Post by StéphanePost by Cardinal de HèrePost by StéphanePost by Cardinal de HèreIl est peut-être temps de commencer à se montrer très méchant envers
les politicards corrompus.
Je pense que les gents dont je fais partis, nous somme prisonnier d'un
crédit et donc dépendant d'un travail pour le rembourser. Ça ne
bougera pas tant que le système économique offrira des déboucher
économiques même maire aux citoyens. Et puis quand on regarde jusqu'à
quelle point les Hommes sont capable d'endurer la misère alors on se
dit qu'il y a pire ailleurs et on se contente des distractions
télévisuelles puis on ferme les yeux. Le socialisme a échoué parce
qu'il s'est auto proclamé comme substitut matérialiste de la foi et de
l'espérance sans considérer l'individu avec son besoin de liberté
d'entreprendre sa vie.
Tu pratiques une sorte d'auto-contradiction qui ressemble presque au
double bind. D'un côté tu dis qu'il est impossible d'entreprendre quoi
que ce soit au niveau individuel comme collectif pour lutter contre des
injustices et des crapuleries politicardes (ce que pourtant les humbles
zadistes parviennent fort bien à faire), de l'autre tu condamnes ce qui
constitue un frein à la liberté d'entreprendre. Si les personnes dans
ton genre sont nombreuses je comprends alors mieux la raison de la
victoire de Macron qui a bâti son succès sur la mise en scène de la
double contrainte contradictoire.
Je constate que la réalité est fracturée au sens fractale du terme.
C'est à dire qu'au sein même de ce qui semble linéaire et confortable
peut advenir un incident imprévu. Ce que je reproche d'un point de vu
social à la gauche radicale c'est de promettre une réalité qui ne serait
qu'ennui et répressive pour les gents créatifs et poussant à la
résignation pour les autres.
Ce que l'on apelle "gauche radicale" est tellement minoritaire qu'il
n'est pas besoin de s'étendre à son sujet. SI elle propose des projets
alternatifs, sans conséquence ni effet mobilisateur, elle sait aussi
très bien se compremettre et ne pas faire obstacle à la "bonne marche"
de l'économie.
Post by StéphaneEn même temps la droite ne propose qu'un
rapport soumis à l'autorité exploiteuse de quelques-uns et aussi
résignation pour les moins préparés.
Oui il n'y a rien à espérer ce ce côté, mais ces gens se présentent sous
deux casquettes, les "de droite" et les "de gauche", la différence pour
la population étant tout sauf fondamentale
Post by StéphaneEn France nous somme prisonnier de
ces deux enclumes idéologiques qui doivent converger silencieusement,
j'en mettrais ma main au feu. J'aimerais pouvoir entreprendre et pouvoir
repartir si je me plante sans devoir perdre logement et dignité. Des
incident imprévu il y en aura toujours l'important c'est de pouvoir
repartir d'un échec. En France le système administratif et fiscal est
discriminant. Quoi de mieux que de vivre de son travail ? Si c'est vers
là que Macron souhaite réformer les consciences alors bravo à lui. Si
non c'est encore un quinquennat pour rien et les empsychoteurs de tous
poils seront toujours rois.
Macron n'a aucune démarche critique devant la machine à exploiter qu'est
le capitalisme, n'espérez rien de lui qu'un quinquenat de plus après
celui de Hollande et celui de Sarkozy, ces gens vivent dans la même
bulle, ils ont le même objectif, donner à l'exploitation capitaliste les
meilleurs conditions, il n'y a rien à en attendre.
Post by StéphaneToutes les partis en position de pouvoir
doivent faire un examen de conscience sur ce qu'est la liberté et le
travail- La droite avec ses lubies esclavagiste, colonialistes et
autoritaire made in usa, la gauche qui à de l'humanisme plein la bouche
pour les autres mais qui se garde bien de vivre dans les milieux populaires.
Aucun de ces partis ne fera un tel travail, c'est de l'extérieur que
pourra survenir un changement, suite à quelque mobilisation
d'importance, qu'ils tenteront de prendre en main évidemment, mais
n'attendez rien d'eux à part faire perdurer l'ordre qui nous est imposé
depuis très très longtemps.
Post by StéphanePost by Cardinal de HèreLes véritables entrepreneurs se lancent à corps perdu dans des aventures
à l'issue imprévisible. Certains perdent la vie au milieu de la
Méditerranée, d'autres sont descendus par des gangs rivaux ou par la
police ou encore finissent brisés, vaincus, misérables.
Mais parfois ils
sont vainqueurs de manière individuelle comme le milliardaire parti de
rien ou collective comme les zadistes à NDDL ou les grévistes en 1936.
Il est certain qu'avec la mort aux trousses chacun trouve en lui des
ressources insoupçonnées. Le mieux serait que les politiciens gèrent la
cité de manière à ce que ces situations extrêmes ne puissent voir le jour.
Ce n'est pas leur problème, si ces situations leur permettent de
rebondir, de faire avancer leurs projets, ils en profitent et laissent à
la population souffrances et dégâts.
Rien ne viendra d'eux, inutile de le leur demander, c'est en dehors
d'eux et très probablement, inévitablement vu leur histoire, contre eux
qu'un changement se fera, si nous nous y mettons !
Alain