Cardinal de Hère
2018-02-27 12:17:10 UTC
La mondialisation heureuse chère à Attali c'est bon pour les Goyim, pas
pour les juifs qui en Israël rackettent, persécutent et menacent
d'expropriation les églises chrétiennes.
<http://www.terrasanta.net/tsx/lang/fr/p10631/Fermeture-du-Saint-Spulcre-pour-protester-contre-Isral>
Fermeture du Saint-Sépulcre pour protester contre Israël
Les Eglises font procéder à la fermeture les portes de la basilique du
Saint-Sépulcre en signe de protestation contre Israël s’estimant
stigmatisées dans l’Etat hébreu comme les juifs autrefois en Europe.
(Jérusalem) - Le Saint-Sépulcre n’accueillera plus de pèlerins jusqu’à
nouvel ordre. Les chefs des Eglises en charge du Statu quo, à l’issue de
la lecture d’une communiqué commun, ont fait procéder à sa fermeture,
dans un geste sans précédent, en signe de protestation contre Israël.
Le patriarche grec orthodoxe Theophilos, le Custode de Terre Sainte,
frère Francesco Patton, un représentant du patriarche arménien
apostolique, Nourhan Manougian - tous trois en charge du Statu quo -
avaient fait le déplacement. C’est debout ensemble devant la basilique
du Saint-Sépulcre portes closes qu’ils ont rendu publique une nouvelle
déclaration commune sur les menaces dont les Eglises font l’objet à
Jérusalem.
Dans ce texte solennel, d’une seule voix les Eglises parlent de leur «
grande préoccupation » devant la « campagne systématique et agressive»
qui « vise à affaiblir la présence chrétienne à Jérusalem ». Pointant la
décision de la municipalité de la ville sainte à contraindre les Eglises
à payer des taxes « en violation flagrante du Statu Quo existant », la
déclaration vise aussi le «projet de loi sur les terres des Églises» en
cours d’examen le jour même à la Knesset.
Un projet que les Eglises qualifient de « loi discriminatoire et raciste
qui vise uniquement les propriétés de la communauté chrétienne en Terre
Sainte ». De fait, cette loi « rendrait possible l'expropriation des
terres des Églises » comme le souligne la déclaration qui ajoute : «
Cela nous rappelle toutes les lois de même nature qui ont été adoptées
contre les Juifs pendant les périodes sombres en Europe. »
Le ton monte du côté des Eglises tandis que leur premier communiqué du
14 février est resté sans effets, mais qu’au contraire en signe de
rétorsion à leur contestation, le maire de Jérusalem Nir Barkat a fait
geler plusieurs comptes en banque des Eglises, les empêchant de facto de
poursuivre leurs missions dans la ville, de l’accueil des pèlerins aux
fonctionnements de leurs écoles. « Ces actions violent les accords
existants et les obligations internationales qui garantissent les droits
et les privilèges des Eglises, dans ce qui semble être une tentative
d'affaiblir la présence chrétienne à Jérusalem » affirment cette fois-ci
les Eglises. Mais la référence au sort réservé aux juifs en Europe au
XXe siècle et le geste de la fermeture des portes du Saint-Sépulcre sont
un moyen très sûr de porter le dossier à la connaissance de la
communauté internationale. « Ensemble avec tous les chefs d'Eglises de
Terre Sainte, nous sommes unis, fermes et résolus à protéger nos droits
et nos biens. » concluaient le communiqué.
Sous les yeux ahuris des pèlerins et touristes du jour, les portes de la
basilique ont donc été fermées. Tandis que l’Etat hébreu se réjouissait
d’avoir franchi cette année la barre des 3,5 millions de touristes, les
Eglises lui rappellent qu’à défaut de payer les taxes dont elles sont
exemptées depuis des siècles, elles pèsent lourd en faveur de l’économie
israélienne puisque plus de la moitié de ces pèlerins sont chrétiens.
Ces arguments suffiront-ils à convaincre ?
pour les juifs qui en Israël rackettent, persécutent et menacent
d'expropriation les églises chrétiennes.
<http://www.terrasanta.net/tsx/lang/fr/p10631/Fermeture-du-Saint-Spulcre-pour-protester-contre-Isral>
Fermeture du Saint-Sépulcre pour protester contre Israël
Les Eglises font procéder à la fermeture les portes de la basilique du
Saint-Sépulcre en signe de protestation contre Israël s’estimant
stigmatisées dans l’Etat hébreu comme les juifs autrefois en Europe.
(Jérusalem) - Le Saint-Sépulcre n’accueillera plus de pèlerins jusqu’à
nouvel ordre. Les chefs des Eglises en charge du Statu quo, à l’issue de
la lecture d’une communiqué commun, ont fait procéder à sa fermeture,
dans un geste sans précédent, en signe de protestation contre Israël.
Le patriarche grec orthodoxe Theophilos, le Custode de Terre Sainte,
frère Francesco Patton, un représentant du patriarche arménien
apostolique, Nourhan Manougian - tous trois en charge du Statu quo -
avaient fait le déplacement. C’est debout ensemble devant la basilique
du Saint-Sépulcre portes closes qu’ils ont rendu publique une nouvelle
déclaration commune sur les menaces dont les Eglises font l’objet à
Jérusalem.
Dans ce texte solennel, d’une seule voix les Eglises parlent de leur «
grande préoccupation » devant la « campagne systématique et agressive»
qui « vise à affaiblir la présence chrétienne à Jérusalem ». Pointant la
décision de la municipalité de la ville sainte à contraindre les Eglises
à payer des taxes « en violation flagrante du Statu Quo existant », la
déclaration vise aussi le «projet de loi sur les terres des Églises» en
cours d’examen le jour même à la Knesset.
Un projet que les Eglises qualifient de « loi discriminatoire et raciste
qui vise uniquement les propriétés de la communauté chrétienne en Terre
Sainte ». De fait, cette loi « rendrait possible l'expropriation des
terres des Églises » comme le souligne la déclaration qui ajoute : «
Cela nous rappelle toutes les lois de même nature qui ont été adoptées
contre les Juifs pendant les périodes sombres en Europe. »
Le ton monte du côté des Eglises tandis que leur premier communiqué du
14 février est resté sans effets, mais qu’au contraire en signe de
rétorsion à leur contestation, le maire de Jérusalem Nir Barkat a fait
geler plusieurs comptes en banque des Eglises, les empêchant de facto de
poursuivre leurs missions dans la ville, de l’accueil des pèlerins aux
fonctionnements de leurs écoles. « Ces actions violent les accords
existants et les obligations internationales qui garantissent les droits
et les privilèges des Eglises, dans ce qui semble être une tentative
d'affaiblir la présence chrétienne à Jérusalem » affirment cette fois-ci
les Eglises. Mais la référence au sort réservé aux juifs en Europe au
XXe siècle et le geste de la fermeture des portes du Saint-Sépulcre sont
un moyen très sûr de porter le dossier à la connaissance de la
communauté internationale. « Ensemble avec tous les chefs d'Eglises de
Terre Sainte, nous sommes unis, fermes et résolus à protéger nos droits
et nos biens. » concluaient le communiqué.
Sous les yeux ahuris des pèlerins et touristes du jour, les portes de la
basilique ont donc été fermées. Tandis que l’Etat hébreu se réjouissait
d’avoir franchi cette année la barre des 3,5 millions de touristes, les
Eglises lui rappellent qu’à défaut de payer les taxes dont elles sont
exemptées depuis des siècles, elles pèsent lourd en faveur de l’économie
israélienne puisque plus de la moitié de ces pèlerins sont chrétiens.
Ces arguments suffiront-ils à convaincre ?