Discussion:
Un « héros » qui pète une durite
(trop ancien pour répondre)
joye
2018-03-29 13:59:40 UTC
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http://www.valeursactuelles.com/societe/les-profs-de-francais-ces-heros-94242

§

Le français n’est pas la langue dans laquelle on demande à des élèves
ignorants de « s’exprimer ». Il est la langue qu’on doit leur enseigner
— parce que l’Ecole a désormais la tâche de transmettre une langue qui
souvent ne fut pas maternelle. Ceux qui prétendent laisser les enfants
de l’immigration « parler avec leurs mots » creusent le fossé qui
séparera bientôt, si l’on persiste, les diverses « communautés » qui se
disputeront le territoire.

Parce que le français — le bon français ! — est le ciment premier de la
France. Refuser de l’enseigner comme il doit l’être, c’est encourager
les particularismes sociaux, raciaux, ou religieux. Le français est le
creuset dans lequel furent fondus, depuis la IIIème République, tous les
provinciaux et tous les immigrés de toutes origines. On a choisi de le
détruire parce qu’on veut, à toute force, favoriser la « diversité » qui
demain produira la guerre civile. Le pédagogisme [*] conspire contre l’Etat.

§

Il veut qu'on enseigne la langue de Molière. Soit.

Mais n'est-ce pas comme enseigner la chimie tout en refusant de parler
des éléments découverts depuis le XVIIe siècle ?

NB : Pour ceux qui s'y intéressent, il n'y en avait que vingt-deux.

[*] pédagogisme : mot ignoré par Molière et qui est arrivé en français
vers 1974
Anansi
2018-03-29 16:18:17 UTC
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Post by joye
http://www.valeursactuelles.com/societe/les-profs-de-francais-ces-heros-94242
« Le français n’est pas la langue dans laquelle on demande à des élèves
ignorants de « s’exprimer ». Il est la langue qu’on doit leur enseigner
— parce que l’Ecole a désormais la tâche de transmettre une langue qui
souvent ne fut pas maternelle. Ceux qui prétendent laisser les enfants
de l’immigration « parler avec leurs mots » creusent le fossé qui
séparera bientôt, si l’on persiste, les diverses « communautés » qui se
disputeront le territoire. »
Parce que le français — le bon français ! — est le ciment premier de la
France. Refuser de l’enseigner comme il doit l’être, c’est encourager
les particularismes sociaux, raciaux, ou religieux. Le français est le
creuset dans lequel furent fondus, depuis la IIIème République, tous les
provinciaux et tous les immigrés de toutes origines. On a choisi de le
détruire parce qu’on veut, à toute force, favoriser la « diversité » qui
demain produira la guerre civile. Le pédagogisme [*] conspire contre l’Etat.
Il veut qu'on enseigne la langue de Molière. Soit.
Mais n'est-ce pas comme enseigner la chimie tout en refusant de parler
des éléments découverts depuis le XVIIe siècle ?
NB : Pour ceux qui s'y intéressent, il n'y en avait que vingt-deux.
[*] pédagogisme : mot ignoré par Molière et qui est arrivé en français
vers 1974
Mauvaise comparaison, changez de comparaison.
L'article ne refuse à aucun moment l'apprentissage des mots apparus en
français depuis Molière.
BéCé
2018-03-29 17:35:58 UTC
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Post by joye
Il veut qu'on enseigne la langue de Molière. Soit.
"Le français est *«* la langue de Molière *»* — et de Racine, et de
Corneille, et de *quelques autres*, *quelques centaines d’autres
prodigieux écrivains* qui ont fait de notre langue ce qu’elle est — une
merveille d’ambiguïtés, fécondes de nuances impalpables, de clartés
suavement obscures."

Pour faciliter la compréhension, je me suis permis de mettre en relief
des éléments textuels importants.
--
BéCé
www.bernardcordier.com
Le Pépé à chênes
2018-03-29 17:53:35 UTC
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Post by BéCé
Post by joye
Il veut qu'on enseigne la langue de Molière. Soit.
"Le français est *«* la langue de Molière *»* — et de Racine, et de
Corneille, et de *quelques autres*, *quelques centaines d’autres
prodigieux écrivains* qui ont fait de notre langue ce qu’elle est — une
merveille d’ambiguïtés, fécondes de nuances impalpables, de clartés
suavement obscures."
Pour faciliter la compréhension, je me suis permis de mettre en relief
des éléments textuels importants.
Oui, comme l'anglais est la langue de Shakespeare, et de quelques
autres aussi, l'espagnol celle de Cervantès, et de quelques autres
aussi, l'italien celle de Dante... Et puis tant pis ou tant mieux si
toutes ces langues ont évolué, chaque langue se doit d'avoir un référent.
Benoit
2018-03-29 18:02:03 UTC
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Post by BéCé
Post by joye
Il veut qu'on enseigne la langue de Molière. Soit.
"Le français est *«* la langue de Molière *»* — et de Racine, et de
Corneille, et de *quelques autres*, *quelques centaines d'autres
prodigieux écrivains* qui ont fait de notre langue ce qu'elle est — une
merveille d'ambiguïtés, fécondes de nuances impalpables, de clartés
suavement obscures."
Déjà un truc drôle :
<http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5819472v/f6.image.texteImage>

Sinon quelques extraits de sa langue :

ARGAN.
On dira ce qu'on voudra, mais je vous dis que je veux qu'elle execute la
parole que j'ay donnée.
TOINETTE.
Non, je suis seure qu'elle ne le fera pas.
ARGAN.
Je l'y forceray bien.
TOINETTE.
Elle ne le fera pas, vous dy-je.
ARGAN.
Elle le fera, ou je la mettray dans un Convent.
TOINETTE.
Vous ?
ARGAN.
Moy.
TOINETTE.
Bon.
ARGAN.
Comment, bon ?
TOINETTE.
Vous ne la mettrez point dans un Convent.
ARGAN.
Je ne la mettray point dans un Convent ?
TOINETTE.
Non.
ARGAN.
Non.
TOINETTE.
Non.
ARGAN.
Oüais, voicy qui est plaisant. Je ne mettray pas ma Fille dans un
Convent, si je veux ?
TOINETTE.
Non, vous dis-je.
ARGAN.
Qui m'en empeschera ?
TOINETTE.
Vous-mesme.
ARGAN.
Moy ?
TOINETTE.
Oüy. Vous n'aurez pas ce cœur-là.
ARGAN.
Je l'auray.
TOINETTE.
Vous vous mocquez.
Post by BéCé
Pour faciliter la compréhension, je me suis permis de mettre en relief
des éléments textuels importants.
Et moi, je n'ai pas fait de même. Trop de « » * ". Le relief est facile
à voir.
--
Pense à l'étiquette qu'une fois les vendanges faites.
BéCé
2018-03-29 18:31:24 UTC
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Post by Benoit
Post by BéCé
Post by joye
Il veut qu'on enseigne la langue de Molière. Soit.
"Le français est *«* la langue de Molière *»* — et de Racine, et de
Corneille, et de *quelques autres*, *quelques centaines d'autres
prodigieux écrivains* qui ont fait de notre langue ce qu'elle est — une
merveille d'ambiguïtés, fécondes de nuances impalpables, de clartés
suavement obscures."
<http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5819472v/f6.image.texteImage>
............
Post by Benoit
Post by BéCé
Pour faciliter la compréhension, je me suis permis de mettre en relief
des éléments textuels importants.
Et moi, je n'ai pas fait de même. Trop de « » * ". Le relief est facile
à voir.
Pourtant vous vous arrêtez au fait que le français serait la langue de
Molière, nonobstant la mise entre guillemets de l'expression, mise entre
guillemets qui indique, dans le propos de Brighelli, que cette
expression n'est pas à prendre au pied de la lettre. Il prend d'ailleurs
soin de compléter son propos en ajoutant à Molière - et à Racine, et à
Corneille - "quelques centaines d'autres prodigieux écrivains.

En résumé, Brighelli nous dit que le français est la langue construite
par tous les écrivains de qualité s'exprimant en français.

Mes " * " n'auront servi à rien. La prochaine fois j'utiliserai des
majuscules.
--
BéCé
www.bernardcordier.com
Anansi
2018-03-29 18:36:00 UTC
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Post by BéCé
Pourtant vous vous arrêtez au fait que le français serait la langue de
Molière, nonobstant la mise entre guillemets de l'expression, mise entre
guillemets qui indique, dans le propos de Brighelli, que cette
expression n'est pas à prendre au pied de la lettre. Il prend d'ailleurs
soin de compléter son propos en ajoutant à Molière - et à Racine, et à
Corneille - "quelques centaines d'autres prodigieux écrivains.
En résumé, Brighelli nous dit que le français est la langue construite
par tous les écrivains de qualité s'exprimant en français.
Mes " * " n'auront servi à rien. La prochaine fois j'utiliserai des
majuscules.
Ah oui, c'est bien les majuscules !
Mettez-les quand même en gras, ça aidera encore mieux à comprendre.
BéCé
2018-03-29 18:54:57 UTC
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Post by Anansi
Pourtant vous vous arrêtez au fait que le français serait la langue de
MoliÚre, nonobstant la mise entre guillemets de l'expression, mise entre
guillemets qui indique, dans le propos de Brighelli, que cette
expression n'est pas à prendre au pied de la lettre. Il prend d'ailleurs
soin de compléter son propos en ajoutant à MoliÚre - et à Racine, et à
Corneille - "quelques centaines d'autres prodigieux écrivains.
En résumé, Brighelli nous dit que le français est la langue construite
par tous les écrivains de qualité s'exprimant en français.
Mes " * " n'auront servi à rien. La prochaine fois j'utiliserai des
majuscules.
Ah oui, c'est bien les majuscules !
Mettez-les quand même en gras, ça aidera encore mieux à comprendre.
J'ai pensé rédiger en /HTML /avec des *couleurs PÉTANTES*. _Mais Olivier
va m'enguirlander_
--
BéCé
www.bernardcordier.com
Benoit
2018-03-29 19:48:23 UTC
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Post by BéCé
Post by Benoit
Post by BéCé
Post by joye
Il veut qu'on enseigne la langue de Molière. Soit.
"Le français est *«* la langue de Molière *»* — et de Racine, et de
Corneille, et de *quelques autres*, *quelques centaines d'autres
prodigieux écrivains* qui ont fait de notre langue ce qu'elle est — une
merveille d'ambiguïtés, fécondes de nuances impalpables, de clartés
suavement obscures."
<http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5819472v/f6.image.texteImage>
............
Post by Benoit
Post by BéCé
Pour faciliter la compréhension, je me suis permis de mettre en relief
des éléments textuels importants.
Et moi, je n'ai pas fait de même. Trop de « » * ". Le relief est facile
à voir.
Pourtant vous vous arrêtez au fait que le français serait la langue de
Molière, nonobstant la mise entre guillemets de l'expression, mise entre
guillemets qui indique, dans le propos de Brighelli, que cette
expression n'est pas à prendre au pied de la lettre. Il prend d'ailleurs
soin de compléter son propos en ajoutant à Molière - et à Racine, et à
Corneille - "quelques centaines d'autres prodigieux écrivains.
Le français de cette époque n'a rien à voir avec celui d'aujourd'hui, ou
celui s'il y a juste un siècle. La langue est vivante, des mots
apparaissent, d'autres disparaissent.
Post by BéCé
En résumé, Brighelli nous dit que le français est la langue construite
par tous les écrivains de qualité s'exprimant en français.
Écrivains de qualité de nos jours, quels étaient les écrivains de
l'époque qui n'ont pas tenu le temps ? Depuis quand sait-on que Molière
n'aurait pas écrit tous ses textes ? Le travail de Simonin est-il à
jeter ? Alors qu'il a utilisé un français non-académique.

Il y a ceux qui avancent en regardant derrière eux, attention au mur !
Et ceux qui savent ce qui a été fait et ce qui est en train de se faire,
ce qui reste à faire.

Le français de Molière utilisait des mots qui ne sont plus utilisés,
aujourd'hui, et des mots qui n'existaient pas quelques siècles avant,
sans parler de ceux dont le sens a changé

De la même façon que des mots inventés, comme télévision ou d'autres
technologiques, pour correspondre à notre besoin de vocabulaire actuel,
n'auront plus de raison d'être dans le futur.

Si la langue évolue elle vit, sinon elle crève.
--
Pense à l'étiquette qu'une fois les vendanges faites.
BéCé
2018-03-30 07:32:01 UTC
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Post by Benoit
Post by BéCé
Post by Benoit
Post by BéCé
Post by joye
Il veut qu'on enseigne la langue de Molière. Soit.
"Le français est *«* la langue de Molière *»* — et de Racine, et de
Corneille, et de *quelques autres*, *quelques centaines d'autres
prodigieux écrivains* qui ont fait de notre langue ce qu'elle est — une
merveille d'ambiguïtés, fécondes de nuances impalpables, de clartés
suavement obscures."
<http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5819472v/f6.image.texteImage>
............
Post by Benoit
Post by BéCé
Pour faciliter la compréhension, je me suis permis de mettre en relief
des éléments textuels importants.
Et moi, je n'ai pas fait de même. Trop de « » * ". Le relief est facile
à voir.
Pourtant vous vous arrêtez au fait que le français serait la langue de
Molière, nonobstant la mise entre guillemets de l'expression, mise entre
guillemets qui indique, dans le propos de Brighelli, que cette
expression n'est pas à prendre au pied de la lettre. Il prend d'ailleurs
soin de compléter son propos en ajoutant à Molière - et à Racine, et à
Corneille - "quelques centaines d'autres prodigieux écrivains.
Le français de cette époque n'a rien à voir avec celui d'aujourd'hui, ou
celui s'il y a juste un siècle.
Qu'est-ce que vous ne comprenez pas dans cet extrait :

"La Brigade Écossaise fit disputer ses championnats de boxe dans une
belle grange flamande voisine de Poperinghe.
Quand tout fut fini, le général monta sur une chaise et d’une voix qui
portait bien :
— Gentlemen, dit-il, nous avons vu aujourd’hui des combats remarquables,
et je crois que, de ce spectacle, nous pouvons retenir quelques leçons
utiles pour la lutte plus importante que nous allons bientôt reprendre.
Restons calmes ; gardons nos yeux ouverts ; frappons peu, mais fort, et
combattons jusqu’à la fin."

(Les silences du colonel Bramble, André Maurois - 1918)
Post by Benoit
La langue est vivante, des mots apparaissent, d'autres disparaissent.
C'est une évidence qu'il ne faut jamais omettre de rappeler.
Post by Benoit
Post by BéCé
En résumé, Brighelli nous dit que le français est la langue construite
par tous les écrivains de qualité s'exprimant en français.
Écrivains de qualité de nos jours,
Non, pas de nos jours. Écrivains de qualité point.

quels étaient les écrivains de
Post by Benoit
l'époque qui n'ont pas tenu le temps ? Depuis quand sait-on que Molière
n'aurait pas écrit tous ses textes ? Le travail de Simonin est-il à
jeter ? Alors qu'il a utilisé un français non-académique.
Il y a ceux qui avancent en regardant derrière eux, attention au mur !
Et ceux qui savent ce qui a été fait et ce qui est en train de se faire,
ce qui reste à faire.
Le français de Molière utilisait des mots qui ne sont plus utilisés,
aujourd'hui, et des mots qui n'existaient pas quelques siècles avant,
sans parler de ceux dont le sens a changé
De la même façon que des mots inventés, comme télévision ou d'autres
technologiques, pour correspondre à notre besoin de vocabulaire actuel,
n'auront plus de raison d'être dans le futur.
Si la langue évolue elle vit, sinon elle crève.
Bon, de toute évidence vous ne lisez pas ce que dit Brighelli dans
l'article et vous ne me lisez pas non plus, ce qui est, je le concède,
un moindre mal.
Il s'ensuit que nous ne parlons pas de la même chose. En particulier, je
n'ai personnellement rien à vendre.
Puisque vous semblez nouveau dans ce groupe, je ne saurais trop vous
conseiller de vous aboucher avec l’initiatrice de ce fil. C'est une
spécialiste incontestée des généralités bien senties sur le thème de
"évoluer ou mourir" et son commerce vous comblera. Ne la lisant
personnnellement qu'au-dessus d'une épaule complaisante, je me vois
obligé de vous laisser.
--
BéCé
www.bernardcordier.com
Benoit
2018-03-30 10:19:25 UTC
Permalink
Post by BéCé
Bon, de toute évidence vous ne lisez pas ce que dit Brighelli dans
l'article et vous ne me lisez pas non plus, ce qui est, je le concède,
un moindre mal.
Je lis ce que vous, vous avez écrit, et nulle part vous évoquez
Brighelli. Vous mettez des symboles dans tous les sens. Vous savez lire,
mais pas écrire. Comme quoi vous démontrez son discours avec talent
(façon de parler).
Post by BéCé
Post by joye
http://www.valeursactuelles.com/societe/les-profs-de-francais-ces-heros-94242
[...]
Le français est « la langue de Molière » — et de Racine, et de
Corneille, et de quelques autres, quelques centaines d'autres
prodigieux écrivains qui ont fait de notre langue ce qu'elle est —
une merveille d'ambiguïtés, fécondes de nuances impalpables, de
clartés suavement obscures.
[...]

Et qu'avez-vous ajouté ? Rien, qu'avez-vous dit ? Rien. Par contre vous
avez compliqué la compréhension, avec brio. Vous avez aussi oublié de
mettre des espaces insécables, vous ne savez donc pas écrire
correctement.
Post by BéCé
Puisque vous semblez nouveau dans ce groupe,
Bin oui bonhomme, je suis un nouveau. J'ai seulement participé à la
création du groupe. Je le lis tous les jours depuis, mais je n'écris que
de temps en temps, lorsque la discussion m'incite à apporter quelque
chose.

Vous êtes arrivé un peu plus tard.
Post by BéCé
conseiller de vous aboucher avec l'initiatrice de ce fil. C'est une
spécialiste incontestée des généralités bien senties sur le thème de
"évoluer ou mourir" et son commerce vous comblera. Ne la lisant
personnnellement qu'au-dessus d'une épaule complaisante, je me vois
obligé de vous laisser.
Il est marrant le gugus, il a une tellement haute opinion de lui-même
qu'il ne voit pas où il met les pieds sur son parcours. Mais ça porte
bonheur.


Tiens en me baladant j'ai trouvé une page bourrée d'erreurs :
<http://www.bernardcordier.com/Documents/Configuration_microordinateur.pdf>
Pas de grammaire, de concept de classification.
--
Pense à l'étiquette qu'une fois les vendanges faites.
BéCé
2018-03-30 11:12:52 UTC
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Post by Benoit
Post by BéCé
Bon, de toute évidence vous ne lisez pas ce que dit Brighelli dans
l'article et vous ne me lisez pas non plus, ce qui est, je le concède,
un moindre mal.
Je lis ce que vous, vous avez écrit, et nulle part vous évoquez
Brighelli. Vous mettez des symboles dans tous les sens. Vous savez lire,
mais pas écrire. Comme quoi vous démontrez son discours avec talent
(façon de parler).
Post by BéCé
Post by joye
http://www.valeursactuelles.com/societe/les-profs-de-francais-ces-heros-94242
[...]
Le français est « la langue de Molière » — et de Racine, et de
Corneille, et de quelques autres, quelques centaines d'autres
prodigieux écrivains qui ont fait de notre langue ce qu'elle est —
une merveille d'ambiguïtés, fécondes de nuances impalpables, de
clartés suavement obscures.
[...]
Et qu'avez-vous ajouté ? Rien, qu'avez-vous dit ? Rien. Par contre vous
avez compliqué la compréhension, avec brio. Vous avez aussi oublié de
mettre des espaces insécables, vous ne savez donc pas écrire
correctement.
Post by BéCé
Puisque vous semblez nouveau dans ce groupe,
Bin oui bonhomme, je suis un nouveau. J'ai seulement participé à la
création du groupe. Je le lis tous les jours depuis, mais je n'écris que
de temps en temps, lorsque la discussion m'incite à apporter quelque
chose.
Vous êtes arrivé un peu plus tard.
Post by BéCé
conseiller de vous aboucher avec l'initiatrice de ce fil. C'est une
spécialiste incontestée des généralités bien senties sur le thème de
"évoluer ou mourir" et son commerce vous comblera. Ne la lisant
personnnellement qu'au-dessus d'une épaule complaisante, je me vois
obligé de vous laisser.
Il est marrant le gugus, il a une tellement haute opinion de lui-même
qu'il ne voit pas où il met les pieds sur son parcours. Mais ça porte
bonheur.
Vous vous agacez parce que je vous dis que ce que vous dites ne
m'intéresse pas. Bon, ça n'intéresse pas grand monde.
Post by Benoit
<http://www.bernardcordier.com/Documents/Configuration_microordinateur.pdf>
Pas de grammaire, de concept de classification.
Merci pour votre pub.
Il s'agit d'une schéma destiné à des enseignants qui doivent expliquer
ce que sont les différents organes d'un PC. Il est exact et les
personnes qui s'en servent le trouvent utile.

En ce qui concerne mon site, je vous fournis les dernières statistiques
de fréquentation :
https://screenshots.firefox.com/2qwHBGo5NdEkWCVM/v75l.xiti.com

Pour un site perso, ce n'est pas trop mal.
--
BéCé
www.bernardcordier.com
Benoit
2018-03-30 12:40:18 UTC
Permalink
Post by BéCé
Vous vous agacez parce que je vous dis que ce que vous dites ne
m'intéresse pas. Bon, ça n'intéresse pas grand monde.
Comment savez-vous si des lecteurs de fllf lisent ou non notre
discussion ? Et, puisque vous connaissez l'enseignement, vous êtes passé
d'un B à un C et vous ne méritez-plus qu'un D. Et encore c'est pour vous
motiver et vous inciter à réfléchir un peu plus.

Et Toc ! © ® ™
--
Pense à l'étiquette qu'une fois les vendanges faites.
BéCé
2018-03-31 09:14:50 UTC
Permalink
Post by Benoit
Post by BéCé
Vous vous agacez parce que je vous dis que ce que vous dites ne
m'intéresse pas. Bon, ça n'intéresse pas grand monde.
Comment savez-vous si des lecteurs de fllf lisent ou non notre
discussion ?
Je vous parle d'intérêt.
Vous ne lisez pas.

Et, puisque vous connaissez l'enseignement, vous êtes passé
Post by Benoit
d'un B à un C et vous ne méritez-plus qu'un D.
Vous n'en savez strictement rien et c'est faux.
--
BéCé
www.bernardcordier.com
Benoit
2018-03-31 10:32:30 UTC
Permalink
Post by BéCé
Post by Benoit
Post by BéCé
Vous vous agacez parce que je vous dis que ce que vous dites ne
m'intéresse pas. Bon, ça n'intéresse pas grand monde.
Comment savez-vous si des lecteurs de fllf lisent ou non notre
discussion ?
Je vous parle d'intérêt.
Vous ne lisez pas.
Mais si, je lis. La preuve : je réponds.

Histoire de revenir dans l'environnement fllf, nous allons donc en faire
une pièce de théâtre avec, bien sûr, des acteurs et des spectateurs.

1. LES ACTEURS

Nous avons une scène avec plusieurs personnages. À un moment dans cette
scène il n'y en a plus que deux qui parlent. L'un d'eux répète qu'il ne
trouve aucun intérêt à ce dialogue et ne sors pas de scène. Concernant
ce manque d'intérêt personnel son absence de justification, il répète,
il répète le même texte :

-- Vous ne m'écoutez pas !

Cela s'appelle le comique de répétition.

2. LE PUBLIC

Puis, en tournant lentement sur lui-même d'un geste large montrant toute
la scène :

-- Voyez ! Pauvre hère. Personne !

Il continue avec les bras tendus vers l'avant, tel un : « Je vous ai
compris ! », montrant la salle dans le noir et les caméras qui
enregistrent la pièce.

-- Toujours personne !
--
Pense à l'étiquette qu'une fois les vendanges faites.
BéCé
2018-03-31 19:29:55 UTC
Permalink
Le 31/03/2018 à 12:32, Benoit a fait preuve d'imagination ou "L'Illusion
comique".

Non, vous ne lisez pas. Vous mettez vos mots sur des mots qui ne sont
pas les vôtres et que vous ne comprenez pas.

Vous ne comprenez pas la phrase suivante :

"Le français est « la langue de Molière » — et de Racine, et de
Corneille, et de quelques autres, quelques centaines d’autres prodigieux
écrivains qui ont fait de notre langue ce qu’elle est..."

qui signifie simplement que le français est la création de centaines
d'écrivains dont trois et trois seuls (Molière, Racine et Corneille sont
cités).

Aucun de mes arguments n'aura eu de réponse. Vous préférez les attaques
personnelles et l'évitement.

Un simple schéma comme celui-ci :
https://lc.cx/P6U5
s'attire des critiques indues et décontextualisées. Plouf !

Un peu plus loin :"Et, puisque vous connaissez l'enseignement, vous êtes
passé d'un B à un C et vous ne méritez-plus qu'un D." Là vous tombez
vraiment bas. Mais mal.

Merci pour votre visite sur mon site fondé en 1997 et en pleine activité
depuis. J'ignore ce que vous faites dans la vie mais vous y trouverez
peut-être matière à intérêt.
Quelques statistiques :
Loading Image...

Il va de soi que je vous laisse le dernier mot, simple question
d'hygiène mentale. Vous trouverez bien une faute de frappe, un tiret
insécable, quelque chose de très, très important. Je ne le lirai pas et
vous aurez disparu.

Vous avez disparu.
--
BéCé
www.bernardcordier.com
Le Pépé à chênes
2018-03-31 20:12:26 UTC
Permalink
[...] Je ne le lirai pas et vous aurez disparu.
Vous avez disparu.
Lou papet : Nous avons notre David Copperfield.
Chico du 12e : Ah, Dickens... Le niveau remonte ! Enfin !
Lou Papet : Vous aussi, vous avez disparu.
joye
2018-03-31 21:06:51 UTC
Permalink
Post by Le Pépé à chênes
Lou Papet : Vous aussi, vous avez disparu.
Crevé comme un pneu-neu ? Cool !

Allez, pour changer du théâtre, un peu de poésie pascale de Jeanne
Boirépa de la Fontaine...


☆.。.:*・°☆.。.:*・°☆.。.:*・°☆.。.:*・°☆

Un rosbif vit une grenouille
Qui lui sembla de belle bouille.
Lui qui n'était pas mince en tout sauf la taille
Envieux s'étend, et s'enfle dans la pagaille
Pour égaler la grenouille en grosseur,
Disant : Regardez bien, ô vieux baissé ;
N'y suis-je point encore ? Est-ce comme cela assez ?
— Nenni. — M'y voici donc ? — Point du tout. — M'y voilà ?
— Vous n'en approchez point. Les gonflés à la trève
L'enfla si bien qu'il creva. Le rêve !

Moralité :

Le monde est plein de gens qui ne sont pas très sages :
Tout cordier aime trop montrer ses noeuds,
Tout prétentieux est peu faramineux,
Et tout hypocrite se vante de ses webpages.

☆.。.:*・°☆.。.:*・°☆.。.:*・°☆.。.:*・°☆
joye
2018-03-31 21:11:29 UTC
Permalink
On 3/31/2018 4:06 PM, joye wrote:

Corrigeouillé
Post by joye
☆.。.:*・°☆.。.:*・°☆.。.:*・°☆.。.:*・°☆
Un rosbif vit une grenouille
Qui lui sembla de belle bouille.
Lui qui n'était pas mince en tout sauf la taille
Envieux s'étend, et s'enfle dans la pagaille
Pour égaler la grenouille en grosseur,
Disant : Regardez bien, ô vieux baissé ;
N'y suis-je point encore ? Est-ce comme cela assez ?
— Nenni. — M'y voici donc ? — Point du tout. — M'y voilà ?
— Vous n'en approchez point. Les gonflés à la trève
L'enflèrent si bien qu'il creva. Le rêve !
Tout cordier aime trop montrer ses noeuds,
Tout prétentieux est peu faramineux,
Et tout hypocrite se vante de ses webpages.
☆.。.:*・°☆.。.:*・°☆.。.:*・°☆.。.:*・°☆
Benoit
2018-04-01 11:50:46 UTC
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Post by BéCé
Le 31/03/2018 à 12:32, Benoit a fait preuve d'imagination ou "L'Illusion
comique".
Non, vous ne lisez pas. Vous mettez vos mots sur des mots qui ne sont
pas les vôtres et que vous ne comprenez pas.
qui signifie simplement que le français est la création de centaines
d'écrivains dont trois et trois seuls (Molière, Racine et Corneille sont
cités).
Ceux-là n'ont rien créé. Ils ont utilisé la grammaire et le language de
leur époque. Va faire un tour sur :
<https://fr.wikipedia.org/wiki/Histoire_de_la_langue_française >
À partir de : « Du xvie au xviiie siècle : français classique »
<http://www.academie-francaise.fr/la-langue-francaise/le-francais-aujourdhui>
<https://www.cairn.info/revue-langue-francaise-2004-1-page-56.htm>

Commentaires ?


Encore une autre page sympathique au sujet de ces écrivains qui
défendent la pureté de la langue :
<http://www.axl.cefan.ulaval.ca/francophonie/HIST_FR_s6_Grand-Siecle.htm>
Cet universitaire évoque le français de la noblesse, le français du
peuple et celui des auteurs. Deux extraits :

1
« Les écrivains eux-mêmes s'alignèrent et se soumirent au
» conservatisme de la langue «distinguée», sinon à cet «art de dire
» noblement des riens». En dépit de leurs qualités et du prestige dont
» ils jouissaient en France et à l'étranger, les écrivains du Grand
» Siècle, tels que Bossuet, Corneille, Racine, Boileau, Molière, La
» Fontaine, Pascal, La Rochefoucauld, La Bruyère, etc., ne créèrent pas
» eux-mêmes le français de leur temps, et n'essayèrent même pas
» d'imposer leur façon de voir. »

2 Une citation de Claude Fabre de Vaugelas (1585-1659)
« Le mauvais se forme du plus grand nombre de personnes, qui presque en
» toutes choses n'est pas le meilleur, et le bon au contraire est
» composé non pas de la pluralité, mais de l'élite des voix, et c'est
» véritablement celui que l'on nomme le maître des langues. Voici donc
» comment on définit le bon usage : c'est la façon de parler de la plus
» saine partie de la Cour. »

Commentaires ?
Post by BéCé
Il va de soi que je vous laisse le dernier mot, simple question
d'hygiène mentale. Vous trouverez bien une faute de frappe, un tiret
insécable, quelque chose de très, très important. Je ne le lirai pas et
vous aurez disparu.
Je suis revenu un peu en arrière et je dois dire que le gus qui se veut
défenseur de la langue française, en plus de ne pas connaître son
histoire, ne connait même pas son orthographe : les capitales doivent
être accentuées. Bin lui c'est pas vraiment son truc d'écrire
correctement. Sept accents oubliés, tous sur des « E ». Par contre il
est présent sur le « À ».

Je suis aussi retourné faire un tour sur le site de l'Académie
française.
<http://www.academie-francaise.fr/le-dictionnaire-la-9e-edition/exemples-de-mots-nouveaux>

Jette un œil. Tu y trouveras tous les mots supprimés et ceux qui sont
ajoutés que leur origine soit française ou étrangère (et très souvent
d'origine latine qui plus est). Alors, c'est quoi la langue de Molière
et une centaine d'autres grands écrivains ? C'est la langue de la
noblesse dans laquelle, avec le temps, le peuple à ajouté des mots et
des grammairiens ont fixés des règles. Et tout ça a évolué avec le
temps.

Commentaires ?
--
Pense à l'étiquette, qu'une fois les vendanges faites.
Anansi
2018-04-02 13:36:57 UTC
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Post by Benoit
Post by BéCé
Le 31/03/2018 à 12:32, Benoit a fait preuve d'imagination ou "L'Illusion
comique".
Non, vous ne lisez pas. Vous mettez vos mots sur des mots qui ne sont
pas les vôtres et que vous ne comprenez pas.
qui signifie simplement que le français est la création de centaines
d'écrivains dont trois et trois seuls (Molière, Racine et Corneille sont
cités).
Vous n'avez pas compris, vous n'existez plus.
Post by Benoit
Ceux-là n'ont rien créé. Ils ont utilisé la grammaire et le language de
<https://fr.wikipedia.org/wiki/Histoire_de_la_langue_française >
À partir de : « Du xvie au xviiie siècle : français classique »
Rien sur le style et la création littéraire dans cette partie puisque ce
n'est pas son objet.
Vous avez toutefois raté l'introduction :
« La langue française a cette particularité que son développement a été
en partie l’œuvre de groupes intellectuels, comme la Pléiade, ou
d’institutions, comme l’Académie française. C’est une langue dite «
académique ». Toutefois, l’usage garde ses droits et nombreux sont ceux
qui malaxèrent cette langue vivante, au premier rang desquels Molière :
on parle d’ailleurs de la « langue de Molière ». »
Post by Benoit
<http://www.academie-francaise.fr/la-langue-francaise/le-francais-aujourdhui>
<https://www.cairn.info/revue-langue-francaise-2004-1-page-56.htm>
Commentaires ?
Vous avez l'air de penser que créer la langue française, c'est créer ses
règles. Ce n'est pas ça, c'est créer des textes originaux dans le cadre
des règles.
C'est la contrainte des règles qui permet la créativité pour les
dépasser. Allez voir du côté de l'OuLiPo.
Post by Benoit
Encore une autre page sympathique au sujet de ces écrivains qui
<http://www.axl.cefan.ulaval.ca/francophonie/HIST_FR_s6_Grand-Siecle.htm>
Cet universitaire évoque le français de la noblesse, le français du
1
« Les écrivains eux-mêmes s'alignèrent et se soumirent au
» conservatisme de la langue «distinguée», sinon à cet «art de dire
» noblement des riens». En dépit de leurs qualités et du prestige dont
» ils jouissaient en France et à l'étranger, les écrivains du Grand
» Siècle, tels que Bossuet, Corneille, Racine, Boileau, Molière, La
» Fontaine, Pascal, La Rochefoucauld, La Bruyère, etc., ne créèrent pas
» eux-mêmes le français de leur temps, et n'essayèrent même pas
» d'imposer leur façon de voir. »
2 Une citation de Claude Fabre de Vaugelas (1585-1659)
« Le mauvais se forme du plus grand nombre de personnes, qui presque en
» toutes choses n'est pas le meilleur, et le bon au contraire est
» composé non pas de la pluralité, mais de l'élite des voix, et c'est
» véritablement celui que l'on nomme le maître des langues. Voici donc
» comment on définit le bon usage : c'est la façon de parler de la plus
» saine partie de la Cour. »
Commentaires ?
1 Il faut être complètement ignare pour affirmer cela. Corneille dans
son entier est condamné pour sa syntaxe et son vocabulaire. Molière se
moque, notamment dans Les Femmes savantes de ces excès de la grammaire
et réintroduit constamment dans ses pièces le parler populaire. Le père
Bouhours, continuateur de Vaugelas, en dit pis que pendre.

2 C'est un témoin de son temps. Il rapporte la constitution d'une
monarchie centralisée, autoritaire, admirée dans toute l'Europe. C'est
la suite de Malherbe, en plus courtois. La France est toujours animée
par ce besoin d'une élite qui la guide. Après, on n'est pas obligé
d'adhérer à cette vision, mais les Français tiennent à leur langue plus
que bien d'autres, au point de corriger, parfois avec rudesse, tous ceux
qui la maltraitent un tant soit peu.
Post by Benoit
Post by BéCé
Il va de soi que je vous laisse le dernier mot, simple question
d'hygiène mentale. Vous trouverez bien une faute de frappe, un tiret
insécable, quelque chose de très, très important. Je ne le lirai pas et
vous aurez disparu.
Je suis revenu un peu en arrière et je dois dire que le gus qui se veut
défenseur de la langue française, en plus de ne pas connaître son
histoire, ne connait même pas son orthographe : les capitales doivent
être accentuées. Bin lui c'est pas vraiment son truc d'écrire
correctement. Sept accents oubliés, tous sur des « E ». Par contre il
est présent sur le « À ».
Bin ? Vous incriminez l'auteur pour des fautes de l'éditeur.
Post by Benoit
Je suis aussi retourné faire un tour sur le site de l'Académie
française.
<http://www.academie-francaise.fr/le-dictionnaire-la-9e-edition/exemples-de-mots-nouveaux>
Jette un œil. Tu y trouveras tous les mots supprimés et ceux qui sont
ajoutés que leur origine soit française ou étrangère (et très souvent
d'origine latine qui plus est). Alors, c'est quoi la langue de Molière
et une centaine d'autres grands écrivains ? C'est la langue de la
noblesse dans laquelle, avec le temps, le peuple à ajouté des mots et
des grammairiens ont fixés des règles. Et tout ça a évolué avec le
temps.
Commentaires ?
C'est le peuple qui aurait ajouté :
« aérosol, ailier, autoradio, avant-centre, biathlon/décathlon,
bibliobus, billetterie, biodégradable, calculette... »
« aéroglisseur, artéfact, baladeur, décodage/décoder, deltaplane,
directionnel, -elle, disquette, épistémologie/épistémologique,
épistémologue, ergonomie/ergonomique... »
« acculturation, activisme/activiste, affairisme/affairiste,
antiracisme/antiraciste, apolitique, autodétermination,
avant-gardisme/avant-gardiste, balkanisation... »
Etc.
Là, vous vous foutez du monde.
Ce que lègue Molière, c'est la liberté dans le cadre de certaines
règles, pas la fixité d'une langue morte.
joye
2018-04-02 13:56:25 UTC
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Post by Anansi
Ce que lègue Molière, c'est la liberté dans le cadre de certaines
règles, pas la fixité d'une langue morte.
Une bonne fois pour toutes, décidez-vous, Anansi.

C'est alors quoi "le BON français" ?

Jusqu'aux preuves du contraire, cette expression ne parle pas de liberté.

Aucunement.

Et Molière ? Non plus.

Ceux qui prétendent le contraire n'auront pas lu "L'École des femmes".
Anansi
2018-04-02 14:26:10 UTC
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Post by joye
Post by Anansi
Ce que lègue Molière, c'est la liberté dans le cadre de certaines
règles, pas la fixité d'une langue morte.
Une bonne fois pour toutes, décidez-vous, Anansi.
C'est alors quoi "le BON français" ?
Jusqu'aux preuves du contraire, cette expression ne parle pas de liberté.
Aucunement.
Et Molière ? Non plus.
Ceux qui prétendent le contraire n'auront pas lu "L'École des femmes".
C'est clair, le bon français est un français mort.
joye
2018-04-02 16:21:15 UTC
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Post by Anansi
C'est clair, le bon français est un français mort.
Meurtre ou suicide ?
Anansi
2018-04-02 16:57:28 UTC
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Post by joye
Post by Anansi
C'est clair, le bon français est un français mort.
Meurtre ou suicide ?
Demande perverse de la complice qui n'a rien compris à l'École des Femmes.
joye
2018-04-02 17:18:13 UTC
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Post by Anansi
Post by joye
Post by Anansi
C'est clair, le bon français est un français mort.
Meurtre ou suicide ?
Demande perverse de la complice qui n'a rien compris à l'École des Femmes.
C'est vous qui parliez de l'idée de /liberté/ de la (mauvaise) langue de
Molière.

Autrement dit, c'est vous qui n'en avez rien compris.

Alors, maladie fatale ?
Anansi
2018-04-02 17:57:20 UTC
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Post by joye
Post by Anansi
Post by joye
Post by Anansi
C'est clair, le bon français est un français mort.
Meurtre ou suicide ?
Demande perverse de la complice qui n'a rien compris à l'École des Femmes.
C'est vous qui parliez de l'idée de /liberté/ de la (mauvaise) langue de
Molière.
Autrement dit, c'est vous qui n'en avez rien compris.
Alors, maladie fatale ?
L'idée de liberté dans l'École des femmes, c'est celle de l'émancipation.
Molière y introduit aussi la plaisanterie à la place de la farce à
l'italienne.
je n'ai jamais écrit que Molière utilisait une mauvaise langue. Face aux
puristes du langage de cour, il n'hésite pas à utiliser le langage
populaire et ses tournures considérées comme fautives.

Quand à ma phrase plus haut, c'est un décalque du bon indien.
joye
2018-04-02 20:55:39 UTC
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Post by Anansi
Post by joye
Post by Anansi
Post by joye
Post by Anansi
C'est clair, le bon français est un français mort.
Meurtre ou suicide ?
Demande perverse de la complice qui n'a rien compris à l'École des Femmes.
C'est vous qui parliez de l'idée de /liberté/ de la (mauvaise) langue de
Molière.
Autrement dit, c'est vous qui n'en avez rien compris.
Alors, maladie fatale ?
L'idée de liberté dans l'École des femmes, c'est celle de l'émancipation.
Il était contre.
Post by Anansi
Molière y introduit aussi la plaisanterie à la place de la farce à
l'italienne.
je n'ai jamais écrit que Molière utilisait une mauvaise langue.
Je le sais. D'où les () pour jouer sur le sens de "calominateur".
Post by Anansi
Face aux
puristes du langage de cour, il n'hésite pas à utiliser le langage
populaire et ses tournures considérées comme fautives.
Pour l'effet comique. Euh.
Post by Anansi
Quand à ma phrase plus haut, c'est un décalque du bon indien.
Ratatouillé. Majuscule oblige pour le sens de la v.o.

Et aussi pour la citation. Faut ajouter /seul/.
Anansi
2018-04-03 02:02:33 UTC
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Post by joye
Post by Anansi
Post by joye
Post by Anansi
Post by joye
Post by Anansi
C'est clair, le bon français est un français mort.
Meurtre ou suicide ?
Demande perverse de la complice qui n'a rien compris à l'École des Femmes.
C'est vous qui parliez de l'idée de /liberté/ de la (mauvaise) langue de
Molière.
Autrement dit, c'est vous qui n'en avez rien compris.
Alors, maladie fatale ?
L'idée de liberté dans l'École des femmes, c'est celle de l'émancipation.
Il était contre.
Pénible.
joye
2018-04-03 13:06:30 UTC
Permalink
Post by Anansi
Post by joye
Post by Anansi
L'idée de liberté dans l'École des femmes, c'est celle de l'émancipation.
Il était contre.
Pénible.
Si vous croyez que ça, c'est pénible, ne lisez pas "Les Précieuses
ridicules" non plus.

Votre erreur était de parler de la liberté de la langue française.

Ça n'existe que pour les privilégiés (masculin oblige).
Anansi
2018-04-03 19:46:38 UTC
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Post by joye
Post by Anansi
Post by joye
Post by Anansi
L'idée de liberté dans l'École des femmes, c'est celle de l'émancipation.
Il était contre.
Pénible.
Si vous croyez que ça, c'est pénible, ne lisez pas "Les Précieuses
ridicules" non plus.
Non, c'est vous qui êtes pénible à écrire n'importe quoi.
joye
2018-04-03 21:18:36 UTC
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Post by Anansi
Post by joye
Post by Anansi
Post by joye
Post by Anansi
L'idée de liberté dans l'École des femmes, c'est celle de l'émancipation.
Il était contre.
Pénible.
Si vous croyez que ça, c'est pénible, ne lisez pas "Les Précieuses
ridicules" non plus.
Non, c'est vous qui êtes pénible à écrire n'importe quoi.
Allez plutôt étudier les textes de Julie Lespinasse, et surtout
Madeleine de Scudéry que Molière et d'autres comme lui avaient voulu
ridiculiser, et puis on en reparlera.

N'oubliez pas non plus pendant que vous y êtes d'examiner les critiques
littéraires des œuvres de celle-ci, tous écrits par des /hommes/, dont
certains qui les disaient "mauvaises" parce que leur auteure n'était pas
jolie.

Finalement, Anansi, si vous ne pouvez rien avancer à part juger vos
interlocuteurs sans pouvoir discuter concrètement, ayez l'obligeance
d'aller ailleurs pour voir si j'y suis.

Ya basta de vos arguments inexistants.
Anansi
2018-04-05 19:53:45 UTC
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Post by joye
Post by Anansi
Post by joye
Post by Anansi
Post by joye
Post by Anansi
L'idée de liberté dans l'École des femmes, c'est celle de l'émancipation.
Il était contre.
Pénible.
Si vous croyez que ça, c'est pénible, ne lisez pas "Les Précieuses
ridicules" non plus.
Non, c'est vous qui êtes pénible à écrire n'importe quoi.
Allez plutôt étudier les textes de Julie Lespinasse, et surtout
Madeleine de Scudéry que Molière et d'autres comme lui avaient voulu
ridiculiser, et puis on en reparlera.
N'oubliez pas non plus pendant que vous y êtes d'examiner les critiques
littéraires des œuvres de celle-ci, tous écrits par des /hommes/, dont
certains qui les disaient "mauvaises" parce que leur auteure n'était pas
jolie.
Finalement, Anansi, si vous ne pouvez rien avancer à part juger vos
interlocuteurs sans pouvoir discuter concrètement, ayez l'obligeance
d'aller ailleurs pour voir si j'y suis.
Ya basta de vos arguments inexistants.
Et des vôtres. Molière est contre l'émancipation dans l'École des
Femmes. D'où sortez vous ça ?
Molière a voulu ridiculiser Madeleine de Scudéry ? Vous n'avez pas lu la
préface à l'École des Femmes.
Molière (1622-1673) a voulu ridiculiser Julie de Lespinasse (1732-1776).
(Quel visionnaire !)

Si vous n'avez que votre opinion à apporter ici, vous pouvez la garder
pour vous.

Chico T
2018-03-31 11:46:44 UTC
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Post by Benoit
Post by BéCé
Pourtant vous vous arrêtez au fait que le français serait la langue de
Molière, nonobstant la mise entre guillemets de l'expression, mise entre
guillemets qui indique, dans le propos de Brighelli, que cette
expression n'est pas à prendre au pied de la lettre. Il prend d'ailleurs
soin de compléter son propos en ajoutant à Molière - et à Racine, et à
Corneille - "quelques centaines d'autres prodigieux écrivains.
Le français de cette époque n'a rien à voir avec celui d'aujourd'hui, ou
celui s'il y a juste un siècle. [...]
Mais si. Au fond, c'est la même langue. Le passé a ses propres
dialectes, mais on peut les comprendre (enfin, les plus récents), tout
comme les dialectes d'autres régions, d'autres pays. Les francophones
peuvent se comprendre sans émettre tous des formules standard. Quelques
mots ont changé, mais l'âme de la langue est à peu près la même, et
c'est cela qui compte.
Benoit
2018-03-31 12:30:01 UTC
Permalink
Post by Chico T
Mais si. Au fond, c'est la même langue. Le passé a ses propres
dialectes, mais on peut les comprendre (enfin, les plus récents),
Absolument, le vocabulaire n'a cessé d'évoluer avec un mélange de latin
populaire (vulgaire pour certains), du gaulois et toutes les autres
population qui sont venues s'installer dans notre cher pays.

Je trouve un élément drôle dans l'évolution du français. Nous avons
exporté notre language à travers l'Europe pendant quelques siècles. Et
les mots que nous importons aujourd'hui ont souvent une origine latine.
Comme nous n'y avons pas pensé, ce n'est pas bien de les utiliser.
Post by Chico T
tout comme les dialectes d'autres régions, d'autres pays. Les francophones
peuvent se comprendre sans émettre tous des formules standard. Quelques
mots ont changé, mais l'âme de la langue est à peu près la même, et c'est
cela qui compte.
Les dialectes disparaîssent petit à petit et les langues régionales
aussi.
--
Pense à l'étiquette qu'une fois les vendanges faites.
joye
2018-03-29 20:28:09 UTC
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Post by Anansi
Post by joye
Il veut qu'on enseigne la langue de Molière. Soit.
Mais n'est-ce pas comme enseigner la chimie tout en refusant de parler
des éléments découverts depuis le XVIIe siècle ?
NB : Pour ceux qui s'y intéressent, il n'y en avait que vingt-deux.
[*] pédagogisme : mot ignoré par Molière et qui est arrivé en français
vers 1974
Mauvaise comparaison, changez de comparaison.
L'article ne refuse à aucun moment l'apprentissage des mots apparus en
français depuis Molière.
Non ?

Hmm. Mais c'est vrai que je n'ai pas recopié la partie de l'article où
l'auteur parle, justement, de Molière.

Certes, on ne peut pas considérer tout un contexte lorsqu'on veut
accuser son interlocuteur de mauvaises comparaisons. Passons.

Bon, docte Anansi, comment interprétez-vous

- "Le français n’est pas la langue dans laquelle on demande à des élèves
ignorants de « s’exprimer »

- "le bon français !"

- "Refuser de l’enseigner comme il doit l’être, c’est encourager
les particularismes sociaux, raciaux, ou religieux."

- "On a choisi de le /détruire/ [mon emphase]
Anansi
2018-03-29 21:11:22 UTC
Permalink
Post by joye
Post by Anansi
Post by joye
Il veut qu'on enseigne la langue de Molière. Soit.
Mais n'est-ce pas comme enseigner la chimie tout en refusant de parler
des éléments découverts depuis le XVIIe siècle ?
NB : Pour ceux qui s'y intéressent, il n'y en avait que vingt-deux.
[*] pédagogisme : mot ignoré par Molière et qui est arrivé en français
vers 1974
Mauvaise comparaison, changez de comparaison.
L'article ne refuse à aucun moment l'apprentissage des mots apparus en
français depuis Molière.
Non ?
Hmm. Mais c'est vrai que je n'ai pas recopié la partie de l'article où
l'auteur parle, justement, de Molière.
Certes, on ne peut pas considérer tout un contexte lorsqu'on veut
accuser son interlocuteur de mauvaises comparaisons. Passons.
Bon, docte Anansi, comment interprétez-vous
- "Le français n’est pas la langue dans laquelle on demande à des élèves
ignorants de « s’exprimer ».
En lisant la phrase qui suit :
« Il est la langue qu’on doit leur enseigner — parce que l’École a
désormais la tâche de transmettre une langue qui souvent ne fut pas
maternelle. »
Post by joye
- "le bon français !"
En lisant la phrase en entier :
« Parce que le français — le bon français ! — est le ciment premier de
la France. Refuser de l’enseigner comme il doit l’être, c’est encourager
les particularismes sociaux, raciaux, ou religieux. Le français est le
creuset dans lequel furent fondus, depuis la IIIe République, tous les
provinciaux et tous les immigrés de toutes origines. »
Post by joye
- "Refuser de l’enseigner comme il doit l’être, c’est encourager
les particularismes sociaux, raciaux, ou religieux."
Vous ne pouvez pas comprendre, c'est étranger à votre culture.
Post by joye
- "On a choisi de le /détruire/ [mon emphase]
Il vient de l'expliquer dans le texte qui précède.
Pourquoi extrayez-vous artificiellement des bouts de phrases ?
Est-ce une technique ?
Dans quel but ?

Tout ce que vous montrez c'est que vous ne comprenez pas le sens
d'ensemble du texte, avec lequel on peut être en désaccord, mais qui est
cohérent et ne dit pas ce que vous prétendiez lui faire dire dans votre
intervention initiale.
joye
2018-03-29 22:47:51 UTC
Permalink
Post by Anansi
Post by joye
Bon, docte Anansi, comment interprétez-vous
- "Le français n’est pas la langue dans laquelle on demande à des élèves
ignorants de « s’exprimer ».
« Il est la langue qu’on doit leur enseigner — parce que l’École a
désormais la tâche de transmettre une langue qui souvent ne fut pas
maternelle. »
Toute personne sur la planète est ignorante de quelque chose. Par
exemple, si le français n'est pas la langue dans laquelle on leur
demande de « s'exprimer ».

C'est horrible, ça. Quelle haine pour les apprentis ! Franchement
dégoûtant de lire cela sous la plume de quelqu'un qui se croit enseignant.
Post by Anansi
Post by joye
- "le bon français !"
« Parce que le français — le bon français ! — est le ciment premier de
la France.
Cela n'explique pas ce que c'est que "le bon français !". Ne le
savez-vous pas non plus ?
Post by Anansi
Refuser de l’enseigner comme il doit l’être, c’est encourager
les particularismes sociaux, raciaux, ou religieux. Le français est le
creuset dans lequel furent fondus, depuis la IIIe République, tous les
provinciaux et tous les immigrés de toutes origines. »
Bien. Il veut qu'on parle le français de 1870. Chouettos. Euh, je veux
dire...

...Souffrez donc que je sois un peu fier[e] de ma pénétration et que je
me félicite d’avoir pressenti un talent d’un ordre aussi élevé...

Euh.
Post by Anansi
Post by joye
- "Refuser de l’enseigner comme il doit l’être, c’est encourager
les particularismes sociaux, raciaux, ou religieux."
Vous ne pouvez pas comprendre, c'est étranger à votre culture.
C'est vous qui ne comprenez pas que vous ne vivez plus en 1870. Ni en 1940.
Post by Anansi
Post by joye
- "On a choisi de le /détruire/ [mon emphase]
Il vient de l'expliquer dans le texte qui précède.
Pourquoi extrayez-vous artificiellement des bouts de phrases ?
Parce que le mépris vénimeux envers les élèves qui suintent de ses mots
me fait hurler de rage. C'est le même mépris qu'on peut lire tous les
jours chez certains participants ici, et avec beaucoup moins de
qualifications que notre « héros ».
Post by Anansi
Est-ce une technique ?
Dans quel but ?
Hmm, hmm, ce forum n'est pas pour discuter ? Ah oui, j'ai oublié, c'est
pour voir qui peut relever toutes les coquilles et pisser le plus loin
en même temps. Yep.
Post by Anansi
Tout ce que vous montrez c'est que vous ne comprenez pas le sens
d'ensemble du texte, avec lequel on peut être en désaccord, mais qui est
cohérent et ne dit pas ce que vous prétendiez lui faire dire dans votre
intervention initiale.
Non ? Vous vous trompez.

J'ai recopié ses mots. C'est une des fonctions d'une langue :
interpréter le sens d'un énoncé.

Désolée que vous n'ayez pas appris cela à l'école, cher ignorant.
Anansi
2018-03-30 21:40:35 UTC
Permalink
Post by joye
Post by Anansi
Post by joye
Bon, docte Anansi, comment interprétez-vous
- "Le français n’est pas la langue dans laquelle on demande à des élèves
ignorants de « s’exprimer ».
« Il est la langue qu’on doit leur enseigner — parce que l’École a
désormais la tâche de transmettre une langue qui souvent ne fut pas
maternelle. »
Toute personne sur la planète est ignorante de quelque chose. Par
exemple, si le français n'est pas la langue dans laquelle on leur
demande de « s'exprimer ».
Je ne sais pas qui est ce « on » qui leur demande de « s'exprimer » dans
une autre langue que le français et ce n'est pas le problème évoqué par
l'auteur de l'article.
Ce qu'il écrit, c'est qu'en classe, le sachant en français est le
professeur, pas l'élève.
Post by joye
C'est horrible, ça. Quelle haine pour les apprentis ! Franchement
dégoûtant de lire cela sous la plume de quelqu'un qui se croit enseignant.
D'où sortez-vous cette idée de haine ?
Qui connait le mieux le français, le professeur ou l'élève ?
Qui enseigne, le professeur ou l'élève ?
C'est ça qu'il écrit. Aucune haine, une définition des rôles.
Post by joye
Post by Anansi
Post by joye
- "le bon français !"
« Parce que le français — le bon français ! — est le ciment premier de
la France.
Cela n'explique pas ce que c'est que "le bon français !". Ne le
savez-vous pas non plus ?
Il l'a défini plus haut, celui des bons écrivains.
Post by joye
Post by Anansi
Refuser de l’enseigner comme il doit l’être, c’est encourager
les particularismes sociaux, raciaux, ou religieux. Le français est le
creuset dans lequel furent fondus, depuis la IIIe République, tous les
provinciaux et tous les immigrés de toutes origines. »
Bien. Il veut qu'on parle le français de 1870. Chouettos. Euh, je veux
dire...
Comment pouvez-vous tirer ça de cette phrase ?
Il ne demande à aucun moment qu'on parle le français de 1870, il exprime
son idée sur un mécanisme d'intégration politique.
Post by joye
....Souffrez donc que je sois un peu fier[e] de ma pénétration et que je
me félicite d’avoir pressenti un talent d’un ordre aussi élevé...
Euh.
Votre pénétration est nulle, vous inventez un sens qui n'existe pas.
Post by joye
Post by Anansi
Post by joye
- "Refuser de l’enseigner comme il doit l’être, c’est encourager
les particularismes sociaux, raciaux, ou religieux."
Vous ne pouvez pas comprendre, c'est étranger à votre culture.
C'est vous qui ne comprenez pas que vous ne vivez plus en 1870. Ni en 1940.
Lui non plus et il ne demande pas d'y vivre. Pourquoi inventez-vous ?
Post by joye
Post by Anansi
Post by joye
- "On a choisi de le /détruire/ [mon emphase]
Il vient de l'expliquer dans le texte qui précède.
Pourquoi extrayez-vous artificiellement des bouts de phrases ?
Parce que le mépris vénimeux envers les élèves qui suintent de ses mots
me fait hurler de rage. C'est le même mépris qu'on peut lire tous les
jours chez certains participants ici, et avec beaucoup moins de
qualifications que notre « héros ».
Vous inventez ce mépris, c'est vous qui le projetez.
Post by joye
Post by Anansi
Est-ce une technique ?
Dans quel but ?
Hmm, hmm, ce forum n'est pas pour discuter ? Ah oui, j'ai oublié, c'est
pour voir qui peut relever toutes les coquilles et pisser le plus loin
en même temps. Yep.
Ça, c'est du mépris pour une discussion sur des idées.
Post by joye
Post by Anansi
Tout ce que vous montrez c'est que vous ne comprenez pas le sens
d'ensemble du texte, avec lequel on peut être en désaccord, mais qui est
cohérent et ne dit pas ce que vous prétendiez lui faire dire dans votre
intervention initiale.
Non ? Vous vous trompez.
interpréter le sens d'un énoncé.
Vous n'interprétez pas. Vous copiez une phrase et vous lui inventez un
sens, comme parler la langue du 17e siècle ou celle de 1870 ou mépriser
les enfants.
Post by joye
Désolée que vous n'ayez pas appris cela à l'école, cher ignorant.
Et ça, c'est une manipulation.
Chico T
2018-03-29 18:42:59 UTC
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Il veut qu'on enseigne la langue de Molière. Soit. [...]
Mais n'est-ce pas comme enseigner la chimie tout en refusant de parler
des éléments découverts depuis le XVIIe siècle ?
NB : Pour ceux qui s'y intéressent, il n'y en avait que vingt-deux.
[*]  pédagogisme : mot ignoré par Molière et qui est arrivé en français
vers 1974
Tu n'as pas compris, comme d'hab :

« Le français est "la langue de Molière" - et de Racine, et de
Corneille, et de quelques autres, quelques centaines d'autres prodigieux
écrivains qui ont fait de notre langue ce qu'elle est.... »

C'est enfin vrai, ce qu'il dit. Inutile d'avoir de la diversité dans un
pays, d'avoir toute une gamme d'idées, de façons de faire, si l'on ne
peut pas les saisir, faute d'une langue commune. Un pays, une langue.

Pour la France, la question est réglée. Reste à voir ce que sera la
langue commune de l'UE si elle devient un super-état. :-)
Chico T
2018-03-29 18:46:10 UTC
Permalink
Post by Chico T
C'est enfin vrai, ce qu'il dit. Inutile d'avoir de la diversité dans un
pays, d'avoir toute une gamme d'idées, de façons de faire, si l'on ne
peut pas les saisir, faute d'une langue commune. Un pays, une langue.
Pour la France, la question est réglée.
... provisoirement, car il...
Post by Chico T
Reste à voir ce que sera la
langue commune de l'UE si elle devient un super-état.    :-)
Geo
2018-04-02 18:04:56 UTC
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Bonjour
Post by Chico T
Un pays, une langue.
Heu la Belgique, la Suisse, les USA ?
Pour ne prendre que ceux-là ?
Chico T
2018-04-03 06:34:13 UTC
Permalink
Post by Geo
Bonjour
[C'est enfin vrai, ce qu'il dit. Inutile d'avoir de la diversité dans un pays, d'avoir toute une gamme d'idées, de façons de faire, si l'on ne peut pas les saisir, faute d'une langue commune.] Un pays, une langue.
Heu la Belgique, la Suisse, les USA ?
Pour ne prendre que ceux-là ?
Ah oui, la Belgique, la Suisse, et les USA.

CQFD. :-)
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