Paul Aubrin
2017-06-09 07:50:18 UTC
La /sensibilité climatique/ correspond à l'élévation de température qui
résulterait d'un doublement de la concentration en dioxyde de carbone.
Les estimations utilisées par l'IPCC (le GIEC) sont dérivées de la
supposition que tout le réchauffement observé vers la fin du vingtième
siècle résulterait de la concentration plus élevée de l'air en CO2.
Mais une période de réchauffement aussi rapide a existé une soixantaine
d'années auparavant, qui ne peut pas être expliquée de la même façon. Et
pendant les premières années du 21ème siècle, les concentrations de CO2
ont beaucoup augmenté et les températures beaucoup moins.
Il faut prendre en compte un cycle bien de 60-70 dans les variations de
températures quand on estime la sensibilité climatique. Le faisant cela a
conduit à une révision générale à la baisse des estimations de la
sensibilité climatique dans les publications scientifiques de ces
dernières années.
En particuliers, les valeurs très élevées (le haut des fourchettes
d'incertitude) ne semblent plus vraisemblables. Les estimations plus
basses ont pour conséquence de diminuer les prévisions d'augmentation des
températures en 2100 et de réduire l'efficacité supposée des mesures de
réduction des émissions de CO2.
Le cycle de 60 ans et ses conséquences sur les estimations de la
sensibilité climatique sont décrits dans cette publication:
http://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0012825216300277?via%
3Dihub
On trouve en trouve une version ici:
http://sci-hub.bz/10.1016/j.earscirev.2016.02.005
résulterait d'un doublement de la concentration en dioxyde de carbone.
Les estimations utilisées par l'IPCC (le GIEC) sont dérivées de la
supposition que tout le réchauffement observé vers la fin du vingtième
siècle résulterait de la concentration plus élevée de l'air en CO2.
Mais une période de réchauffement aussi rapide a existé une soixantaine
d'années auparavant, qui ne peut pas être expliquée de la même façon. Et
pendant les premières années du 21ème siècle, les concentrations de CO2
ont beaucoup augmenté et les températures beaucoup moins.
Il faut prendre en compte un cycle bien de 60-70 dans les variations de
températures quand on estime la sensibilité climatique. Le faisant cela a
conduit à une révision générale à la baisse des estimations de la
sensibilité climatique dans les publications scientifiques de ces
dernières années.
En particuliers, les valeurs très élevées (le haut des fourchettes
d'incertitude) ne semblent plus vraisemblables. Les estimations plus
basses ont pour conséquence de diminuer les prévisions d'augmentation des
températures en 2100 et de réduire l'efficacité supposée des mesures de
réduction des émissions de CO2.
Le cycle de 60 ans et ses conséquences sur les estimations de la
sensibilité climatique sont décrits dans cette publication:
http://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0012825216300277?via%
3Dihub
On trouve en trouve une version ici:
http://sci-hub.bz/10.1016/j.earscirev.2016.02.005