Cardinal de Hère
2018-01-05 07:25:58 UTC
Dernière pierre sur le caveau des illusions que certains entretenaient
encore sur Bergogliostro : sa réputation d'ami et de partisan des
pauvres part en lambeau depuis que l'on sait "qu'il a nommé à la
présidence de la Commission catholique internationale pour les
Migrations et qu’il a fait conseiller de l’Administration du Patrimoine
du Siège Apostolique, une personnalité de l’establishment mondialiste,
lui-aussi «philanthrope humanitariste de l’abolition des frontières» et
«banquier d’affaires» : Peter Sutherland". Irlandais, juif, sioniste,
mondialiste, européiste, ancien commissaire européen, ancien du GATT et
de l'OMC, ancien de Goldman-Sachs, membre de la Trilatérale et de
Bilderberg, Peter Sutherland est le prototype de la voyoucratie libérale
et mondialiste adulée par la canaille partisane de l'Europe fédérale,
autrement dit par les plus crétins des électeurs de sidi al-Makrrroune.
Le Vatican est désormais dirigé par Satan lui-même.
<http://www.medias-presse.info/le-conseiller-immigration-du-pape-francois-un-bilderberg-banquier-daffaire-de-goldman-sachs/85711/>
Le conseiller « immigration » du pape François : un Bilderberg, banquier
d’affaire de Goldman Sachs !
Les médias du système le dépeignent comme le pape des pauvres, nouveau
François des temps modernes ! Et si cette image idyllique n’était que du
vent, une illusion pour mieux tromper les fidèles et les faire avancer
vers une société globale sans nations souveraines ?
« Nous savons désormais depuis des années, écrit le journaliste
catholique italien Maurizio Blondet sur son blog, que la position du
pape François est parfaitement alignée sur le front de l’universalisme
globaliste qui préconise la dissolution des nations et des cultures
autochtones pour « accueillir et intégrer » les migrants du monde entier
dans le but de construire un « nouveau monde » multi-culturel sans
barrières et sans frontières. »
Son dernier message immigrationniste de la nuit de Noël et ses vœux pour
2018 en font une une figure de proue et une « autorité suprême » de
l’idéologie mondialiste. Au point que Blondet se demande :
« si les discours du pape argentin ne sont pas écrits par Georges Soros,
le multi-milliardaire qui finance l’invasion de l’Europe et travaille à
l’abolition des États et des confins. Qu’il en soit conscient ou pas, le
pape Bergoglio, continue le journaliste, s’est mis au service des
intérêts du grand capital financier qui œuvre pour les mêmes objectifs :
un nouvel ordre mondial multi-culturel et globalisé où les entités
supra-nationales auront la gestion du pouvoir. »
Le pape François se retrouve donc du côté de certains puissants et
riches… qui sont bien loin des pauvres. Voisinage qui n’est pas
qu’idéologique mais aussi pratique puisque il a nommé, en février
dernier, révèle toujours Blondet, à la présidence de la Commission
catholique internationale pour les Migrations et qu’il a fait conseiller
de l’Administration du Patrimoine du Siège Apostolique, une personnalité
de l’establishment mondialiste, lui-aussi « philanthrope humanitariste
de l’abolition des frontières » et « banquier d’affaires » : Peter
Sutherland.
Irlandais, juif de mère, sioniste, ancien élève des jésuites, cet homme
d’influence, « aux poches richement remplies », fut président de Goldman
Sachs International (2005-2015) et du groupe Bilderberg dont il est
toujours un membre actif du comité directeur, de BP (British Petroleum)
et de la section Europe de la Commission Trilatérale. Technocrate
bruxellois, agent de la globalisation, il a été notamment commissaire
européen à la concurrence (1985-1989), secrétaire-général fondateur de
l’Organisation Mondiale du Commerce (OMC) (1993-1995). Artisan des
grandes libéralisations de l’Union Européenne, il a été qualifié de «
père de la mondialisation ». Actuellement directeur non exécutif de la
Royal Bank of Scotland et président non exécutif de Goldman Sachs,
depuis janvier 2006 il est le représentant spécial du Secrétaire-Général
de l’ONU pour les migrations internationales. Il est aussi président
honoraire de la Commission Trilatérale et président de la London School
of Economics, fondée par la Fabian Society tout en étant chevalier de
l’Ordre de Malte et membre de l’Opus Dei… Des connexions qui en disent
long sur les dérives de ces groupes ecclésiaux…
Lorsque le pape jésuite l’a intronisé président de la Commission
catholique internationale pour les Migrations, il n’a évidemment
abandonné aucune de ses charges.
Peter Sutherland, analyse Blondet
« c’est le globaliste total et absolu, avec des attaches dans toutes les
entités supra-nationales, peut-être la plus influente éminence grise de
la mondialisation et du déracinement capitaliste dans l’intérêt de la
finance transnationale. »
Il est vrai que Sutherland se déclara être en faveur « du développement
de sociétés multiculturelles », le problème étant selon lui les
populations qui cultivent « encore le sens de l’homogénéité et de
différence d’avec les autres. Et c’est précisément cela que l’Union
Européenne», à son avis, « doit tout faire pour éradiquer. Au nom de la
future prospérité. […] C’est une dynamique cruciale pour la croissance
économique. »
Cet artisan de la société multi-culturelle affirma de même que « l’on
est passé des États qui choisissent leur migrants, aux migrants qui
choisissent les États ». Par conséquent avait-t-il ajouté, l’UE ne doit
plus sélectionner seulement des migrants « hautement qualifiés » parce
que « à la base de tout, les individus doivent avoir la liberté de choix ».
Ainsi commente Maurizio Blondet
« c’est exactement l’idéologie de François, confusion et contradiction
comprises. Mais l’on voit bien que l’inspiration vient du capitalisme
mondialiste financier ; pour lequel les « homogénéités », c’est-à-dire
les identités historiques et culturelles qui font les peuples variés et
différents, sont un obstacle et un problème, une odieuse exigence, parce
que le consommateur global type doit être littéralement « sans identité
», sans communauté, « ouvert » aux « expériences », cosmopolite, nomade,
sans « tabous », sans « préjudices » (et sans scrupules), de sexe
variable. »
Dans cette exhortation de Sutherland il y a, précise le journaliste
italien :
« un « mépris » pour la culture qui fait les peuples. Mépris que partage
le pape François lorsqu’il affirme que « les Européens ne sont pas une
race née ici, ils ont des racines de migrants », évoquant une condition
antérieure à la civilisation et à la culture. »
Tant pour le pape François que pour Sutherland, commente Blondet :
« l’homogénéité culturelle est un fastidieux lien qui résiste à
l’intégration sans limites, un manque de charité envers l’accueil ».
Dans la confusion éthique que le même Bergoglio a dispersée à pleines
mains, « l’homogénéité nationale d’un peuple est comparée à un mal
moral, et ce sera un mal de la sauvegarder ».
Et c’est à ce riche banquier d’affaires, cet homme du Bildeberg, ce
membre influent des cercles mondialistes et capitalistes destructeurs
des nations et des peuples, des identités et des cultures, que El papa
sud-américain a confié, par idéologie immigrationniste et immigrophile,
la Commission Catholique pour les Migrations !
On est loin du vrai amour des pauvres… Car ce qui appartient en propre à
tous, aux pauvres comme aux riches, aux malades comme aux bien-portants,
aux prisonniers comme aux travailleurs, c’est l’affiliation à une patrie
et à une identité, c’est l’adhésion à une culture et à une civilisation,
c’est la possession d‘une langue et d’une éducation… Et quand les
pauvres n’ont plus rien, ils possèdent toujours cet héritage immatériel
et intemporel, ce patrimoine spirituel, artistique, intellectuel et
moral, qui a fait grandes les nations d’Europe…
Et c’est de cette richesse civilisationnelle transcendante, supérieure à
tous les biens de consommation qu’ils peuvent rêver d’avoir, que les
pauvres sont privés par les idéologues du multi-culturalisme et du «
vivre-ensemble » !
Francesca de Villasmundo
encore sur Bergogliostro : sa réputation d'ami et de partisan des
pauvres part en lambeau depuis que l'on sait "qu'il a nommé à la
présidence de la Commission catholique internationale pour les
Migrations et qu’il a fait conseiller de l’Administration du Patrimoine
du Siège Apostolique, une personnalité de l’establishment mondialiste,
lui-aussi «philanthrope humanitariste de l’abolition des frontières» et
«banquier d’affaires» : Peter Sutherland". Irlandais, juif, sioniste,
mondialiste, européiste, ancien commissaire européen, ancien du GATT et
de l'OMC, ancien de Goldman-Sachs, membre de la Trilatérale et de
Bilderberg, Peter Sutherland est le prototype de la voyoucratie libérale
et mondialiste adulée par la canaille partisane de l'Europe fédérale,
autrement dit par les plus crétins des électeurs de sidi al-Makrrroune.
Le Vatican est désormais dirigé par Satan lui-même.
<http://www.medias-presse.info/le-conseiller-immigration-du-pape-francois-un-bilderberg-banquier-daffaire-de-goldman-sachs/85711/>
Le conseiller « immigration » du pape François : un Bilderberg, banquier
d’affaire de Goldman Sachs !
Les médias du système le dépeignent comme le pape des pauvres, nouveau
François des temps modernes ! Et si cette image idyllique n’était que du
vent, une illusion pour mieux tromper les fidèles et les faire avancer
vers une société globale sans nations souveraines ?
« Nous savons désormais depuis des années, écrit le journaliste
catholique italien Maurizio Blondet sur son blog, que la position du
pape François est parfaitement alignée sur le front de l’universalisme
globaliste qui préconise la dissolution des nations et des cultures
autochtones pour « accueillir et intégrer » les migrants du monde entier
dans le but de construire un « nouveau monde » multi-culturel sans
barrières et sans frontières. »
Son dernier message immigrationniste de la nuit de Noël et ses vœux pour
2018 en font une une figure de proue et une « autorité suprême » de
l’idéologie mondialiste. Au point que Blondet se demande :
« si les discours du pape argentin ne sont pas écrits par Georges Soros,
le multi-milliardaire qui finance l’invasion de l’Europe et travaille à
l’abolition des États et des confins. Qu’il en soit conscient ou pas, le
pape Bergoglio, continue le journaliste, s’est mis au service des
intérêts du grand capital financier qui œuvre pour les mêmes objectifs :
un nouvel ordre mondial multi-culturel et globalisé où les entités
supra-nationales auront la gestion du pouvoir. »
Le pape François se retrouve donc du côté de certains puissants et
riches… qui sont bien loin des pauvres. Voisinage qui n’est pas
qu’idéologique mais aussi pratique puisque il a nommé, en février
dernier, révèle toujours Blondet, à la présidence de la Commission
catholique internationale pour les Migrations et qu’il a fait conseiller
de l’Administration du Patrimoine du Siège Apostolique, une personnalité
de l’establishment mondialiste, lui-aussi « philanthrope humanitariste
de l’abolition des frontières » et « banquier d’affaires » : Peter
Sutherland.
Irlandais, juif de mère, sioniste, ancien élève des jésuites, cet homme
d’influence, « aux poches richement remplies », fut président de Goldman
Sachs International (2005-2015) et du groupe Bilderberg dont il est
toujours un membre actif du comité directeur, de BP (British Petroleum)
et de la section Europe de la Commission Trilatérale. Technocrate
bruxellois, agent de la globalisation, il a été notamment commissaire
européen à la concurrence (1985-1989), secrétaire-général fondateur de
l’Organisation Mondiale du Commerce (OMC) (1993-1995). Artisan des
grandes libéralisations de l’Union Européenne, il a été qualifié de «
père de la mondialisation ». Actuellement directeur non exécutif de la
Royal Bank of Scotland et président non exécutif de Goldman Sachs,
depuis janvier 2006 il est le représentant spécial du Secrétaire-Général
de l’ONU pour les migrations internationales. Il est aussi président
honoraire de la Commission Trilatérale et président de la London School
of Economics, fondée par la Fabian Society tout en étant chevalier de
l’Ordre de Malte et membre de l’Opus Dei… Des connexions qui en disent
long sur les dérives de ces groupes ecclésiaux…
Lorsque le pape jésuite l’a intronisé président de la Commission
catholique internationale pour les Migrations, il n’a évidemment
abandonné aucune de ses charges.
Peter Sutherland, analyse Blondet
« c’est le globaliste total et absolu, avec des attaches dans toutes les
entités supra-nationales, peut-être la plus influente éminence grise de
la mondialisation et du déracinement capitaliste dans l’intérêt de la
finance transnationale. »
Il est vrai que Sutherland se déclara être en faveur « du développement
de sociétés multiculturelles », le problème étant selon lui les
populations qui cultivent « encore le sens de l’homogénéité et de
différence d’avec les autres. Et c’est précisément cela que l’Union
Européenne», à son avis, « doit tout faire pour éradiquer. Au nom de la
future prospérité. […] C’est une dynamique cruciale pour la croissance
économique. »
Cet artisan de la société multi-culturelle affirma de même que « l’on
est passé des États qui choisissent leur migrants, aux migrants qui
choisissent les États ». Par conséquent avait-t-il ajouté, l’UE ne doit
plus sélectionner seulement des migrants « hautement qualifiés » parce
que « à la base de tout, les individus doivent avoir la liberté de choix ».
Ainsi commente Maurizio Blondet
« c’est exactement l’idéologie de François, confusion et contradiction
comprises. Mais l’on voit bien que l’inspiration vient du capitalisme
mondialiste financier ; pour lequel les « homogénéités », c’est-à-dire
les identités historiques et culturelles qui font les peuples variés et
différents, sont un obstacle et un problème, une odieuse exigence, parce
que le consommateur global type doit être littéralement « sans identité
», sans communauté, « ouvert » aux « expériences », cosmopolite, nomade,
sans « tabous », sans « préjudices » (et sans scrupules), de sexe
variable. »
Dans cette exhortation de Sutherland il y a, précise le journaliste
italien :
« un « mépris » pour la culture qui fait les peuples. Mépris que partage
le pape François lorsqu’il affirme que « les Européens ne sont pas une
race née ici, ils ont des racines de migrants », évoquant une condition
antérieure à la civilisation et à la culture. »
Tant pour le pape François que pour Sutherland, commente Blondet :
« l’homogénéité culturelle est un fastidieux lien qui résiste à
l’intégration sans limites, un manque de charité envers l’accueil ».
Dans la confusion éthique que le même Bergoglio a dispersée à pleines
mains, « l’homogénéité nationale d’un peuple est comparée à un mal
moral, et ce sera un mal de la sauvegarder ».
Et c’est à ce riche banquier d’affaires, cet homme du Bildeberg, ce
membre influent des cercles mondialistes et capitalistes destructeurs
des nations et des peuples, des identités et des cultures, que El papa
sud-américain a confié, par idéologie immigrationniste et immigrophile,
la Commission Catholique pour les Migrations !
On est loin du vrai amour des pauvres… Car ce qui appartient en propre à
tous, aux pauvres comme aux riches, aux malades comme aux bien-portants,
aux prisonniers comme aux travailleurs, c’est l’affiliation à une patrie
et à une identité, c’est l’adhésion à une culture et à une civilisation,
c’est la possession d‘une langue et d’une éducation… Et quand les
pauvres n’ont plus rien, ils possèdent toujours cet héritage immatériel
et intemporel, ce patrimoine spirituel, artistique, intellectuel et
moral, qui a fait grandes les nations d’Europe…
Et c’est de cette richesse civilisationnelle transcendante, supérieure à
tous les biens de consommation qu’ils peuvent rêver d’avoir, que les
pauvres sont privés par les idéologues du multi-culturalisme et du «
vivre-ensemble » !
Francesca de Villasmundo