématoires;
* Il n'affirme pas qu'aucun juif n'est mort, mais au contraire que
nombre d'entre eux sont morts de causes diverses;
* Il n'affirme pas que des minorités telles que les Gitans, les
témoins de Jéhovah, les homosexuels et les opposants politiques n'ont
pas été persécutés;
* Il n'affirme pas que ces politiques étaient nécessairement
justifiées.
Toutes ces injustices commises par le régime nazi ne sont pas
contestées par les révisionnistes de l'Holocauste. Pour ceux-ci
cependant toutes ces mesures n'ont rien à voir avec le meurtre de
millions de gens dans des chambres à gaz, i.e. l'Holocauste (voir .
Question 4).
Les révisionnistes de l'Holocauste affirment cependant :
1. Qu'il n'y a pas eu d'ordre donné en haut lieu pour que
l'extermination des juifs se fasse (voir R. Widmann);
2. Qu'il n'y a pas eu de plan pour mener à bien une telle
extermination;
3. Qu'il n'y a pas eu d'organisation mise en place à cet effet, pas
plus qu'un budget n'a été alloué dans ce but (voir ici ce que l'un des
auteurs les plus proéminents sur ce sujet, R. Hilberg en disait):
"Si l'on considère les origines, on peut remonter très loin
dans l'antiquité pour découvrir les fondations de la destruction des
juifs européens. Mais ce qui commença en 1941 fut une destruction non
planifiée, qui ne fut organisée par aucune organisation. Il n'y eut
pas de plan ni de budget pour les mesures de destructions. Elles
furent mises en place pas à pas, une étape à la fois. Alors se
produisit ce qui n'était pas réellement l'accomplissement d'un plan
précis, mais une incroyable convergence d'esprits, un consensus,
quasiment de télépathie menée par une bureaucratie sortie de ses
fonctions.";
4. Les anciens camps de concentration allemands ont été étudiés de
façon détaillée : Ils n'étaient pas équipés d'armes sophistiquées pour
tuer en masse et particulièrement de chambres à gaz (voir aussi G.
Rudolf, J. Graf, C. Mattogno, F. Berg). Aussi les rapports concernant
les escadrons de la mort agissant derrière le front russe ont vu
souvent leurs chiffres être gonflés. (voir ici H. Tiedemann und G.
Rudolf/S. Schröder);
5. Ces camps n'étaient pas équipés d'une technologie adéquate pour
faire disparaître des millions de corps; la capacité des crématoires
suffisait tout juste à incinérer ceux qui mouraient d'épidémies et
d'épuisement ( voir les enquêtes de C. Mattogno et A. Neumaier).
6. On n'a pas découvert de document probant décrivant ces chambres
à gaz (voir G. Rudolf et W. Rademacher), et pas plus de traces
matérielles (voir. R. Krege ainsi que J.C. Ball (aussi ici)). Les "
preuves " sont basées en général sur des témoignages qui sont peu
fiables dans ce cas (voir. R.Faurisson, M. Köhler et J. Graf).
7. En dépit de l'activité incessante des groupes de résistance, des
services secrets alliés dans la zone occupée par l'Allemagne,
particulièrement près de certains camps, ces acteurs principaux se
sont comportés au moment même comme si l'extermination des juifs
n'avait pas lieu. C'est seulement lorsque l'Allemagne fut vaincue et
que son gouvernement n'était plus en mesure de démentir et de prouver
le contraire que les alliés ont entériné les accusations
d'extermination. (voir A. Butz)
8. Des études statistiques sur les juifs répartis dans le monde
tout juste après la seconde guerre mondiale montrent clairement que ce
groupe n'a pu essuyer une perte de six millions aux mains des
Allemands durant la seconde guerre mondiale et que le chiffre est
probablement sous le million (voir les recherches de W.N. Sanning et
G. Rudolf)
http://vho.org/Intro/F/index.html