Cardinal de Hère
2018-03-28 01:08:55 UTC
Avez-vous entendu ces Franchouillards obtus qui assènent avec morgue et
arrogance que les immigrés sont tous bons ? Tout ce qu'il y a de mauvais
en Vrounze, jurent-ils la bouche en cul de poule et le coeur sur la
main, c'est le nationalisme, pourtant inventé par cette franc-maçonnerie
dont ils portent les valeurs comme un étendard. Bien sûr vous les avez
entendus, tout le monde en connaît au moins une cinquantaine, tellement
beaufs, tellement cons, tellement satisfaits de leur beauferie,
tellement pontifiants et poseurs. Et bien figurez-vous que la vieille
dame juive qui s'est fait torturer à mort par deux voisins musulmans
était comme ces Beaufranchouilles bêtes à manger du foin. Elle ne
croyait pas au mal, la vieille dame, peut-être un peu quand même, mais
pas au mal venant de ses voisins arabes. Et bien il lui ont fait une
mort atroce, elle a souffert le martyre, la pauvre petite vieille dame
qui ne voyait pas le mal.
C'est ce qu'on appelle un mâschâl, une parabole, une réalité sensible
qui porte un enseignement non pas moral mais théologique. Quel est cet
enseignement ? Tu méprises Dieu et tu collabores par ta beauferie
satisfaite à l'élaboration d'une société qui non seulement rejette Dieu
mais fait de Dieu le seul mal. Tu crois les mensonges martelés à
longueur de journées par les socialistes fourbes et les gaullards
immondes sur l'excellence du vivre ensemble et du mélange d'ethnies et
de civilisations qui en fait ne se supportent pas. Tu crois la
propagande haineuse sur l'excellence de la nouvelle société construite
par les francs-maçons à grands coups de pub. Et bien c'est dans ta chair
que tu éprouveras que tu fais le mal, ce sont ces immigrés que tu dis
bons parce que tu hais Dieu qui t'apprendront que tes pensées sont
mauvaises et sources de souffrances pour d'autres d'abord, pour toi
ensuite. Et cette société multiculturelle que toi, petit beauf haineux,
as tant soutenue et appelée de tes voeux, tu découvriras et c'est
maintenant, que c'est l'enfer sur terre !
<http://www.leparisien.fr/faits-divers/meurtre-de-mireille-knoll-a-paris-elle-ne-croyait-pas-au-mal-dit-sa-petite-fille-27-03-2018-7632183.php>
Noa, l’une des petites-filles de l’octogénaire tuée à Paris, décrit une
grand-mère accueillante et tolérante.
Mireille Knoll, l'octogénaire juive dont le corps a été retrouvé lardé
de coups de couteau dans son appartement incendié à Paris, laisse le
souvenir d'une femme accueillante, à la vie modeste, qui «ne croyait pas
au mal chez les gens».
La photo de cette vieille dame au visage doux et souriant, qui avait
échappé à la rafle du Vel’ d'Hiv’, s'affiche sur les réseaux sociaux des
organisations juives, qui appellent toutes à une «marche blanche» mercredi.
Le corps de Mireille Knoll, 85 ans, a été retrouvé en partie carbonisé
vendredi dernier dans son logement social de l'avenue Philippe-Auguste
(XIe arrondissement), où elle vivait seule. Les enquêteurs y ont
découvert plusieurs départs de feu, puis des traces de coups de couteau
sur son corps. Deux suspects ont été mis en examen pour «homicide
volontaire à raison de l'appartenance vraie ou supposée de la victime à
une religion» et «vol aggravé».
Mireille Knoll habitait au deuxième étage de cet immeuble qui en compte
dix et est «habituellement très calme», selon des voisins. Handicapée,
souffrant de la maladie de Parkinson selon un de ses deux fils, elle ne
sortait de chez elle qu'en fauteuil roulant, accompagnée de son
auxiliaire de vie. «Elle était gentille, on la voyait se promener dans
les jardins» de la résidence avec son aide-soignante, témoigne une voisine.
«Une femme admirable, très gentille, très douce»
«Ma grand-mère était une femme admirable, très gentille, très douce.
Elle était pleine de joie de vivre, elle aimait la vie. Elle ne croyait
pas au mal chez les gens. Peut-être était-elle un peu trop naïve...»,
confie l'une de ses petites-filles, Noa Goldfarb, 34 ans. «Savta
(grand-mère, en hébreu) a été poignardée à mort 11 fois par un voisin
musulman qu'elle connaissait bien. Il s'est également assuré de mettre
le feu à son appartement pour ne nous laisser aucun souvenir. Pas
d'album photo, ni d'elle... ni de Saba (grand-père), pas de lettres...
rien ! Il ne nous reste que nos larmes», a écrit la jeune femme sur
Facebook.
Alexandre Steiner Knoll, un autre petit-enfant de Mireille Knoll, s’est
exprimé sur le réseau social. «Ne faisons plus jamais abstraction de ces
horreurs à caractère antisémite ! Combattons ensemble la folie des
meurtriers et surtout, ne soyons jamais terrorisés par les terroristes,
cela leur donnerai un goût de victoire».
Née le 28 décembre 1932 à Paris, Mireille Knoll s'était enfuie avec sa
mère de la capitale avant la rafle du Vel’ d'Hiv’, l'arrestation massive
de plus de 13 000 juifs en juillet 1942. C'est un passeport brésilien
hérité de son père qui lui a permis de passer la ligne de démarcation et
de trouver refuge au Portugal. «Les soldats ont regardé les passeports
et ont finalement décidé de les laisser passer. Ça les a sauvés», a
relaté son fils Daniel sur la chaîne i24 News.
Après la guerre, elle avait épousé un survivant d'Auschwitz, décédé il y
a une quinzaine d'années, selon son autre fils, Guy. Ils avaient vécu au
Canada avant de revenir à Paris où le mari avait un atelier
d'imperméables, dans le quartier juif du Sentier.
« Elle avait réussi à échapper aux nazis, mais les islamistes l'ont
rattrapée»
«Juive de coeur» mais non pratiquante, elle y a mené «une vie modeste»
d'après sa petite-fille, élevant ses deux fils au sein «d'une famille
très ouverte, au contact de plein d'amis de toutes les religions». «Elle
avait réussi à échapper aux nazis, mais les islamistes l'ont rattrapée»,
souffle Noa, qui vit en Israël. «Il y a 20 ans, j'avais déjà compris que
mon futur, en tant que juive, n'était pas en Europe».
«Française de toujours et ne parlant que le français», Mireille Knoll,
elle, est restée à Paris. «Elle n'avait pas peur», dit sa petite-fille.
Elle sera inhumée mercredi au cimetière de Bagneux, en région
parisienne, dans l'intimité.
arrogance que les immigrés sont tous bons ? Tout ce qu'il y a de mauvais
en Vrounze, jurent-ils la bouche en cul de poule et le coeur sur la
main, c'est le nationalisme, pourtant inventé par cette franc-maçonnerie
dont ils portent les valeurs comme un étendard. Bien sûr vous les avez
entendus, tout le monde en connaît au moins une cinquantaine, tellement
beaufs, tellement cons, tellement satisfaits de leur beauferie,
tellement pontifiants et poseurs. Et bien figurez-vous que la vieille
dame juive qui s'est fait torturer à mort par deux voisins musulmans
était comme ces Beaufranchouilles bêtes à manger du foin. Elle ne
croyait pas au mal, la vieille dame, peut-être un peu quand même, mais
pas au mal venant de ses voisins arabes. Et bien il lui ont fait une
mort atroce, elle a souffert le martyre, la pauvre petite vieille dame
qui ne voyait pas le mal.
C'est ce qu'on appelle un mâschâl, une parabole, une réalité sensible
qui porte un enseignement non pas moral mais théologique. Quel est cet
enseignement ? Tu méprises Dieu et tu collabores par ta beauferie
satisfaite à l'élaboration d'une société qui non seulement rejette Dieu
mais fait de Dieu le seul mal. Tu crois les mensonges martelés à
longueur de journées par les socialistes fourbes et les gaullards
immondes sur l'excellence du vivre ensemble et du mélange d'ethnies et
de civilisations qui en fait ne se supportent pas. Tu crois la
propagande haineuse sur l'excellence de la nouvelle société construite
par les francs-maçons à grands coups de pub. Et bien c'est dans ta chair
que tu éprouveras que tu fais le mal, ce sont ces immigrés que tu dis
bons parce que tu hais Dieu qui t'apprendront que tes pensées sont
mauvaises et sources de souffrances pour d'autres d'abord, pour toi
ensuite. Et cette société multiculturelle que toi, petit beauf haineux,
as tant soutenue et appelée de tes voeux, tu découvriras et c'est
maintenant, que c'est l'enfer sur terre !
<http://www.leparisien.fr/faits-divers/meurtre-de-mireille-knoll-a-paris-elle-ne-croyait-pas-au-mal-dit-sa-petite-fille-27-03-2018-7632183.php>
Noa, l’une des petites-filles de l’octogénaire tuée à Paris, décrit une
grand-mère accueillante et tolérante.
Mireille Knoll, l'octogénaire juive dont le corps a été retrouvé lardé
de coups de couteau dans son appartement incendié à Paris, laisse le
souvenir d'une femme accueillante, à la vie modeste, qui «ne croyait pas
au mal chez les gens».
La photo de cette vieille dame au visage doux et souriant, qui avait
échappé à la rafle du Vel’ d'Hiv’, s'affiche sur les réseaux sociaux des
organisations juives, qui appellent toutes à une «marche blanche» mercredi.
Le corps de Mireille Knoll, 85 ans, a été retrouvé en partie carbonisé
vendredi dernier dans son logement social de l'avenue Philippe-Auguste
(XIe arrondissement), où elle vivait seule. Les enquêteurs y ont
découvert plusieurs départs de feu, puis des traces de coups de couteau
sur son corps. Deux suspects ont été mis en examen pour «homicide
volontaire à raison de l'appartenance vraie ou supposée de la victime à
une religion» et «vol aggravé».
Mireille Knoll habitait au deuxième étage de cet immeuble qui en compte
dix et est «habituellement très calme», selon des voisins. Handicapée,
souffrant de la maladie de Parkinson selon un de ses deux fils, elle ne
sortait de chez elle qu'en fauteuil roulant, accompagnée de son
auxiliaire de vie. «Elle était gentille, on la voyait se promener dans
les jardins» de la résidence avec son aide-soignante, témoigne une voisine.
«Une femme admirable, très gentille, très douce»
«Ma grand-mère était une femme admirable, très gentille, très douce.
Elle était pleine de joie de vivre, elle aimait la vie. Elle ne croyait
pas au mal chez les gens. Peut-être était-elle un peu trop naïve...»,
confie l'une de ses petites-filles, Noa Goldfarb, 34 ans. «Savta
(grand-mère, en hébreu) a été poignardée à mort 11 fois par un voisin
musulman qu'elle connaissait bien. Il s'est également assuré de mettre
le feu à son appartement pour ne nous laisser aucun souvenir. Pas
d'album photo, ni d'elle... ni de Saba (grand-père), pas de lettres...
rien ! Il ne nous reste que nos larmes», a écrit la jeune femme sur
Facebook.
Alexandre Steiner Knoll, un autre petit-enfant de Mireille Knoll, s’est
exprimé sur le réseau social. «Ne faisons plus jamais abstraction de ces
horreurs à caractère antisémite ! Combattons ensemble la folie des
meurtriers et surtout, ne soyons jamais terrorisés par les terroristes,
cela leur donnerai un goût de victoire».
Née le 28 décembre 1932 à Paris, Mireille Knoll s'était enfuie avec sa
mère de la capitale avant la rafle du Vel’ d'Hiv’, l'arrestation massive
de plus de 13 000 juifs en juillet 1942. C'est un passeport brésilien
hérité de son père qui lui a permis de passer la ligne de démarcation et
de trouver refuge au Portugal. «Les soldats ont regardé les passeports
et ont finalement décidé de les laisser passer. Ça les a sauvés», a
relaté son fils Daniel sur la chaîne i24 News.
Après la guerre, elle avait épousé un survivant d'Auschwitz, décédé il y
a une quinzaine d'années, selon son autre fils, Guy. Ils avaient vécu au
Canada avant de revenir à Paris où le mari avait un atelier
d'imperméables, dans le quartier juif du Sentier.
« Elle avait réussi à échapper aux nazis, mais les islamistes l'ont
rattrapée»
«Juive de coeur» mais non pratiquante, elle y a mené «une vie modeste»
d'après sa petite-fille, élevant ses deux fils au sein «d'une famille
très ouverte, au contact de plein d'amis de toutes les religions». «Elle
avait réussi à échapper aux nazis, mais les islamistes l'ont rattrapée»,
souffle Noa, qui vit en Israël. «Il y a 20 ans, j'avais déjà compris que
mon futur, en tant que juive, n'était pas en Europe».
«Française de toujours et ne parlant que le français», Mireille Knoll,
elle, est restée à Paris. «Elle n'avait pas peur», dit sa petite-fille.
Elle sera inhumée mercredi au cimetière de Bagneux, en région
parisienne, dans l'intimité.