Post by s***@free.frPost by zwPost by PPUn "ISF vert" qui taxerait les patrimoines au dessus de 5 millions €
(les 0,2% qui concentre 10% du patrimoine français) rapporterait 10
Mrds soit un chèque de 2500 € pour les 4 millions de ménages les plus
pauvres.
Les vrais pollueurs doivent être les payeurs.
Ok, alors l'état donne 2 500 € au 4 millions de ménage les plus pauvres.
Ces 2 500 € seront en plus des 15 000 € que l'état verse déjà d'une
façon ou d'une autre.
Ok.. donc 2 500 € en plus... et tu crois quoi ? que ces ménages vont
miraculeusement se mettre à éteindre la télé, à arreter de jouer au
Loto, de faire du sport au lieu de fumer, qu'ils vont se former,
s'informer, s'élever dans la connaissance et la vertue ? qu'ils vont se
mettre à travailler, à voter, à s'impliquer ?
Non, ces 2 500 € seront utilisés pour acheter un iPhone, pour parier au
PMU, pour s'abonner à Netflix etc... voilà la réalité... c'est bien
plus grave que tu ne le penses.
***
Ce qu'il faut faire, c'est réformer l'état qui dépense trop et gaspille
énormément.
Les 40 milliards d'aide au logement vont dans la poche des
propriétaires... font monter les prix, plume les foyers modestes...ce
n'est qu'un exemple.
Exact !
Post by zwLa retraite par redistribution impose des dividendes élevés, elle ravie
les fonds de pension... c'est pareil.. en fait, vous ne voulez pas voir
ces réalités, vous êtes dans des illusions où il suffirait que l'état
taxe et donne de l'argent pour que cela aille mieux.
Le principe de la retraite par répartition a été portée par un syndicat
cégétiste devenu ministre de Pétain, M. BELIN.
En 1945 le Conseil National de la résistance va créé la Sécurité sociale
et ses quatre branches, dont la branche vieille en s'appuyant sur trois
principes fondamentaux qui à leurs yeux ne pouvaient être contestés, à
- Unicité du système : un seul régime pour tous
- Uniformité des prestations : Chacun cotise et reçoit selon ses revenus.
- Universalité des droits : Tout le monde participe et tout le monde reçoit.
Parce qu'ils bafouaient ses principes fondamentaux, le CNR va préconiser
de supprimer tous les régimes spéciaux de l'époque et de les faire
intégrer le régime général. Parmi eux, celui de la sncf qui était issu
d'un régime privé.
Dés 1947, les corporations agissaient auprès des dirigeants pour que leur
Dérégime soit conservé. putés, sénateurs, agent sncf, gaziers,
Défonctionnaires, commerçant et artisans, paysans, et quelques autres
Décorporations complices parvenaient à échapper à au régime universel.
Pour comprendre ces réactions il faut connaître des mentalités de l'époque.
Par exemple les élus sont souvent issus de l'élite et ne peuvent supporter
d'etre traité socialement comme un vulgaire citoyen. Commerçants et
paysans forment pour une parti d'entre eux, une caste de petit bourgeois
dans le sens où ils étaient souvent des patrons qui employaient qui des
ouvriers, qui des vendeuses qui des saisonniers. D'où leur propension à ne
pas vouloir être mélanger socialement avec les gens du peuple socialement
moins élevés qu'eux. etc.... D'autre comme la SNCF avait hérité d'un
régime privé financé par les sociétés qui avant 1937 exploitaient le
chemin de fer français.
Déjà au débit des années 50, grèves et manifestations se poursuivaient
pour que ces régimes ne soient pas confondus avec le régime général.
Depuis le nombre d'exploitants agricoles a fortement régressé, celui des
commerçants aussi, tandis que le nombre de retraité explose.
Même chose avec les autres corporations.
De fait leur régime spécial, reposant sur la répartition et ne pouvant
être financé que si le ratio actif/retraités penchait du côté des premiers
devient déficitaire et même ruineux pour les adhérents. Les cotisations
augmentent seulement pour pallier à l'augmentation des inactifs.
Pour certains de ces régimes c'est donc le contribuable qui me la main à
la patte, sans bien sûr avoir le droit de prétendre aux mêmes avantages.
Pour exemple, le régime des paysans n'étant plus finançable il a été
absorbé par le régime général. En gros ceux qui avaient refusé d'y adhérer
ont fini par le faire sans jamais avoir cotisé.
Ici ce son donc les adhérent au régime général qui ont fait l'effort de
les intégrer, c'est à dire les gilets jaunes.
Bien évidemment, élus, fonctionnaires, agents d'entreprises publiques
n'ont eux pas eu d'effort de solidarité à fournir.
La solidarité ne peut se concevoir que si elle sert leurs intérêts, pas
ceux de la collectivité.
73 ans après il existe encore 35 régimes spéciaux, tandis que chez nombre
de nos voisins, élus et fonctionnaires (en partie) dépendent d'un seul et
même régime : le régime général universel.
Le plus drôle c'est que ce régime est celui préconisé et organisé par les
membre du CNR.
ET chez nous quiconque veut l'instaurer se fait traiter d'ulta libéral ou
de suppôt du capitaliste.
En gros ils insultent sans le savoir les membres du CNR.
saigneurs que vous fayotez à longueur d'année.
Post by s***@free.frComme quoi le formatage des esprits durant des décennies sert
essentiellement les intérêts des corporations qui oeuvrent pour maintenir
ces systèmes d'un autre âge.
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Post by zwLes vraies solutions, c'est de miser sur l'éducation, sur la
syndication au sein de l'entreprise. Sur l'information. Sur les médias
indépendants.
Sur la responsabilisation des individus, il faut réduire la
redistribution car cela ne marche pas et abétit les gens.
La France aide 60% de sa population.. un pays d'assistés... c'est
absurde.. cela est une abaine pour les profiteurs et les gilets jaunes
l'ont bien compris car ils sont les dindons de la farce.
Il doit y avoir 10% des gens qui ont réellement besoin d'aide. Les
autres peuvent s'assumer tout seuls dès lors qu'on réduit les impots et
charges diverses.