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2018-07-10 18:44:20 UTC
Andrew Yang, candidat démocrate aux Etats-Unis, propose un revenu universel de base à 1000 $ dès 2020
1000 $ par mois, dès 18 ans, quelque soient vos revenus, ça vous intéresse ?
6 juillet 2018
Source : pas de source pour JMH et bipbip
1. Présentation
– Andrew Yang est un riche entrepreneur américain qui a réussi dans la haute technologie. Il est d’origine taïwanaise (chinoise) mais est née en sol américain.
– Il se présente comme candidat présidentiel au parti démocrate pour les prochaines élections américaines de 2020.
– Retenez bien son nom, car à mon humble avis cet homme possède une réelle possibilité de gagner ! Voici pourquoi :
– Le parti démocrate n’a pas de figure charismatique parmi les chefs politiciens du parti. Cela laisse de l’espace pour une candidature de challenger.
– Les gens ont en plus qu’assez de la caste des politiciens, médiocre et fade. Ils ont prit goût aux challengers depuis la victoire du Dirigeant Suprême Donald Trump !
– Andrew Yang a une promesse de campagne centrale très populaire (démagogue dirons certains) : le revenu universel de base à 1000 $ ! Voici une vidéo en anglais où Mr Yang s’explique :
2. La proposition du revenu universel de base
– Yang pense que le chômage dans les pays développés et aux Etats-Unis, est un problème sans solution, car c’est un chômage technologique : l’automation, le remplacement des travailleurs par les robots et par l’IA, détruit des emplois définitivement. Yang pense que la proportion d’emplois détruits surpassera grandement la proportion d’emplois nouvellement crées par la vague technologique.
– Il explique aussi que le revenu universel de base offre d’immenses avantages : notamment un coût administratif très faible, puisqu’on enverrait automatiquement, un chèque à chaque américain de plus de 18 ans. Mais aussi une forme de nouvelle émancipation, puisqu’on l’homme serait libéré de l’impératif de travailler pour satisfaire ses besoins de base (se nourrir et se loger).
3. Ce que j’apprécie chez Andrew Yang
– Yang est un ingénieur et un entrepreneur. Pas un avocat ou un énarque. Il a 43 ans, il est jeune. Et il ne fait pas de la politique pour gagner de l’argent, mais parce qu’il s’est donné une mission. Je ne sais pas pour vous, mais moi j’en ai plus qu’assez des politiciens professionnels : ces gens qui n’ont jamais travaillé en entreprise, qui ont toujours le même profil de carrière (en général des avocats, comme Barrack Obama, ou Nicolas Sarkozy), et dont les idées sont assez interchangeables (quelle différence d’idées entre Hillary Clinton et Obama ? Entre Anne Hidalgo et François Fillon, au fond ?…)
– Yang s’intéresse au grand futur de l’humanité. Là où les politiciens voient sur 4 ans, lui semble se projeter sur 50 ans. Par exemple, il est conscient que l’Intelligence Artificielle fait peser sécuritaire majeur sur l’humanité (le scénario Terminator). C’est pourquoi prône la création d’un ministère en charge de surveiller les géants de la tech.
– Sa proposition d’un revenu de base est sourcée : il propose une nouvelle taxe sur la valeur ajoutée concernant les entreprises “responsables” de l’automation (celles travaillant sur l’IA ou en robotique).
3. Ce que je n’apprécie pas chez Andrew Yang
– Le programme de Yang reprend certaines marotes gauchistes. Par exemple il est pour la légalisation du cannabis (alors que celui-ci baisse au bout de plusieurs années le Q.I de huit point en moyenne). C’est donc ça la gauche ? Prendre la défense du “peuple” ce serait légaliser les drogues, et donc l’addiction et l’avilissement par la drogue ?
– Pire encore, il est pour la légalisation des 11 millions de clandestins vivant actuellement en sol américain.
C’est inacceptable d’un point de vue moral : ces gens sont entrées illégalement, en violant la loi.
C’est inacceptable d’un point de vue identitaire : ces gens sont de langue et de culture étrangères, et ceci provoque une souffrance identitaire quotidienne pour les autochtones américains.
C’est inacceptable d’un point de vue eugéniste : ces gens sont pour la plupart issus de races à bas Q.I, ce qui contribue à tiers-mondiser les Etats-Unis. Et en plus, cela entre en contradiction avec l’objectif d’innovation technologique que s’est fixé Andrew Yang, car celle-ci implique d’avoir un haut Q.I.
4. Conclusion
– Pour finir, c’est évidemment une idée sotte que de combiner l’immigration massive, la régularisation massive, avec un revenu universel de base à 1000 $ par mois. Ce serait un gigantesque appel d’air migratoire (africains, sud-américains, roms et autres mendiants).
– Depuis longtemps déjà, je suis en proie à un questionnement sans réponse : comment se fait-il que des hommes très intelligents, à l’esprit scientifique, comme ce Andrew Yang, n’aient pas pris conscience des différences raciales ?
En théorie, ils devraient, de par leur esprit supérieur, rechercher sur cette question au-delà de l’idéologie égalitariste. S’intéresser à des auteurs tels que J. Philippe Rushton (un réaliste racial). Pourtant, ce phénomène ne se produit pas. Le réalisme racial demeure confiné à une frange politique marginale (disons l’Alt-Right et les occidentalistes), et à quelques intellectuels franc-tireurs.
Joffrey Marrot.
1000 $ par mois, dès 18 ans, quelque soient vos revenus, ça vous intéresse ?
6 juillet 2018
Source : pas de source pour JMH et bipbip
1. Présentation
– Andrew Yang est un riche entrepreneur américain qui a réussi dans la haute technologie. Il est d’origine taïwanaise (chinoise) mais est née en sol américain.
– Il se présente comme candidat présidentiel au parti démocrate pour les prochaines élections américaines de 2020.
– Retenez bien son nom, car à mon humble avis cet homme possède une réelle possibilité de gagner ! Voici pourquoi :
– Le parti démocrate n’a pas de figure charismatique parmi les chefs politiciens du parti. Cela laisse de l’espace pour une candidature de challenger.
– Les gens ont en plus qu’assez de la caste des politiciens, médiocre et fade. Ils ont prit goût aux challengers depuis la victoire du Dirigeant Suprême Donald Trump !
– Andrew Yang a une promesse de campagne centrale très populaire (démagogue dirons certains) : le revenu universel de base à 1000 $ ! Voici une vidéo en anglais où Mr Yang s’explique :
2. La proposition du revenu universel de base
– Yang pense que le chômage dans les pays développés et aux Etats-Unis, est un problème sans solution, car c’est un chômage technologique : l’automation, le remplacement des travailleurs par les robots et par l’IA, détruit des emplois définitivement. Yang pense que la proportion d’emplois détruits surpassera grandement la proportion d’emplois nouvellement crées par la vague technologique.
– Il explique aussi que le revenu universel de base offre d’immenses avantages : notamment un coût administratif très faible, puisqu’on enverrait automatiquement, un chèque à chaque américain de plus de 18 ans. Mais aussi une forme de nouvelle émancipation, puisqu’on l’homme serait libéré de l’impératif de travailler pour satisfaire ses besoins de base (se nourrir et se loger).
3. Ce que j’apprécie chez Andrew Yang
– Yang est un ingénieur et un entrepreneur. Pas un avocat ou un énarque. Il a 43 ans, il est jeune. Et il ne fait pas de la politique pour gagner de l’argent, mais parce qu’il s’est donné une mission. Je ne sais pas pour vous, mais moi j’en ai plus qu’assez des politiciens professionnels : ces gens qui n’ont jamais travaillé en entreprise, qui ont toujours le même profil de carrière (en général des avocats, comme Barrack Obama, ou Nicolas Sarkozy), et dont les idées sont assez interchangeables (quelle différence d’idées entre Hillary Clinton et Obama ? Entre Anne Hidalgo et François Fillon, au fond ?…)
– Yang s’intéresse au grand futur de l’humanité. Là où les politiciens voient sur 4 ans, lui semble se projeter sur 50 ans. Par exemple, il est conscient que l’Intelligence Artificielle fait peser sécuritaire majeur sur l’humanité (le scénario Terminator). C’est pourquoi prône la création d’un ministère en charge de surveiller les géants de la tech.
– Sa proposition d’un revenu de base est sourcée : il propose une nouvelle taxe sur la valeur ajoutée concernant les entreprises “responsables” de l’automation (celles travaillant sur l’IA ou en robotique).
3. Ce que je n’apprécie pas chez Andrew Yang
– Le programme de Yang reprend certaines marotes gauchistes. Par exemple il est pour la légalisation du cannabis (alors que celui-ci baisse au bout de plusieurs années le Q.I de huit point en moyenne). C’est donc ça la gauche ? Prendre la défense du “peuple” ce serait légaliser les drogues, et donc l’addiction et l’avilissement par la drogue ?
– Pire encore, il est pour la légalisation des 11 millions de clandestins vivant actuellement en sol américain.
C’est inacceptable d’un point de vue moral : ces gens sont entrées illégalement, en violant la loi.
C’est inacceptable d’un point de vue identitaire : ces gens sont de langue et de culture étrangères, et ceci provoque une souffrance identitaire quotidienne pour les autochtones américains.
C’est inacceptable d’un point de vue eugéniste : ces gens sont pour la plupart issus de races à bas Q.I, ce qui contribue à tiers-mondiser les Etats-Unis. Et en plus, cela entre en contradiction avec l’objectif d’innovation technologique que s’est fixé Andrew Yang, car celle-ci implique d’avoir un haut Q.I.
4. Conclusion
– Pour finir, c’est évidemment une idée sotte que de combiner l’immigration massive, la régularisation massive, avec un revenu universel de base à 1000 $ par mois. Ce serait un gigantesque appel d’air migratoire (africains, sud-américains, roms et autres mendiants).
– Depuis longtemps déjà, je suis en proie à un questionnement sans réponse : comment se fait-il que des hommes très intelligents, à l’esprit scientifique, comme ce Andrew Yang, n’aient pas pris conscience des différences raciales ?
En théorie, ils devraient, de par leur esprit supérieur, rechercher sur cette question au-delà de l’idéologie égalitariste. S’intéresser à des auteurs tels que J. Philippe Rushton (un réaliste racial). Pourtant, ce phénomène ne se produit pas. Le réalisme racial demeure confiné à une frange politique marginale (disons l’Alt-Right et les occidentalistes), et à quelques intellectuels franc-tireurs.
Joffrey Marrot.