Gilles Jean
2017-03-19 12:32:08 UTC
http://www.journaldemontreal.com/2017/02/27/pendant-ce-temps-en-angleterre
http://www.lefigaro.fr/international/2017/02/24/01003-20170224ARTFIG00082-birmingham-a-l-heure-islamiste.php
"Dans les quartiers populaires de la deuxième ville d'Angleterre, le mode de vie communautariste des islamistes tend à s'imposer et menace de faire éclater une société victime de son utopie multiculturaliste.
Musique interdite
au pays des Beatles et du punk: Aïssa, qui porte une tunique noire, un niqab et des lunettes fumées pour cacher ses yeux («ce voile est un commandement de Dieu et me préserve du regard des hommes»), enseigne à l’école publique.
Dans le quartier de Small Heath, on trouve deux écoles privées pour enfants de 6 à 16 ans. L’enseignement de la musique et du dessin (deux arts dont la pratique est considérée comme un péché) y est strictement interdit.
Sur la rue principale, la majorité des femmes portent le voile intégral, les librairies ne vendent que des livres religieux, les restaurants pratiquent tous la ségrégation des sexes (les femmes et les enfants mangent dans une section cachée par un voile aux regards masculins) et les boutiques sont fermées pendant les heures de prière.
Quant aux pubs anglais traditionnels qui avaient pignon sur rue sur cette artère hyper fréquentée, ils sont tous fermés et placardés.
Extrait du reportage du Figaro: «À Birmingham, certaines écoles publiques organisent pour leurs élèves des visites au sein de différents lieux de culte comme les mosquées, où les imams inculquent les rudiments de la prière et quelques sourates à tous les écoliers, fussent-ils de confession chrétienne.»
DES DISCUSSIONS INUTILES
En Angleterre, la charia est tolérée. Une centaine de tribunaux islamiques sont répertoriés dans le pays. Ces tribunaux parallèles qui placent la loi d’Allah au-dessus de la loi du pays statuent sur des affaires courantes
http://www.lefigaro.fr/international/2017/02/24/01003-20170224ARTFIG00082-birmingham-a-l-heure-islamiste.php
"Dans les quartiers populaires de la deuxième ville d'Angleterre, le mode de vie communautariste des islamistes tend à s'imposer et menace de faire éclater une société victime de son utopie multiculturaliste.
Musique interdite
au pays des Beatles et du punk: Aïssa, qui porte une tunique noire, un niqab et des lunettes fumées pour cacher ses yeux («ce voile est un commandement de Dieu et me préserve du regard des hommes»), enseigne à l’école publique.
Dans le quartier de Small Heath, on trouve deux écoles privées pour enfants de 6 à 16 ans. L’enseignement de la musique et du dessin (deux arts dont la pratique est considérée comme un péché) y est strictement interdit.
Sur la rue principale, la majorité des femmes portent le voile intégral, les librairies ne vendent que des livres religieux, les restaurants pratiquent tous la ségrégation des sexes (les femmes et les enfants mangent dans une section cachée par un voile aux regards masculins) et les boutiques sont fermées pendant les heures de prière.
Quant aux pubs anglais traditionnels qui avaient pignon sur rue sur cette artère hyper fréquentée, ils sont tous fermés et placardés.
Extrait du reportage du Figaro: «À Birmingham, certaines écoles publiques organisent pour leurs élèves des visites au sein de différents lieux de culte comme les mosquées, où les imams inculquent les rudiments de la prière et quelques sourates à tous les écoliers, fussent-ils de confession chrétienne.»
DES DISCUSSIONS INUTILES
En Angleterre, la charia est tolérée. Une centaine de tribunaux islamiques sont répertoriés dans le pays. Ces tribunaux parallèles qui placent la loi d’Allah au-dessus de la loi du pays statuent sur des affaires courantes